L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca
Chapitre 1
Clothilde Marsac, au balcon du premier �tage guettait le passage du car ramenant ses enfants du lyc�e. Il �tait dix-huit heures trente, comme souvent au mois d'octobre la temp�rature �tait douce, elle �tait l�g�rement v�tue, le soleil couchant lui caressait les bras.
Tout �tait calme� dans ce quartier r�sidentiel de Moulins, largement en dehors du centre ville. Depuis maintenant un mois ils habitaient la grande b�tisse, allou�e par la pr�fecture � son directeur des services. Apr�s avoir err� de sous-pr�fectures en sous-pr�fectures, Germain son mari s'�tait vu offrir ce poste, c'�tait une belle carri�re,� � trente huit ans de se retrouver � ce poste.
Malgr� ses r�ticences, Clothilde avait regagn� cette r�gion berceau de son enfance, elle y avait v�cu une enfance heureuse puis un �pisode dramatique lors de son adolescence.
C'�tait son jardin secret, elle avait mis des ann�es � oublier ce traumatisme ; de revenir en ces lieux ravivait ses souvenirs, le temps avait cependant fait son oeuvre, elle pouvait maintenant les �voquer sans sombrer � nouveau dans les cauchemars qui avaient, longtemps �maill�s son sommeil.
Personne dans la cellule familiale n'�tait au courant de son drame, son mari, sa belle-famille, ses enfants ignoraient jusqu'au nom de la � grange aux loups �. M�me si l'affaire avait �t� soigneusement �touff�e, elle avait craint lors de son retour, de la voir ressurgir du pass�. Il n'en fut rien, � l'�poque peu d'informations avaient filtr�, et personne n'avait fait allusion � cette �poque douloureuse, en sa pr�sence, mieux m�me, au cours de la prise de cr�maill�re, elle avait c�toy� un des protagonistes de l'affaire, il l'avait visiblement reconnue, bl�missant � sa vue, puis s'�cartant d'elle, visiblement fort g�n�, il l'avait �vit�e toute la dur�e de la soir�e. Lors du d�part, tr�s penaud, il lui avait demand� d'une voix tremblante de lui pardonner, de faire comme si jamais rien ne s'�tait pass�, elle avait accept�, elle-m�me, ne cherchant qu'� oublier.
Elle ne pouvait supporter l'id�e que l'�cho de ce drame puisse parvenir aux oreilles de ses enfants, de son mari ou de sa belle-famille.
Cette belle-famille qui n'avait donn� son accord au mariage, qu'apr�s une longue p�riode d'observation, au vu et au su de sa bonne r�putation.
Elle n'osait penser � leur r�action si l'affaire leur �tait r�v�l�e, elle regrettait maintenant d'avoir cach� les faits � son mari, elle avait tendu un voile pudique sur cette p�riode, c'�tait, elle le savait maintenant un tort, mais pouvait-elle pr�voir, alors, que la vie la ram�nerait en ces lieux.
Elle avait revu avec joie ses parents, ils l'avaient toujours soutenue, l'avaient r�chauff�e de leur tendresse, la prot�geant de leur mieux � cette �poque, enfin soulag� lorsqu'elle parvint � se marier en d�pit de ces r�pulsions initiales.
Il lui avait fallu quatre longues ann�es avant de supporter des mains masculines sur son corps, la tendresse de Germain, sa gentillesse sa douceur l'avait r�concili�e avec les males.
Elle se sentait pleine de nostalgie, de savoir que Sylvie sa fille a�n�e, prenait chaque jour le car qu'elle-m�me prenait � longueur d'ann�e, pour se rendre dans le lyc�e vieillot, qu'elle avait fr�quent�.
Sylvie lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, Joel de deux ans son cadet tenait plus de son p�re ; comme elle, � quatorze ans, elle portait ses cheveux blonds mi-longs sur la nuque, bien sur les tenues avaient chang�, Sylvie n'arborait pas les minis qu'on portait en 70, ses tenues �taient plus sages, bien qu'elle non plus, imitant en cel�, sans le savoir, sa m�re, se refusait au port du soutien gorge, laissant sa poitrine naissante libre de toute contrainte sous son tee-shirt ; elle devait commencer � �veiller la convoitise de jeunes coqs, sa petite fille, faudrait peut-�tre commencer � veiller au grain.
Cette pens�e la replongea � l'�poque de ses quatorze ans, elle pouvait d'ailleurs maintenant l'�voquer presque paisiblement sans en souffrir, vraiment ce mois avait bien estomp� ses angoisses.
Elle� revoyait, ce jour de mai, l'absence d'un professeur leur laissant l'apr�s-midi libre, la petite Clothilde Ducreux sortir du lyc�e en compagnie de sa meilleure copine, Solange Dutertre, elle habitait la maison voisine de la sienne dans son petit village de Courlandon, treize heures sonnaient au clocher de l'�glise voisine. L'air �tait �touffant en ces premi�res journ�es ensoleill�es de mai.
�Pascale Lobry accoud�e � la porti�re d'une TR 3 devisait gaiement avec le conducteur. Il s'agissait de Paul, un de ces jeunes blousons dor�s, qui passait ses jours � roder dans la ville, guettant les filles, claquant son fric � profusion, sa r�putation n'�tait pas des meilleures, on murmurait qu'il �tait compromis dans de vilaines histoires, mais pour toutes ces jeunettes �blouies, il ne pouvait s'agir que de jaloux qui diffusaient ces calomnies pour se venger.
Il lui �tait facile d'�blouir ces gamines, sa voiture, l'argent facile, son aura un peu trouble, tout participait de son attrait.
- Paul m�emm�ne faire une vir�e, vous en �tes ? demanda Pascale aux arrivantes.
- C'est d'accord, on embarque, on a rien de mieux � faire, mais Paul il faudra nous ramener � l'heure du car r�pondit Solange devan�ant Clothilde.
Elles prirent place sur le si�ge � bagages, et serr�e comme des sardines l'une contre l'autre, se sourirent � l'id�e du bel apr�s-midi qui les attendait, elles avaient eu� du pot de sortir � ce moment, elles allaient en faire des envieuses, partager la voiture du beau Paul !
Il rangea sa voiture le long de la devanture du Balto, leur proposa de leur prendre des cigarettes et en profita pour donner quelques coups de fil, � fin de lib�rer son apr�s-midi leur dit-il.
La voiture filait maintenant vers Bressans et sa for�t, elles se r�jouissaient d�j� � l'id�e de ramener quelques bouquets de muguet. Il se gara � l'or�e de la for�t, � l'ombre d'une grande b�tisse de pierre connue sous le nom de la grange aux loups, sortant de la voiture il les interrogea :
- �Connaissez-vous l'histoire de cette grange ? Non ? ..... elle est pourtant fort instructive.
- Au moyen age, quelques chevaliers de basse lign�e en avait fait leur repaire, c'�tait de l� qu'ils partaient �cumer la r�gion, d�troussant les voyageurs, tuant, pillant et surtout capturant de jeunes pucelles qu'ils ramenaient en croupe dans leur tani�re. Arriv�s l� ils les for�aient chacun leur tour partageant comme le disait le seigneur, le vin et la chair, violant, d�truisant les jeunes adolescentes qui restaient captives � leur totale service, renouvelant leur cheptel lorsque n�cessaire ; la l�gende dit que les r�les des filles forc�es, les rires avin�s des habitants du lieu, la crainte qu'ils inspiraient suffisait � d�tourner les importuns.
Ce disant, il les entra�nait dans la grange obscure, traversant une grande salle obscure, ils aboutirent dans une plus petite, tout aussi sombre, Paul leur ayant promis de leur montrer des inscriptions laiss�es par les anciennes captives, Pascale appuya sur un interrupteur, tout de suite une lumi�re crue, violente inonda la pi�ce, les aveuglant.
Plissant les yeux, avec un cri d'effroi elles constat�rent la pr�sence d'une douzaine de jeunes gens qui les entour�rent, mena�ants.
- Mais qu'est que �a veut dire..... Que voulez-vous, questionna Solange apeur�e.
- J�ai oubli� de pr�ciser que mon histoire avait une suite r�partit Paul ironiquement, Avec les copains nous avons d�cid� de ressusciter la l�gende, c'est ici que nous ramenons de jeunes dindes qu'on se tape tous en ch�ur�. Comme toutes les autres vous allez y passer.
- J'avais peur que vous ne soyez pas tous l�...... il ne manque que jacques et Pierre...� ils vont certainement arriver...
- Salauds...� vous n'avez pas le droit. de... si vous croyez! ... s'�cria Pascale d'une voix per�ante.
Pour toute r�ponse, elle re�ut une violente paire de gifles, qui la projeta les quatre fers en l'air aux pieds de ses compagnes.
- Vous pouvez gueuler tant que vous voudrez, personne ne vient jamais, et nous on pr�f�re..... maintenant �a suffit...� � poil les cageots .
Les trois donzelles s'�taient r�volt�es, avaient hurl�, tent� de s'�chapper, rien n'y fit.
Lass�s de leur r�sistance, d�bouclant leurs ceinturons ils commenc�rent � les cingler de coups violents, n'�pargnant aucune parcelle de leurs corps.
Les coups s'abattaient, cuisants, douloureux, au hasard, elles avaient beau chercher � se prot�ger, ils parvenaient toujours � cingler les parties expos�es, leurs jeunes poitrines les br�laient maintenant, les fesses en feu, tout le corps rou� de coups, elles n'�taient plus que des boules de chair meurtries sanglotantes, pr�tes � tout pour que cesse la terrible punition.
- Arr�tez�. Arr�tez...... On fera tout ce que vous voudrez balbutiaient-elles, �perdues entre deux sanglots .
Geignantes elles se relev�rent douloureusement sous l��il satisfait de leurs tortionnaires, aussit�t�t l'ordre fusa :
- Allez � poil...... D�sapez vous vite...� On a� h�te de voir vos gros culs !
Ils s'assirent confortablement sur les nombreux matelas qui jonchaient le sol, seuls trois gars, l'appareil photo � la main rodant autour d'elles.
Comme elles ne faisaient pas mine d'obtemp�rer, Paul leva � nouveau sa ceinture.
- Non...� Non...� Plus �a...... On se d�shabille pleurnich�rent-elles en enlevant leurs tee-shirts, seule Pascale portait un soutien gorge, Solange et Clothilde les seins barr�s de larges balafres rouge�tres, exhibaient leurs poitrines menues, la peur, la honte couvrant leurs petites mamelles de chair de poule.
Pascale d�grafa son �crin, Paul ne se contenta pas de la vue de la lourde poitrine aux seins bien form�s, aux larges ar�oles�� brunes, il se saisit des t�tons les pin�ant, les tordant cruellement lui soutirant de nouvelles plaintes.
- Arr�te, laisse la se foutre � poil..... On en profitera apr�s� intervinrent ses comparses.
Paul abandonna les t�tins douloureux et leur enjoignit de continuer leur effeuillage.
Une nouvelle fois, il dut lever sa ceinture, avant de les voir d�grafer leurs minis jupes, les laissant glisser � leurs pieds. Il ne leur restait plus que leurs petites culottes prot�geant encore leurs intimit�s, hagardes elles durent les enlever, les faisant glisser avec lenteur sur leurs cuisses dodues, en un spectacle involontairement suggestif.
Leurs petites chattes �taient maintenant totalement livr�es aux yeux impatients de leurs tourmenteurs. La toison ch�tain, fournie de Pascale tranchait fortement avec celles nettement moins fournies de ces infortun�es compagnes, la fente du sexe se lisait clairement au c�ur des toisons clairsem�es de Solange et Clothilde.
- Le choix du roi s'exclama une voix anonyme�.. Une rousse, une brune, une blonde, on va profiter de tout l'�ventail..... Ca faisait longtemps qu'on attendait �a ! ...... Approchez !
Comme elles restaient sur place, s'accroupissant, jambes pli�es ils les attir�rent � eux, happ�es par des mains impitoyables elles se sentirent tout de suite palp�es comme des b�tes � l'�tal, les mains avides suivaient tous les contours de leurs courbes, t�tant la fermet� des croupes, violentant les petites poitrines, sauf en ce qui concerne Pascale, contraignant les cuisses dodues � s'ouvrir livrant les moules juv�niles, les culs vierges aux mains �valuatives, ils insinu�rent leurs mains dans les entre fesses serr�s, introduisant un, puis plusieurs doigts dans les chas �troits, les anus r�tifs.
Priv�es de volont�, sous les commentaires graveleux, appr�ciateurs, elles se laissaient palper sous toutes les coutures tandis que trois jeunes prenaient des photos, tous ces salauds les pelot�rent chacune longuement avant de faire leurs choix, trois paires de mains saisirent Clothilde, elle s'affala sur eux.
Solange et Pascale subissaient le m�me sort. Allong�e sur les genoux de ses trois tourmenteurs, elle sentit � nouveau son corps enti�rement palp�, une bouche s'empara de la pointe de seins les mordillant, les �tirant entre les dents, les su�otant.
Un cri aigu attira son attention, juste � ses cot�s un corps d�nud� venait de s'affaler entre les cuisses de Solange, son suborneur venait avec violence de lui d�chirer son hymen, lui arrachant ce cri de douleur.
Un des jeunes la fit rouler sur le dos, imm�diatement il baissa pantalon et slip sur ses genoux, exposant � ses yeux �pouvant�s un sexe tendu, noueux, violac�. Il s'allongea entre ses jambes que ses deux comparses maintenaient �cart�es, elle ne pouvait que s'enfoncer dans le matelas pour se soustraire � l'agression. Elle les supplia :
- Non pas �a..... Je suis vierge..... Je ferai ce que vous voudrez...� Mais pas �a..... Laissez-moi..... Je ne dirai rien.
- �De toute mani�re tu ne diras rien...� Tu crois tout de m�me pas qu'on va se priver de ton mignon petit cul ! lui r�torqua son agresseur, en pesant au centre de sa faille, il insistait avec force, sa fente avait accueilli la pointe du gland qui butait maintenant sur la barri�re de son hymen.
- C'est une vraie vierge les gars...� On va tout lui apprendre .
D'un coup de rein violent, il parvint � ses fins, sa queue s'engloutit jusqu'� la racine dans la gaine serr�e.
Il sembla � Clothilde qu'on l'�ventrait, un trait de feu lui traversa le ventre tandis que s'enfon�ait l'�norme mentule, distendant d'un coup son petit con de vierge, maintenant son suborneur se tenait immobile, enfonc� jusqu'� la garde dans son �tui palpitant.
- La notre ne l'�tait plus entendit-elle sur sa droite� Pascale, un gars entre les jambes accueillait de plus un membre vigoureux entre ses l�vres, elles �taient maintenant toutes les trois en mains.
Son �tui se faisait bon gr� mal gr� � la conformation de la bite qui l'habitait, une l�g�re humidit� m�canique avait oint le membre qui la fourrait, d'un brusque retrait son suborneur entreprit de la limer, sa bite coulissait difficilement dans l'�troitesse du vagin, pourtant englu� de cyprine, la souffrance �tait tol�rable sauf lorsque le gros chibre en bout de course butait sur le col de l'ut�rus, d�cha�nant alors des �clairs de feu dans son ventre.
Le corps qui la couvrait se raidit, la bite grossit encore, et pour la premi�re fois en cette apr�s-midi, un m�le se vida dans son ventre.
Elle n'eut pas m�me le temps de se redresser que d�j� un autre salaud prenait place entre ses jambes �cartel�es, lui fourrant � son tour sa queue dans le con.
Son conduit copieusement graiss� par la semence du pr�d�cesseur admit plus facilement son envahisseur, quelques va et viens fi�vreux l'amen�rent � une rapide jouissance � nouveau son con se vit inond� de foutre br�lant.
Le troisi�me se d�versa tout aussi rapidement dans son ventre, un quatri�me, posant son appareil photo profita � son tour d'elle.
Solange et Pascale aussi avaient satisfaits leurs violeurs, ils �chang�rent leurs proies, avides de varier les plaisirs.
- Suce moi commanda l'un d'eux..... Et gare aux dents...... Si je les sens, j�t'�clate la t�te mena�a-t-il.
Elle tourna la t�te cherchant d�sesp�r�ment � fuir le contact du gland �pais sur ses l�vres, un bras la lui immobilisa rapidement, elle sentait la grosse prune mafflue, malodorante peser sur ses l�vres ferm�es, une petite tape sur la t�te la convainquit de participer � son viol, elle desserra les dents, le gland s'infiltra entre ses l�vres, roula sur sa langue avant de l'emplir jusqu'� la glotte.
A grands coups de boutoirs, il utilisait sa bouche comme s'il baisait en son vagin, la t�te du n�ud frappait avec violence ses amygdales, secou�e par les hauts le c�ur, elle sentit enfin le foutre gluant jaillir dans le fond de sa gorge, lui inondant la bouche et le palais, le nez pinc�, au bord de l'�touffement, elle dut avaler le breuvage amer pour respirer, elle sentit le flot coulant du sperme acre lui br�ler l��sophage, le visage barbouill� de foutre, Pascale tourn�e vers elle hurlait de douleur, une bite �norme disparaissait par � coups entre ses fesses disjointes.
Ce spectacle �veilla les m�mes envies dans les reins d'un de ses tortionnaires, il la retourna comme une cr�pe, empoigna avec violence ses h�misph�res, les s�parant � la limite de l'arrachement.
Son mignon oeillet se tapissait, apeur�, au centre de sa raie, instruite de ce qui l'attendait par le tableau qu'elle avait sous les yeux, Clothilde contracta de toutes ses� forces sa rondelle, une ceinture lui cinglant le cul, vaincue, elle rel�cha ses sphincters.
S'impr�gnant les doigts dans le foutre m�l� de sang et de cyprine qui d�bordait de sa vulve, d'un pouce brutal il lui graissa copieusement la rosace.
Malgr� tout, un hurlement de douleur franchit ses l�vres lorsque inexorablement un �pais gourdin fraya sa voie dans son cul distendu, son intestin semblait se d�plier, le gros b�lier progressait encore dans son cul meurtri, s'installant de tout son ampleur dans ses entrailles fr�missantes.
Enfin l'empalement fut total, les couilles velues repos�es sur son cul rebondi, son violeur, apr�s quelques all�es et venues f�briles projeta en de longues gicl�es saccad�es sa semence au fin fond de ses entrailles.
Ils s'�taient succ�d�s ainsi, tout l'apr�s-midi dans les ventres, les bouches, les culs soumis.
Tout l'apr�s-midi elles avaient du satisfaire leurs d�sirs pervers, il les prirent dans toutes les positions sans se soucier d'elles.
Clothilde se rappelait avec pr�cision, le moment o� dans le champ des objectifs, elle avait du enfourcher le ventre d'un de ces salauds, s'embrochant d'elle-m�me sur la queue tendue, elle avait ensuite du tendre les l�vres vers la queue malodorante d'un second malandrin, tandis qu'un troisi�me lui fouillait les fesses, la for�ant ensuite d'un membre dur comme le fer.
Les trois salauds l'avaient longuement lim�e, accordant leurs rythmes, alternant les coups de boutoir avant de se d�verser simultan�ment dans ses trois orifices douloureux.
Solange et Pascale de m�me avaient du � plusieurs reprises combler trois jeunes � la fois, couvertes de sperme, de sang s�ch�, de sueur elles avaient enfin pu se rhabiller sous les quolibets de leurs tourmenteurs. Les douze salauds avaient tous go�t� � leurs charmes certains � plusieurs reprises, le corps suintant de sperme par leurs orifices bas, la bouche p�teuse, le go�t acre du foutre accroch� aux papilles, Paul leur avait remis � chacune un polaro�d qui les repr�sentait en pleine action, embroch�e sur trois pines.
Pr�venues que la moindre r�v�lation entra�nerait l'envoi imm�diat de ces photos � leurs familles, devant la peur du scandale elles durent promettre de se taire, acceptant de revenir chaque week-end distraire leurs ma�tres-chanteurs.
Les trois amies s'�taient ainsi jointes chaque dimanche � la cohorte de filles, qui, le cul nu sous leurs jupes courtes venaient contenter la salacit� de la bande.
Jusqu'� la mi-juin elles durent offrir leurs bouches, leurs ventres, leurs reins � leurs suborneurs, sur un simple geste elles se couchaient sur le ventre ou le dos, suivant leurs volont�s, fesses grandes� ouvertes comblant leurs d�sirs les plus pervers.
Chaque dimanche elles devenaient la femelle de plusieurs gar�ons, � chaque rendez-vous une dizaine de filles s'offraient ainsi � la lubricit� d'une trentaine de gar�ons.
Elles satisfaisaient ainsi tous leurs d�sirs en solo, en duo, ou en trio.
P�les amaigries, leurs parents qui ne se doutaient de rien les gavaient de vitamines jusqu'au jour o� Claudette une des participantes se retrouva enceinte, press�e de questions elle finit par avouer l'ignoble chantage auquel elle devait se plier r�v�lant aux gendarmes les noms de ces salauds et de ses compagnes d'infortune.
La discr�tion �tait de rigueur, les parents furent inform�s du drame, quelques plaintes furent d�pos�es mais dans son ensemble l'affaire fut �touff�e tous les protagonistes y ayant int�r�t.
Se secouant de la l�thargie qui l'avait envahie � cette p�nible �vocation, Clothilde, se penchant en avant, h�la ses enfants qui descendaient du bus, elle ne voyait pas sous le balcon les deux fils du jardinier, les yeux braqu�s sous sa jupe, cherchant � distinguer les poils follets qui s'�chappaient de son petit slip.
Les regards br�lants escaladaient lentement les jambes fusel�es, plongeant dans la moiteur de l'entrejambe, butaient sur le fond de la petite culotte verte, en estimaient la moiteur troublante, avant de repartir � l'assaut, devinant la blondeur de la toison vaguement entrevue par transparence.
Ignorant l'int�r�t qu'elle suscitait chez les deux jeunes gens, inconsciente, elle se balan�ait d'avant en arri�re, se tournait, virevoltait sur les talons, permettant � leurs regards, en toute innocence de suivre le pli profond des fesses avant de s'aventurer sur la croupe rebondie, au sombre sillon bien d�tach� sur le fond clair de la lingerie �l�gante.
A chaque fois, la vision d'une si belle croupe, dodue, rebondie � souhait, pr�sent�e dans son riche �crin de nylon translucide les �chauffait tant, qu'ils devaient s'empoigner la queue � deux mains, pour apaiser leurs sens, projettant de longues gicl�es blanch�tres le long du mur, alors qu'ils ne r�vaient que de les lui coller au fin fond du ventre ou du cul.
Coulybaca
Janvier 2008-01-04
dominique.dubuissez@orange.fr
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca (texte personnel)
Chapitre 2
Depuis l'emm�nagement, Ali et Mohamed guettaient la belle Clothilde, dans un premier temps sa blondeur �panouie, sa f�minit�, sa sophistication les avaient �blouis . Puis un rapprochement troublant s'�tait fait dans la t�te de l'a�n�, �g�e de dix neuf ans, Sylvie, la jeune ma�tresse ressemblait �trangement � une jeune fille qu'il avait l'occasion de voir en photo.
A la premi�re occasion, il grimpa au grenier de la grande maison, et sortit de leur cachette plusieurs albums photos.
Chaque album �tait compos� comme un ensemble de dossiers successifs, il recherchait quelque chose de bien pr�cis, enfin un large sourire �claira ses traits, il s'�tait arr�t� sur les photos d'une jeune fille blonde, d'une quinzaine d'ann�es, nue en compagnie de diff�rentes autres jeunes filles, les photos �taient tr�s explicites, tr�s lisibles, sur chacune on la voyait tant�t une queue enfonc�e entre les l�vres, la bouche d�form�e par une grosse bite, tant�t empal�e sur une pine qui la travaillait au ventre ou au cul, sur certaines m�mes elle �tait embroch�e par ses trois trous.
On voyait toujours le visage de la jeune blonde, les cheveux courts, on aurait effectivement dit Sylvie, se pourrait-il que ce soit la patronne plus jeune se demandait-il, s'enflammant � cette id�e .
Il v�rifia� le nom port� sur le dossier, il s'agissait d'une certaine Clothilde Ducreux, il lui fallait de toute urgence v�rifier le nom de jeune fille de la patronne, car si cette impression se confirmait ......
Quel pot il avait eu, un jour qu'il fouillait dans le grenier, de tomber sur cette cachette, le propri�taire de ces photos avait du se trouver bien coinc�, pour les abandonner ainsi, depuis ce temps, il cherchait vainement � identifier les diff�rentes jeunes filles figurant sur les rectangles glac�s, et voil� que le hasard semblait enfin r�compenser sa t�nacit� .
Hier il avait enfin eu sa chance, Sylvie lui ayant demand� ou se trouvait la mairie, flairant le bon coup, il l'avait accompagn�e, il avait fr�mi de joie l'entendant demander une fiche d'�tat civil, un coup d��il discret le renseigna, il jubilait, madame Clothilde Marsac �tait bien l'ex-mademoiselle Ducreux, c'est bien elle qui exhibait tous ses charmes, en affirmant le mode d'emploi sur les photos de l'album, restait quand m�me � la circonvenir .
Toute la semaine, bien qu'incertain, il l'avait �pi�e, surprenant quelques images furtives, l'ombre d'un sein surprise par transparence, les jambes fusel�es r�v�l�es par les jupes courtes, profitant d'un coup de vent, il avait m�me pu apercevoir des mignonnes jarretelles, et aujourd'hui m�me dissimul� sous le balcon, en compagnie de son fr�re cadet, il avait nettement distingu� des poils blonds �chappant du slip vert Nil qui �tait sens� dissimuler ses tr�sors � la vue des vilains voyeurs.
L'id�e qu'un jour il pourrait soumettre cette fi�re jeune femme � ses caprices lui �chauffait les reins, il se r�galait d�j� � la pens�e des positions qu'il pourrait lui imposer, de sentir ses l�vres boudeuses, qui susurrait plus qu'elles ne parlaient, lui sucer la queue, de la contraindre � se balader cul nu sous ses longues jupes, � la faire ramper � ses pieds, cul cambr�, ventre tendu lui offrant de disposer � sa convenance de tous ses offices .
Il ne l'�pargnerait pas la fi�re Clothilde, qu'elle geigne ou pleurniche, il lui �claterait le cul, et qui sait, elle lui permettrait peut-�tre d'identifier d'autres de ces jeunes femelles, et alors ..... Il ne lui restait plus qu'� guetter le moment propice pour lui mettre le march� en main ...
Cette occasion lui fut fournie le lendemain matin, afin de se distraire de son d�s�uvrement, la belle Clothilde, avait entrepris de ranger les vastes greniers de l'appartement, tentant d'y am�nager une salle de jeux pour les enfants.
Elle l'avait appel�, lui demandant de l'aider � d�placer quelques meubles encombrants, apr�s quelques minutes de travail, il l'appela pour lui montrer sa d�couverte.
Il lui tendit alors un album photo, intrigu�e elle s'en empara, croyant y d�couvrir la trace de leurs pr�d�cesseurs, la lecture du titre figurant sur l'album : LA GRANGE AUX LOUPS, elle fr�mit d'angoisse .
�Fi�vreuse, bl�missante, appr�hendant de se voir figurer dans cet album, elle l'ouvrit en h�te .
Le hasard faisant bien les choses, elle tomba sur la bonne page, des photos obsc�nes encerclaient une �tiquette o� l'on pouvait lire Clothilde Ducreux .
- J'ignorais que plus jeune, vous posiez pour ce genre de photos !.... Vous �tiez dr�lement gironde ! .... Tout le portrait de votre fille ! commenta ironiquement Ali .
Elle ne pouvait nier, elle �tait bien trop reconnaissable, bien que connaissant l'existence de ces photos, elle ne les avait jamais d�taill�es comme aujourd'hui, une chape de glace lui� tombait sur la nuque, elle suffoquait d'angoisse : ce n'�tait pas par hasard que le petit salaud lui montrait ces photos !
Elle ne comprenait que trop bien le but de la man�uvre, d�j� elle sentait qu'elle ne pourrait se d�rober, elle ne pouvait se permettre de r�v�ler tout �a, pas plus � son mari, qu'� ses enfants .
� Pourquoi me montres tu ces photos ? Que veux-tu ? .... De l'argent ?
� C'est bien toi Clothilde Ducreux ? .... Non ....? Ca devrait t'int�resser ..... En tout cas �a risque d�en int�resser plus d'un !
La conversation prenait bien la tournure qu'elle craignait, de plus le tutoiement soudain la crucifiait, il devait se sentir bien s�r de lui pour l'adopter aussi facilement, �videmment il �tait inutile de nier, c'�tait bien elle, il le savait parfaitement .
� Que veux tu? Oh, presque rien .... je veux te voir dans la m�me tenue ! ..... Si je fais ce que tu veux, me rendras-tu les photos ? �. Faudrait pas croire au p�re No�l ..... ce que je peux te promettre, c'est que tant que t'ob�iras ...... Ta famille, tes proches en ignoreront l'existence personne ne les verra ! �..
� Qu'est ce que tu veux d'autres, ..... Ca ne te suffit pas de me voir nue ?�.
� Non .... Je veux aussi me servir de toi .... Comme les autres� ....Y'a pas de raison ! ... ��
� Non c'est pas possible ..... Non ...... Je ne le veux pas !�.
� Ce qui compte, c'est pas ce que toi tu veux .... C'est ce que moi je veux ...... De toute mani�re tu as le choix ..... Ou tu fais ce que je veux .... Ou la semaine prochaine je d�pose ta photo dans toutes les boites au lettre de la rue ..... Y'en a bien qui feront le rapprochement ..... Tu ressembles trop � ta fille ... On te reconna�tra ! �.. �
� Non, ..non .... tu ne ferais pas cel� ! �.. �
� J'me g�nerai peut �tre .... Assez discut� ..... Ou tu te d�sapes .... Ou tu descends .... choisis !�. �
� Je ferai ce que tu veux mais qu'est ce qui me garantit que ....... � Rien, mais ce serait pas mon int�r�t de les divulguer, ..... Tant que tu seras docile et disponible, tu n'as rien � craindre ! �..
Comme elle h�sitait encore, s'asseyant sur une malle, il intima : - Allez ..... Grouilles ...... T'as du bien changer depuis ..... Montres moi tout �a ! �..
La t�te basse, pi�g�e, consciente de l'inexorabilit� de l'adolescent, l��il vague, les gestes lents elle entreprit de d�boutonner son corsage, le premier, le second, le troisi�me, enfin le quatri�me bouton saut�rent. lentement rentrant les �paules elle fit glisser la soie sur ses bras, d�gagea le pan de la ceinture de sa jupe, puis posa soigneusement le chemisier sur le dossier d'une vieille chaise proche .�
� Non, la jupe maintenant�. lui dit Ali, comme elle tendait la main dans son dos .
Docilement, elle descendit la fermeture sur la hanche, puis d�grafa la pression � la ceinture, avec gr�ce la jupe glissa le long des cuisses dor�es, levant une jambe apr�s l'autre elle enjamba sa jupe, se baissa, sa croupe tendant le nylon vert de son mini slip, ramassa la jupe, la plia puis la posa toujours aussi soigneusement sur la chaise .
Bras le long du corps elle offrait un spectacle charmant au jeune arabe, les demi bonnets de son soutien gorge vert tendre voilaient ses seins, les offrant comme dans un �crin, la fraise dard�e au centre de l'ar�ole bien visible sous le nylon translucide, sa croupe enrob�e dans un mini slip assorti au soutien gorge, le triangle pubien affichant bien sa blondeur au travers du nylon .
Un mignon petit cadeau qu'il s'offrait l� !
La main � la taille, il l'attira sur ses genoux, passive elle se laissait faire sans un geste de r�volte, ses pr�c�dentes exp�riences l'ayant convaincue de l'inanit� de la rebellion, lorsque ses l�vres �pous�rent les siennes, elle refusa le passage � la langue fouineuse, il n'insista pas s'int�ressant plus � ses seins pulpeux.
Une main soulevant le nylon, s'infiltra dans le bonnet, empaumant la mamelle, s'en remplissant la main, du doigt il flatta le t�ton qui par un m�canisme compr�hensible se dressa, puis son autre main fila dans son dos d�grafer le soutien gorge, elle creusa les �paules, facilitant ainsi l'enl�vement.
De la bouche il s'empara alors de la fraise dard�e, la su�ota longuement, la mordillant� du bout des dents, la couvrant de salive.
Ses deux mains, suivant les courbes pleines de ses hanches, s'infiltr�rent sous l'�lastique du slip, le roul�rent lentement sur les cuisses, le triangle blond de sa toison apparut, elle leva les fesses pour lui permettre d'�ter le slip, qu'il fit lentement glisser le long des cuisses, le r�cup�rant pour le jeter sur la chaise .
Int�gralement nue, tous ses charmes livr�s aux mains fi�vreuses, elle se laissa longuement palper, la main d'Ali s'infiltrant entre ses cuisses, elle �carta largement ses jambes livrant son sexe � son enti�re discr�tion .
Profitant de sa passivit� il suivit du doigt la blessure d�hiscente, d�busqua le clitoris affol� par toutes ces manipulations, un doigt puis deux lui forc�rent doucement la vulve, les vrillant dans la ti�deur de sa chatte, il commen�a de lents va-et-vient dans son ti�de conduit.
Des vagues de langueur d�ferlaient de son ventre, surpris par tant de tendresse, son corps qui s'attendait � une profanation brutale r�gissait lentement mais s�rement, son sexe s'inondait de cyprine, d�j� les deux doigts dans son sexe provoquaient des clapotis �vocateurs, sa moule r�agissait .
La prenant aux hanches, il la releva le temps de baisser son jean sur ses genoux et de lib�rer un sexe glorieux, brun, �pais, fort long estima-t-elle, bien qu'il ne soit pas encore � l'apog�e de son �rection.
Il la reprit aux hanches, et de face la posa sur ses genoux, ses jambes encadrant sa taille, son pivot vint frotter contre la fente et d'un petit coup de rein il s'engagea entre les petites l�vres consentantes, le gland log� dans son �crin, il ne put retenir plus ses pulsions et posant les mains sur ses hanches il l'investit jusqu'� la garde .
Ses couilles velues venaient agacer de leurs poils fris�s son p�rin�e, elle se sentait pleine � craquer, la lourde bite fr�missante �veillait en ses flancs de suspectes vibrations, sa gaine fr�missait sur la grosse hampe, l'enserrant, l'�tranglant de toute la force de ses sphincters.
Folle d'attente elle le sentit enfin remuer dans son ventre, les mains sur les fesses il guidait ses empalements profonds, fr�missante elle savait qu'elle avait �t� � deux doigts de s'embrocher elle m�me avouant ainsi son envie, les dents crisp�es sur les hal�tements, les soupirs qui voulaient filtrer de sa bouche, elle le sentit encore enfler, avant de lui projeter des flots de sperme ti�de au fin fond de la matrice, il se soulagea longuement, resta longtemps engag� au fin fond� de son vagin, attendant les derniers soubresauts de sa pine avant de l'extraire du con inond� .
Lui appuyant alors sur les �paules, il l'obligea � s'agenouiller entre ses cuisses ouvertes, elle prit en bouche, sans se faire prier le membre englu� de sperme et de cyprine, lui titillant le m�at de la pointe de la langue, l'enrobant dans sa langue puis elle l'enfourna au fond de sa gorge � la fronti�re des amygdales .
Le p�nis maintenant turgescent s'introduisit m�me au del�, � la pointe de l��sophage , les l�vres serr�es sur la hampe glorieuse, les dents aga�ant le pourtour du cylindre, elle ne tarda pas � recueillir le fruit de ses efforts, avec un grognement sourd il se vida les couilles dans sa gorge, le flot cr�meux, � la douce saveur ti�de lui envahit la bouche, quelques filets coul�rent � la commissure de ses l�vres, d'un souple mouvement du col, elle avala le doux breuvage avant de se nettoyer les l�vres du revers de la langue puis elle l�cha le chibre sur toute sa longueur, insistant sous les plis du pr�puce, aspirant les derni�res gouttes perlant au m�at .
C'est une queue bien propre qu'elle rangea dans son slip .
Se relevant d'un souple mouvement de hanches, sans un mot elle entreprit de se rhabiller, il la laissa faire, lui confisquant seulement sa petite culotte en la pr�venant que d�sormais elle se passerait de cet accessoire superflu, restant ainsi � son enti�re disposition lorsque l'envie de la baiser le prendrait .
Catastroph�e le laissant � ses r�veries, elle redescendit s'allonger dans sa chambre, l� les yeux dans le vague, elle m�dita longuement .
Ses pires craintes se r�alisaient, par un concours de circonstances qui lui �chappait totalement, ce petit salaud se trouvait en possession de preuves absolument ind�niables des turpitudes qu'elle avait subies nagu�re, n'en ayant jamais parl� avec son mari, il lui �tait impossible de les lui r�v�ler dor�navant, et d'ailleurs croirait il vraiment qu'elle y �tait forc�e, rien sur les photos, sur celles qu'elle avait regard� du moins ne pouvait r�v�ler la contrainte, � laquelle elle se voyait soumise, � la limite, il en d�duirait qu'il avait �pous� une fieff�e salope, qui se livrait � des d�bordements charnels d�s son plus jeune �ge ; il n'y avait donc rien � esp�rer de ce cot� �.
Elle �tait bel et bien coinc�e et ce petit salaud le savait. Si elle voulait pr�server son m�nage, elle devrait d�sormais satisfaire tous ses caprices, et o� s'arr�teraient ils?
Elle ne pouvait le deviner, mieux valait ne pas y penser, elle ne serait pas d��ue, comme cela.
Un deuxi�me constat la d�sesp�rait, le dressage qu'elle avait subi pendant ces deux mois ressurgissait, c'est sans un mot de r�volte qu'elle s'�tait pli�e � ses fantaisies, son corps gardait les r�flexes que lui avaient inculqu�s ses premiers tortionnaires, elle pliait trop facilement devant la volont� d'un male dominateur il lui suffirait d'exiger pour qu'elle s'ex�cute, elle le sentait .
Une derni�re chose l'effrayait, alors qu'avec ses pr�d�cesseurs elle ne ressentait que honte et douleur, cette fois son corps s'�tait �mu des caresses qu'Ali lui avait prodigu�es, elle avait �t� � deux doigts de crier son plaisir, et �a, elle avait vraiment du mal � le supporter .
Allong�e sur le ventre, elle se souciait peu du spectacle qu'elle pouvait offrir, plong�e dans ses pens�es elle n'entendit pas redescendre Ali, ce dernier passant devant la porte entrouverte de la chambre y jeta un oeil.
Le cul de� Clothilde cambr� � souhait, �veilla en lui de nouveaux d�sirs, dans sa situation, il n'allait tout de m�me pas s'en priver, p�n�trant dans la chambre il s'approcha silencieusement de la couche .
Doucement, il saisit sa jupe par l'ourlet, et la releva sur les fesses plantureuses, le courant d'air frais qui lui courait entre les jambes l'amena � se retourner, voyant Ali le regard riv� sur sa croupe, elle demanda :
- Que veux tu encore ? J'ai fait ce que tu voulais .... laisses moi tranquille maintenant ! �.
- Tu feras ce que je veux, quand je veux r�torqua Ali Et pour l'instant ton cul me tente ..... Ca te g�ne pas de te faire enculer .... Ne mens pas je t'ai vu le cul embroch� sur une bite dans les photos ..... Ce que tu as fait avec les autres, il n'y a aucune raison que je m'en prive ..... D'ailleurs je ne te demande pas� ton avis ! �..
Et s'asseyant � ses cot�s il termina de relever la jupe sur la croupe bien pleine. Contrairement � ce qu'il croyait, Clothilde d�testait se faire enculer, elle n'avait jamais pu s'accoutumer � cette pratique, ils lui avaient toujours fait �norm�ment de mal, depuis cette p�riode dramatique personne ne s'�tait plus plant� dans ses fesses, elle l'avait toujours refus� � son mari qui n'insistait m�me plus, elle allait refuser tout net, et encore tendre il n'aurait certainement pas insist� lorsqu'il lui claqua le cul.
Le coup n'�tait pas puissant, il n'avait provoqu� qu'une vague br�lure, ce fut pourtant suffisant, pour provoquer � nouveau ses r�flexes de soumission .
Elle �carta servilement les jambes, cambrant les reins de fa�on � lui faciliter l'acc�s de sa croupe, acceptant sa reddition il promena ses mains sur les deux h�misph�res br�lants avant de les �carter d�gageant le sillon obscure, r�v�lant l��illet palpitant.
Il lui fora l'anus du doigt, il lui �tranglait les phalanges, comprenant qu'il serait impossible de l'enculer � sec, il entreprit d'assouplir la corolle r�calcitrante. Il se pencha sur la� croupe convoit�e, d�gageant de deux doigts sa cible il entama une feuille de rose, sa salive d�trempait peu � peu le sphincter, de la pointe de la langue il le for�a, le sucra, l'embrassa, elle ressentait des vibrations na�tre dans ses reins, une nouvelle fois le plaisir s'emparait de son corps.
Se relevant il humecta ses doigts dans sa chatte y recueillant quelques larmes du sperme et de la cyprine qui la tapissaient.
Son trou plus du tout secret admit facilement les deux doigts joints que lui proposait maintenant Ali, comme un coin il les lui� enfourna profond�ment, avec une certaine facilit�, son anus esp�rant maintenant, et pour la premi�re fois un visiteur, �cartant les doigts il lui distendait le conduit, bient�t celui ci resta b�ant lorsqu'il retira ses doigts .
La qualit� de la pression qui s'exer�a alors sur le sphincter la renseigna sur l'arme dont maintenant son cul �tait menac�, il n'eut pas � forcer, se dilatant au maximum, impatient l'anus vorace engloutit le gland.
Un petit coup de rein lui permit de l'embrocher jusqu'� la garde avec aisance, et l'incroyable se r�alisa creusant puis cambrant les fesse elle entreprit de s'enclouer sur le vigoureux chibre.
Surpris de sa r�action il la laissait faire, toute honte bue elle roulait de la croupe, serrant le gourdin sur lequel elle s'empalait de toutes ses forces l'emp�chant de quitter ses fesses lorsqu'elle creusait le ventre, l'absorbant, l'aspirant dans sa gaine chaque fois qu'elle se cambrait.
Trait� aussi princi�rement, la grosse mentule, bien au chaud dans les entrailles fr�missantes se vit bient�t agit�e de soubresauts convulsifs, d'un coup de rein puissant il l'emmancha plus loin que jamais, ses cris de plaisir �clat�rent, tandis que dans un r�le de bonheur il se d�versait dans le tr�fonds de ses entrailles, il resta longtemps affal� sur sa croupe reprenant sa respiration.
Elle m�me haletait encore lorsque contournant le lit, dans ce qui devait devenir un rituel il lui tendit son chibre � nettoyer.
Elle l�cha � nouveau longuement la pine maintenant ramollie, la d�barrassant des acres souillures brunes qui la maculaient.
Il la laissa an�antie de plaisir dans son lit, elle n'en pouvait plus, ce petit salaud apr�s avoir failli la faire jouir, l'avait men�e � l'orgasme en l'enculant, pour la premi�re fois de sa vie son cul s'�tait av�r� source de plaisir, et quel plaisir, des frissons nerveux en parcouraient encore son ventre et ses reins.
Une douche froide la ramena sur terre, elle s'interdit de r�fl�chir longuement � ce qui lui arrivait, dor�navant, elle se contenterait de vivre au jour le jour, sure qu'elle accorderait d�sormais tout ce qu'il voudrait � son ma�tre chanteur.
Il la tenait, elle s'en rendait bien compte non seulement par le chantage mais aussi par les sens, elle se savait maintenant incapable de lui refuser quoi que ce soit, et elle �tait bien certain qu'il ne se priverait pas d'en profiter .
Coulybaca (texte personnel)
Janvier 2008
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca (Texte personnel)
Chapitre 3 : R�union d�amies
Ce n'est que le lendemain apr�s-midi qu'elle rencontra � nouveau son suborneur, depuis le matin, elle attendait inconsciemment ce moment. Elle s'�tonnait int�rieurement de son manque d'empressement.
La nuit avait �t� des plus p�nibles, plusieurs fois elle s'�tait �veill�e, le corps baignant de sueur, une main fich�e dans la fourche de ses cuisses Elle se souvenait de quelques bribes des cauchemars qui l'avaient agit�e.
A trois reprises, � quelques d�tails pr�s, la m�me situation s'�tait reproduite : �cartel�e entre trois loubards qui lui bourraient sans vergogne les trois orifices, elle hurlait de douleur lorsque surgissait son sauveteur, Ali apr�s une violente bagarre la d�livrait de ses tourmenteurs, puis l'entra�nait dans le grenier, et l� reconnaissante, elle se donnait � lui, lui offrant successivement tous ses trous, c'�tait invariablement � ce moment qu'elle se r�veillait, le c�ur battant la chamade, le sexe tremp� de sa mouille.
Ce qui la troublait le plus, c'�tait de constater que si ni son mari, ni ses enfants n'apparaissaient dans son r�ve, par une �trange d�formation des faits, son suborneur se muait en sauveteur, la contrainte qu'elle avait subie se transformait en un don charnel, un remerciement .
Elle rangeait le bureau de son mari, lorsqu'� pas feutr�s, il se glissa dans son dos.
La surprise la fit sursauter, au contact de la main d'Ali s'immis�ant entre ses jambes, elle �carta de suite les cuisses, lui lib�rant ainsi totalement le passage.
Constatant la pr�sence interdite d'une culotte, sans un mot , il s'assit sur le fauteuil du bureau, la coucha sur ses genoux, releva la jupe sur sa croupe, lui descendit le slip sur les mollets et lui ass�na quelques claques bien senties sur le post�rieur .
Son joufflu ne tarda pas � la br�ler, elle ne se d�battait pas, consciente de sa faute, elle en admettait la juste punition .
Apr�s une vingtaine de gifles sonores, il arr�ta quelques instants, la croupe rougie, crisp�e, se desserra lentement, il la flatta du plat de la main, avant d'insinuer ses doigts dans la tendre vall�e.
Eperdue, elle se laissait faire, ouvrant les fesses, autorisant ainsi l'invasion de son entre fesse, d'un doigt n�gligent, il constata l'humidit� de sa moule, puis, lui vrillant le pouce dans l'anus, il v�rifia sa disponibilit�.
Rouge de confusion, elle se releva, et toujours sans un mot se d�barrassa de son slip, le gardant � la main.��
- C'est mieux comme �a ..... Je croyais t'avoir interdit le port d'une culotte ... Tu dois toujours �tre pr�te .... Rien ne doit g�ner l'acc�s de ton cul ou de ta motte ! �. �� J'avais oubli� ..... Je ne le ferai plus ..... r�pondit-elle servilement.� Monte avec moi au grenier ..... On va analyser les documents! �.
Elle obtemp�ra, le pr�c�dant dans les escaliers, d�posant au passage sa culotte dans la lingerie.
La main sous la jupe, il lui triturait les fesses, la chatte, elle sentait grandir son excitation, ses sens d�j� �veill�s par la fess�e se d�bridaient, des picotements aigus lui incendiaient la vulve, la cyprine d�bordait de sa moule lui engluant l'entre fesse.����
- Faudra que t'attendes un peu avant que j'te la mette ..... Ca sera encore meilleur se moquait il.
Allong�s � plat ventre, cote � cote, sur un matelas, il prenait des notes tandis qu'elle commentait les photos.���
- Elle, c'est Solange, c'�tait ma meilleurs copine ... Je l'ai aper�ue en ville ... Elle doit avoir �pous� le notaire�� �
- Elle c'est Sylvie Latour, il me semble aussi l'avoir aper�ue�..
Elle identifia ainsi une dizaine jeunes filles, il notait au fur et � mesure les maigres informations qu'elle lui donnait.
Elle soup�onnait le but de son interrogatoire, et se le vit d'ailleurs bient�t confirmer.��
- Tu vas reprendre contact avec celles que tu connais ...... Invite les ... Demain apr�s-midi pour le th� .... Je veux tout savoir d'elles .... C�libataires, mari�es ..... Profession du mari ..... Nombre d'enfants .... Je veux savoir aussi si les maris sont au courant ..... On verra ainsi celles que je peux coincer
Elle se rebella � cette id�e, c'�tait d�j� difficile de lui r�v�ler l'identit� de ses compagnes d'infortune, mais devinant comment il utiliserait ses informations, lui livrer ses ex-copines pieds et poings et li�s, �a elle ne le pouvait pas.�� - Tu ob�is ... Point final la coupa-t-il.
Et, piquant du nez, elle plia une nouvelle fois, acquiescent de la t�te.
- T'as bien gagn� ta r�compense� lui dit-il s'allongeant sur le dos
F�brile, elle d�grafa son jean, lui baissa sur les genoux et � califourchon s'installa au dessus de son braquemart dress�.
Il voulait la contraindre � se prostituer de la mani�re la plus �vidente, aussi, les mains sur la taille refusait-il de la guider.
D'elle m�me, br�lante de honte elle introduisit son gland dans sa chatte, elle haletait d�j�, toujours immobile, il la contraignait � prendre les initiatives les plus os�es, apr�s quelques longues secondes d'h�sitation, elle s'encloua brusquement sur le chibre dress�.
Son ventre agit� d'une houle violente, elle allait et venait, se relevant et s'abaissant sur la queue de son jeune amant, lorsqu'elle sentit deux mains �trang�res lui ouvrir le cul.��
- �Ah, Mohamed �a fait un moment que je t'attendais, ne te g�nes pas .... Elle a encore deux trous de libre ..... Choisis ! �.
-
Passive, elle se bloqua, la byroute d'Ali fich�e dans son ventre, creusa les reins pour mieux faire saillir sa croupe, attendant l'intromission qu'elle appr�hendait cependant.
Les fesses tendues, elle dilata au maximum son sphincter, le contraignant � s'�carquiller, d�voilant l'int�rieur ros� de ses entrailles, encourag� par le spectacle, Mohamed posa la t�te de son gland sur la pastille brune, il n'eut m�me pas � forcer, contractant son muscle annel� elle ingurgita d'elle m�me le gros champignon, d�montrant ainsi un tout nouveau savoir faire que bien des putes lui envierait.
Ali toujours immobile, elle sentit la pine du petit fr�re lui envahir lentement les intestins, il progressait doucement, laissant sa gaine s'acclimater, se d�plier, �pouser sa conformation.
Elle sentit bient�t les poils de ses couilles lui chatouiller les fesses, sans dommage il s'�tait enfonc� jusqu'� la garde.
Elle n'eut pas le temps de s'�tonner de ne ressentir aucune souffrance bien que pleine d'eux � en �clater, dans son cul la bitte de Mohamed s'animait, il se retira vivement, d�culant, son ventre suivit le mouvement pour se replanter d'un coup violent au fond du tunnel soumis, Ali s'y mettait aussi et bient�t elle ne fut plus qu'un paquet de chair vagissant de plaisir par leurs deux bites embroch�e.
Ils avaient parfaitement accord�s leur rythme, chaque p�n�tration de l'un correspondant au retrait de l'autre, elle suivait leur branle cherchant toujours � s'enclouer plus profond�ment, leurs mouvement altern�s se firent plus h�sitants, elle allait de spasmes en spasmes, le rythme se fit plus f�brile, Ali le premier d�versa tout son trop plein dans sa chatte dilat�e, elle serrait sa gaine sur son sexe comme pour mieux en traire tout le suc, lorsqu'� son tour Mohamed l�cha les bondes, se lib�rant � grands jets dans son cul gourmand.
Il s'affala sur son dos, elle sentait les pines se ratatiner dans ses deux �tuis tandis qu'il reprenait leurs souffles, puis Mohamed roula sur le cot�, elle descendit de sa monture et dans une fellation gourmande elle entreprit de nettoyer la queue de son amant, ayant rang� l'engin elle s'int�ressa � celle de son fr�re, qui rebanda, forte de sa technique, sous la contrainte, elle avait d�j� suc� des dizaines de queues de ma�tres exigeants, bavant sa salive, engloutissant l'outil dans le tr�fonds de sa gorge, l�chant les freins, retroussant de la langue le pr�puce, elle parvint encore � lui soutirer une bonne dose de semence cr�meuse, la saveur de son sperme s'av�ra diff�rente de celle de son fr�re, il �tait plus acre, plus amer elle n'aurait cependant pu dire lequel elle pr�f�rait.�
- Ca t'as plu interrogea Ali, bient�t je t'en passerai d'autres .... Mais en attendant quand l'envie t'en prend, tu peux toujours te taper Clothilde .... elle est toujours pr�te ! �..
Honteuse, d�goutt�e par son attitude, elle se rendait bien compte qu'effectivement, elle �tait maintenant pr�te � tout pour satisfaire son jeune amant, esclave de sa queue elle se souciait surtout de gagner sa r�compense .
Cependant la vie s'�coulait ordinairement, ni son mari, ni ses enfants n'avaient consciences des pens�es qui maintenant l'agitaient insistantes, obs�dantes.
Tout juste avaient-ils not� ses r�veries, mais comme elles s'accompagnaient d'un entrain et d'une joie de vivre retrouv�s ne s'en �taient-ils pas plus souci�s .
Le lendemain apr�s-midi, elles �taient cinq autour d'une tasse de th� ; elle avait retrouv� facilement Solange et Pascale qui s'�taient charg�es de contacter elles m�mes Sylvie et Arlette .
Heureuses de se retrouver, elles discut�rent � b�tons rompus pendant de longues minutes, Clothilde s'effor�ant de r�chauffer la chaude amiti� qui les avait li�es un temps, enfin les confidences se faisant plus intimes, mettant discr�tement un magn�tophone en route, elle embraya sur le sujet qui la pr�occupait :���
- je suis tr�s heureuse de vous revoir, mais je vous ai demand� de me rejoindre dans un but bien pr�cis ..... J'ai rencontr� Michel, dans une soir�e, cela m'a beaucoup g�n� .... Et je voulais savoir comment vous vous comportiez dans ce cas ...... � Tu n'as pas � te g�ner avec nous r�pondit Solange avec son franc parler Tu veux parler de la Grange aux loups je suppose, eh bien allons y ! �.
-
Solange, Pascale et Arlette avaient comme elles cach� cet �pisode douloureux � leurs conjoints, Sylvie �tait la seule � s'en �tre ouvert � son mari.
Toutes trois elles lui confi�rent que si maintenant leurs craintes s'�taient apais�es, elles avaient v�cu pendant des ann�es dans la hantise de la r�v�lation de ces mois de d�ch�ance .
Clothilde insista, et cependant que ferait-elles si maintenant, un salaud les mena�aient de tout r�v�ler, leurs visages s'assombrirent, elles convinrent toutes trois que plut�t de voir toutes ces humiliations remonter � la surface, elles se soumettraient au chantage, �a elles connaissaient, elles avaient d�j� donn�, mais tout �tait pr�f�rable � l'id�e de se voir mises au ban de la soci�t� Moulinoise, toutes trois craignant les r�actions de leurs entourages ne pourraient se permettre une quelconque r�volte .
S'excusant quelques secondes, elle rejoignit Ali dans la cuisine, lui rendant compte de sa mission, il s'en r�jouit et lui ordonna de retenir la belle rousse, il allait la soumettre dans la foul�e .
Quelques minutes plus tard, embrassant ses amies sur le pas de porte, elle retint Solange par le bras :��
- Je voudrai te montrer quelque chose ! �.. .
Solange embrassa donc elle aussi les partantes et en compagnie de Clothilde retourna au salon, Ali assis sur un fauteuil les attendait l'album � la main.��
- Ma pauvre ch�rie, c'�tait pas gratuit ce que je disais tout � l'heure ..... Ce petit salaud a trouv� des photos .... Et depuis une semaine il me baise � tout bout de champs, quand il veut, comme il veut ! �..
Bl�me Solange s'approcha, incr�dule elle prit l'album et d'un rapide coup d��il s'impr�gna da la r�alit� de la menace, comme Clothilde la semaine pr�c�dente, l'exp�rience, le dressage qu'elle avait subi auparavant la poussait � s'humilier � accepter les ordres d'un ma�tre qui la dominerait.�
- Que voulez vous ? �. demanda-t-elle oppress�e.� Devine ..... l�ve ta jupe .... Montre ton cul! �.
Sans un mot, elle se soumit, du bout des doigts, elle remonta sa robe d�voilant des bas noirs accroch�s � un porte jarretelle noir incrust� de rouge.
- Ca aurait �t� dommage de nous cacher tout �a�.. commenta Ali, Allez continue
Les larmes lui piquant les yeux elle retira sa robe, la posant sur l'accoudoir du fauteuil .
Fig�e en bas, porte jarretelles, string et soutien gorge assortis, elle ne cherchait m�me pas � dissimuler ses app�ts, t�te basse, elle �tait l'image m�me de la d�solation .
Par le m�me curieux m�canisme, qui avait entra�n� Clothilde � se plier � la suggestion de son tourmenteur, elle se sentait incapable de r�agir, le poids du dressage pr�c�dent, bien qu'�loign� de vingt ans, la poussait � se plier servilement aux ordres d'un ma�tre quel qu'il soit : c'�tait une proie r�v�e.
R�sign�e, elle attendait la suite, lorsqu'elle l'entendit interpeller Clothilde qui ob�it sur le champ :�
- Cours chercher Mohamed, et ram�nes un appareil photo charg�, on va commencer un nouvel album ! �..
En attendant Mohamed, il l'attira entre ses genoux, lui baissant le string il remarqua :��
- Tu te tailles la toison? �.. elle arborait effectivement un mince pinceau de poils coup�s courts, qui partaient du nombril pour se perdre entre les cuisses, encore jointes.
Elle expliqua :
- C'est pour l'�t�... Mon mari trouve moche des poils qui d�passent du maillot, alors ..... � T'es tu d�j� tout ras�? �.. � Oui .... Une fois .... Mon mari me voulait enti�rement nue ....J'avais honte .... J'ai toujours refus� par la suite ..... ��
- Je sens que tu vas lui faire une belle surprise � ton cocu .�..� Il va �tre heureux ..... C'est le moins qu'on puisse faire pour le rendre heureux .....
Les mots lui parvenaient, plus ou moins vides de sens, encore sous le choc de la r�v�lation, elle assimilait mal, se contentant de r�pondre et d'ob�ir.
Mohamed et Clothilde arriv�rent, voyant la belle jeune femme � moiti� d�nud�e, Mohamed siffla d'admiration.�
- Ben mon colon, si j'me doutais ..... Tu parles d'une surprise .... Elle a� ce qu'il faut l� ou il faut ....Ca va �tre un vrai plaisir ! �.. Ne perdons pas de temps, tu te �tapes rapidement quant � toi vas nous chercher un blaireau, un rasoir et du talc ! �.
Mohamed largua rapidement tee-shirt, jean, slip et basket la queue bien dress�e il se campa face � Solange lui permettant d'appr�cier l'outil qui allait la travailler.
Sa bite brune prenait d�j� de l'ampleur, de la main il retroussa son pr�puce, exposant ainsi son gland violac�, pareil � une quetsche, ces prunes bleues qu'on s'attend plus � voir dans une corbeille � fruits que couronnant la pine d'un adolescent .
Impatient il crocha du doigt le string de la belle, un coup sec, l'�lastique se d�chira, lui marquant le ventre d'un trait de feu.��
- Comme t'auras plus le droit d'en porter, autant ne pas se g�ner! �..
Le voyant avancer de nouveau la main, craignant pour son soutien gorge, elle se h�ta de le d�grafer, de le retirer, le posant sur sa robe .
Ses seins lourds, aux ar�oles larges, brunes leur saut�rent aux yeux, il s'empara des t�tins sombres, larges comme le petit doigt, les tordit, lui arrachant un petit cri de douleur.��
- j'aime mieux �a .... Comme �a tu r�agis .... Je veux que tu participes, ce sera mieux pour les photos ..... intervint Ali l'air satisfait.
Il prit l'album en mains et l'ouvrit aux planches qui concernait Solange, et s'adressant ensuite � son fr�re :���
- On va refaire les m�mes photos, on fera une planche hier, et en vis � vis une planche aujourd'hui ...... On va d'abord s'occuper des photos ..... Tu t'amuseras avec elle ensuite !..... Toi gardes tes bas et ton porte jarretelles, ce sera plus �rotique ....
Lui appuyant sur les �paules, il l'agenouilla entre ses cuisses, les yeux fix�s sur l'image, Ali lui faisait varier les positions, photographiant les plus ressemblantes.
Il la pris ainsi, la langue dard�e sur le m�at, puis la bite enfonc�e jusqu'aux amygdales, de l�ger profil, la joue reposant sur le tapis fris� du pubis, et encore la bite butant contre les parois d'une de ses joues, d�formant son profil, puis le gland juste ins�r� entre les dents, Mohamed s'excitant violemment il termina cette s�rie en crachant son sperme sur le visage de Solange, la belle tendant la langue pour recueillir sur ses joues la douce liqueur et enfin le visage ruisselant de grosses larmes spermatiques la maculant du front au menton, r�cup�rant du bout de la langue la derni�re goutte suintant du m�at.��
- Faut varier, le temps que je r�cup�re se plaignit Mohamed.
- C'est bon .... Clothilde a amen� le mat�riel ...... On va la rajeunir ..... Avec un beau petit minou ...... Comme � ses sept ans .... Pose la serviette �ponge sur le bureau ..... Inutile de tout tremper! �.
Comprenant enfin ou Ali voulait en venir, Clothilde �tendit le drap de bain sur le bureau, Solange s'�tendit dessus, sur le dos, cuisses �cart�es,� genoux relev�s, compas grand ouvert, Solange livrait ses tr�sors � leurs regards, comme sur une chaise obst�tricale chez son gyn�cologue.
Ali trempa le blaireau dans la mousse onctueuse et entreprit d'en barbouiller tout son triangle pubien, elle comprit alors ce qui l'attendait, d'une ruade elle voulut se redresser, une gifle suffit � la convaincre de se pr�ter � l'op�ration.
Le rasoir crissant sur la peau, Ali commen�a par lui d�garnir le mont de v�nus, bande apr�s bande ses poils la quittaient, pin�ant le clitoris entre deux doigts, il d�gagea les grandes l�vres la pr�venant de ne plus bouger, en deux longs passages, le rasoir lui d�nuda la fente, de m�me il �limina les poils frisott�s encerclant son anus.
Apr�s un bon rin�age � l'eau ti�de, il termina son oeuvre en �liminant les derniers poils superflus.
Sa blessure mauve, tranchait vivement sur la peau blanche, son clitoris gorg� de sang semblait une petite cerise surmontant sa gousse maintenant glabre.
Un peu de talc �pandu avec soin calma le feu de rasoir, Ali en profita pour caresser lentement l'abricot tout lisse, juv�nile, qui tranchait maintenant de fa�on obsc�ne avec son corps plantureux de femme mure.
- On va reprendre les photos dit Ali voyant que la bite de son fr�re avait retrouv� tout son allant.
En effet de voir raser le minet de Solange, Mohamed avait r�cup�r� toute sa vigueur, son p�nis se dressait fi�rement au dessus des testicules poilus ;��
- Tant que tu bandes ferme, tu vas commencer par lui mettre dans le cul �� continua-t-il, l�accoudoir du fauteuil remplacera la chaise, encule la couch�e sur sa robe! �.
A ces mots, Solange fr�mit, comme Clothilde, depuis vingt ans elle avait refus� cette faveur, que pendant deux mois elle s'�tait vue oblig�e d'accorder malgr� la douleur ressentie, cependant, sans un mot, elle se coucha sur l'accoudoir mamelles pendantes.
Conscient de la difficult� d'un enculage � sec, Mohamed pr�f�ra l'oindre d'une noisette de cr�me niv�a, apport�e par Clothilde en en-cas.
�De deux doigts r�unis, il lui fora le trou du cul, graissant largement l'entre fesse et l'intestin, puis la s�ance reprit .
Elle fut photographi�e la bite � moiti� engag�e dans la rondelle, enfouie jusqu'aux couilles, de profil, de derri�re, le photographe allong� entre leurs jambes, enfin l'enculeur retir�, Ali prit en gros plan son anus �carquill�, sa b�ance r�v�lant bien l'usage qui venait d'en �tre fait.
Pour toutes ces photos, Solange avait du pr�senter constamment son visage � l'objectif, souriante, la langue dard�e, ou grima�ante sous l'effort.
Elle n'avait pas ressenti de grandes douleurs, son sphincter bien pr�par�, s'�tait bien arrondi livrant facilement son post�rieur soumis .
Enfin� Mohamed s'allongeant sur la moquette, elle dut s'empaler sur sa byroute, on devait voir distinctement sa main guidant la queue de son amant dans son intimit� dilat�e, il la prit en levrette, de dos, de face, debout couch�, assis, elle se lassait manipuler comme une poup�e de son, mais peu � peu elle sentait des vibrations sournoises parcourir son ventre, Mohamed ne s'y trompa pas, il se sentait coulisser avec de plus en plus de facilit� entre ses babines, il la sentait m�me accro�tre la profondeur des p�n�trations en tendant le ventre, aller � sa rencontre .....
Une derni�re fantaisie traversa la t�te d'Ali, couch�e sur les dos, elle accueillit Mohamed entre ses seins, lui faisant une savoureuse cravate de notaire, la langue titillant le m�at chaque fois qu'il passait � port�e de bouche .
Pour terminer la s�ance, elle dut le branler, ce ne fut pas long, il aspergea de longs jets cr�meux son entre fesses, qu'Ali photographia luisant de foutre, donnant l'impression de d�border de cr�me gluante alors qu'elle n'avait pas encore connu la gifle br�lante de la semence lui �claboussant le vagin ou les entrailles.
Comme Mohamed se relevait, il se d�culotta vivement, et la flamberge tendue � se rompre il se rua dans son ventre br�lant, l'impatience de Solange �tait maintenant si vive qu'elle accentua la p�n�tration en cambrant le ventre, tout de suite l'orgasme la secoua, t�tanis�e des pieds � la t�te elle sentit Ali s'extraire de son ventre pour se ruer dans son cul ouvert, il changea plusieurs fois brutalement de trous, la perforant � chaque fois jusqu'� la garde, secou�e de spasmes elle s'abandonna en longs cris de jouissance tandis qu'il lui larguait sa pur�e dans le tr�fonds des entrailles.
Reconnaissante, elle lui nettoya la queue d'une langue appliqu�e, trayant le m�at pour en extraire les derni�res gouttes.
Une fois remise de ses �motions, Ali lui confia l'�tude de l'album, r�sidant depuis toujours � Moulins, elle �tait � m�me d'identifier d'autres proies tout en indiquant leur vuln�rabilit� .
L'�tude du dossier permit d'�liminer quelques gamines devenues d'inf�mes boudins, d'autres qui c'�taient sur avaient confi�es leur drame � leurs �poux, pour en �lire une demi douzaine tr�s nettement vuln�rable.
Il s'agissait pour toutes ces �lues, de femmes de notables, m�decins, directeurs de banque, avocat comme si, pour mieux assurer leur mont�e sociale, toutes ces jeunes femmes avaient volontairement n�glig� d'informer leurs futurs de quelques d�tails concernant cette p�riode troubl�e .
Pour toutes, Solange qui les fr�quentait, savait de mani�re la plus sure, qu'effectivement, r�v�ler ces �pisodes sulfureux auraient signifi� pour elles � l'�poque de leurs mariages une �limination directe, et m�me actuellement, le� renom de leurs maris ne pourraient s'accommoder de r�v�lations encombrantes, c'�taient donc des proies r�v�es .
Le cul nu sous sa robe, Solange les quitta, ayant promis de les rejoindre le lendemain apr�s-midi, dans une tenue adapt�e � leurs envies, pour les aider � peaufiner le pi�ge qui enrichirait encore leur cheptel.
Ravi, Ali se voyait d�j� � la t�te d'une meute de meufs de la jet soci�t�, se promettant de transformer rapidement ces salopes en bonnes gagneuses qui lui assureraient son train de vie.
Mohamed lui, se r�jouissait plus simplement de pouvoir jouir � discr�tion de ces belles jeunes femmes qui dans le meilleur des cas le toisaient d'un oeil hautain, lorsqu'il laissait ses yeux ramper sur leurs formes aguichantes .
Les deux berg�res ne r�fl�chissaient pas, elles se savaient toutes deux � nouveau entre les mains d'impitoyables ma�tres-chanteurs, leur seul souci �tait de se montrer disponibles, gentilles � souhait, elles �taient pr�tes � toutes les compromissions afin d'�viter la r�v�lation de leur drame.
Comme nagu�re, ob�issant aux r�flexes que leur avaient alors inculqu�s leurs tortionnaires, elles se soumettraient � tout et � tous pourvu que leur infortune reste secr�te. A quoi servirait-il d'envisager l'avenir, alors qu'il leur serait impos� sans se soucier de leur avis.
Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
L'OMBRE DU PASSE
�Coulybaca (Texte personnel)
Chapitre 4 : retour � la grange aux loups.�������������������������������������������������������������������
Ce vendredi apr�s-midi, Solange jupe courte, bas fum�s sonna vers quatorze heures chez Clothilde. Uniquement v�tue d'une chemisette lui arrivant au nombril, fesses et minou � l'air, cette derni�re l'invita � entrer, pr�cisant :���
- Ils nous attendent au grenier��.
Allong�s sur des matelas, Ali et son fr�re� composaient des dossiers distincts, chaque fiche portait en gros le nom du sujet, puis �tait divis�e en deux parties, l'une comportant les documents existants, l'autre vierge serait remplie par la suite.
Solange s'accroupit, leur tendant chacun leur tour ses l�vres, sa position permettait � ses ma�tres une v�rification rapide de sa tenue, entre ses cuisses �cart�es, son abricot lisse, libre de tous voiles, d�montrait son ob�issance.
Ne r�sistant pas � l'envie qui le travaillait, Ali de la langue for�a les dents de la belle brune, tandis que ses doigts s'introduisaient dans la chatte expos�e, p�n�tr�rent de deux phalanges dans l'antre humide, avant de ressortir enduits des secr�tions intimes� de Solange.��
- Et ton cocu de notaire, ..... Il a appr�ci� notre cadeau? �.�
- Oh oui .... il �tait comme fou ..... je lui ai racont� que c'�tait pour f�ter, � ma mani�re, le retour du printemps ......
- C'est pas le tout intervint Ali, On a du pain sur la planche .... Le travail d'abord, le plaisir apr�s�..
Ils se mirent tous quatre au travail, remplissant les fiches, s�lectionnant ensuite une photo, qu'ils mettaient dans une enveloppe de kraft brun � l'adresse de la future victime.
Ils �tablirent ainsi le CV de leur huit prochaines victimes :
- Arlette Dumas :
mari�e � la plus grosse pharmacie de la ville, mari adjoint � la mairie, deux enfants , blonde, d�s�uvr�e, larges plages de temps libre.
- Pascale Ronet :
n�e Lobry, mari chirurgien dentiste, une fille, rousse, plantureuse, libre tous les apr�s-midis .
- Sylvette Morin :
mari avocat, absent pendant de longues p�riodes, deux enfants, petite brune � l'allure d�lur�e, enti�rement disponible .
- Aurore Lepan :
mari maire de Moulins, conseiller g�n�ral, un enfant, rousse, comme Sylvette, largement disponible, son mari s'absentant fr�quemment, la politique ....
- Juliette Novak :
mari chirurgien, propri�taire de la clinique Saint-Claude, trois enfants, blonde d�color�e, disponible tous les apr�s-midis jusqu'� une heure avanc�e de la nuit.
- Sylvie P�cout :
mari m�decin g�n�raliste, enseignant � la Fac de Lyon, absent toute la semaine et parfois le Week-end, disponibles tous les jours sauf les mardi et mercredi, deux enfants, brune, grande, distingu�e.
- Corinne Lautrac :
mari bijoutier, la plus grosse bijouterie de la ville, une fille, blonde d�color�e, prise tous les matins.
- Christine Barault :
mari v�t�rinaire, propri�taire d'une clinique pour animaux, deux enfants, rousse, disponibles � tout moments sauf le mercredi et le samedi matin, consacr�s aux enfants.
Toutes elles avaient entre trente six et quarante ans, �panouies, leurs enfants ayant quant � eux de douze � seize ans, elles s'�taient toutes mari�es aux alentours de vingt ans, dig�rant vraisemblablement, leur drame auparavant .
Ces huit femmes avaient encore en commun avec Clothilde et Solange leurs situations sociales �lev�es.
Toutes plus ou moins libres de leurs mouvements, elles se retrouvaient dans diff�rentes associations charitables, bien pensantes : pour chacune le para�tre primait l'�tre v�ritable.
Toutes distingu�es, voir m�me d�daigneuses, sophistiqu�es, toujours tir�es � quatre �pingles, leurs CV confirmaient amplement les dire de Solange, Ali les voyait d�j� � ses genoux, ob�issant au doigt et � l��il, leurs bouches accoutum�es � croquer des petits fours engloutissant les pines furieuses de leurs clients .
Depuis quelques instants, les mains des gar�ons tra�naient sur les croupes rebondies de ces dames, se d�lectant de leurs rondeurs, provoquant en elles de tendres �mois.
S'accordant une r�cr�ation, ils les dispos�rent cote � cote, � quatre pattes sur le matelas et s'amus�rent � enfoncer leurs pines dans les orifices �carquill�s passant rapidement d'un trou � l'autre, forant au hasard les chattes ou les culs.
Soumises � ce r�gime elles ne tard�rent pas � haleter, les flancs fr�missants, les hanches roulants au rythme des introductions, elles ne tard�rent pas � s'affaler sur le ventre cambrant les fesses pour mieux se faire remplir.
En ch�ur, les deux fr�res se d�vers�rent qui dans le cul, qui dans le ventre de leurs partenaires, les laissant pantelantes, toute honte bue, le corps secou� de soubresauts, derniers t�moins de leurs plaisirs.
Soulag�s, les couilles vides, les entrailles pleines, ils reprirent leurs travaux, pr�parant les envois d�cisifs.
Le mardi matin, sous les yeux amus�s, int�ress�s des deux fr�res elles se point�rent, chacune leur tour � la poste, retirer l'envoi recommand�, personnel qui leur �tait destin�.
Ali et Mohamed guettaient leurs r�actions, curieux d'observer la contenance qu'elles arboreraient � l'ouverture de la lettre.
Toutes, elles d�cachet�rent paisiblement leurs enveloppes, bl�mirent en en d�couvrant le contenu, seules deux des jeunes femmes jet�rent un oeil rapide au verso avant d'enfourner le rectangle blanc dans leurs sacs.
Pour toutes le choc avait �t� terrible, ces photos obsc�nes ressuscitaient une �poque qu'elles croyaient � jamais r�volues, effondr�es elles se pr�cipit�rent toutes dans leurs voitures pour se r�fugier dans le nid douillet de leurs chambres.
Le c�ur d�raillant, ce n'est que l� qu'elles eurent le courage de d�tailler l'envoi. Au dos ne figuraient que ces quelques mots :
Grange aux loups, jeudi 15 heures, SINON ......
Elles comprirent toutes le message, se retrouvant jeunes adolescentes, contraintes par la force de participer aux orgies du dimanche apr�s-midi. Se retrouvant dans la m�me situation, quinze ans plus tard, elles eurent la m�me r�action qu'alors, sanglotant � chaudes larmes, ne pouvant confier leurs d�tresses � leurs proches, elles se dispos�rent � ob�ir ; ayant d�j� affront� le m�me chantage, les r�flexes d'antan revenaient, tout pourvu que personne ne sache.
D'embl�e elles adopt�rent toutes la politique de l'autruche, se cacher la t�te pour ne plus voir le danger .
Le jeudi apr�s midi, d'�ventuels promeneurs se seraient �tonn�s � la vue de ces voitures luxueuses convergeant vers le m�me point : la grange aux loups.
Heureusement l'endroit �tait peu fr�quent�, personne ne put donc s'en �tonner, l'une apr�s l'autre elles rang�rent leurs voitures, se� reconnurent, inconsciemment satisfaites de ne pas �tre les seules sous influence.
Ali les attendait de pied ferme, il les regroupa dans une petite pi�ce qu'en compagnie de Mohamed Clothilde et Solange il avait mis deux jours � transformer en vestiaire .
L� elles furent pri�es de se d�loquer, la t�te basse, leur seule pr�sence r�v�lant leur soumission, le geste lent, angoiss�e elles se d�firent de leurs atours d�voilant petit � petit leurs charmes.
Clothilde et Solange montraient l'exemple, exhortant par leur attitude les autres femmes � en faire autant, de toute mani�re, leurs corps et leurs esprits avaient admis cette solution, l'exp�rience v�cue quinze ans plus t�t conditionnant leurs r�flexes.
Craintives, elles �coutaient le brouhaha qui leur parvenait, au travers de la porte, de la salle voisine.
Ali y avait rameut� la bande de loubards qu'il fr�quentait, une vingtaine de marlous, d�j� � poils, piaffant d'impatience, vautr�s sur des matelas, attendaient les femelles promises.
Cela leur avait co�t� chacun quatre vingt euros, ils en voulaient tous pour leur argent, et comptaient bien utiliser les femelles promises sous tous les angles tout au long de l'apr�s-midi .
Enfin, une � une ils les poussa dans la grande salle sous la lumi�re crue des spots dispos�s �a et l�.
En ligne, cuisses serr�es, une main prot�geant de fa�on d�risoire leurs toisons, l'autre couvrant les seins, elles se tenaient debout face � leurs bourreaux, certaines comprenant dans leur chair que le cauchemar reprenait, les autres la t�te vide, toutes effondr�es.
Ali donna le signal de l'orgie, empoign�es par les hanches, les seins, la taille, elles s'affal�rent sur leurs suborneurs.
Tout de suite des mains baladeuses se promen�rent sur leurs courbes, s'impr�gnant de leur chaleur, des doigts vicieux forc�rent leurs ventres contract�s, leurs anus crisp�s.
Bient�t elles se retrouv�rent toutes investies, les plus chanceuses ne profitant d'une seule queue, les plus tentantes satisfaisant simultan�ment trois membres fi�vreux.
Quelques claques retentissaient parfois, mais dans l'ensemble elles satisfaisaient, complaisamment leurs partenaires, les chattes grandes ouvertes accueillant des braquemarts inconnus, les trous du cul crisp�s sur les membres qui les emplissait, les bouches pleines � ras bord des bites turgescentes, affol�es, elles ne comptaient plus les chibres qui les avaient poss�d�es, instruites par l'exp�rience, elles tendaient le ventre, dilataient leurs sphincters, arrondissaient la bouche pour diminuer la souffrance ressentie� de ces p�n�trations multiples, participant de ce fait activement � leurs viols.
Ali et Mohamed les cam�scopes de Solange et Clothilde au poings, filmaient sans discontinuer, cadrant aussi bien les bouches goulues d�form�es par les bites cons�quentes que les cramouilles rougies, irrit�es par le nombre de queues aval�es, que les trous du cul �tranglant les flamberges fr�missantes.
Ils mirent en boites moult s�quences d'une pornographie d�brid�e :
Cotes � cotes, Pascale empal�e sur la bite d'un petit moricaud, su�ait la queue noueuse, �norme d'un grand gaillard qui la tenait par les oreilles pour mieux asservir sa gorge, tandis qu'un �norme pieux lui distendait le trou du cul, retroussant son sphincter en un bourrelet hideux, v�ritables col de cygne couronnant la queue d'un gros noir fris� et Aurore deux bites � la main enfournant successivement deux chibres de bonne taille au fin fond de la gorge, il r�ussit m�me � capter les mouvements de d�glutition de la suceuse avalant successivement le d�ferlement ti�de des bourses pleines au fond de sa gorge haletante.
Tout l'apr�s-midi elles se firent ramoner, limer, emboutir par les vingt loubards d�cha�n�s, ce n'est que vers dix huit heures que le combat se termina faute de combattants, les vingt clients se retir�rent, abandonnant leurs victimes gisant sur les matelas, le corps rompu, la bouche lasse, le ventre meurtri, l'anus douloureux.
Couvertes de foutre, de sueur, d�go�t�es, honteuses, elles attendaient la suite des �v�nements.
Elles purent sortir � l'air libre, nues, colonne pitoyable, et durent se livrer � leurs ablutions une � une sous l��il indiscret de la cam�ra, au mince filet d'eau d'un unique robinet.
Elles s'entraid�rent, le sort les rendant une nouvelle fois compagnes d'infortunes, les doigts s'infiltraient dans les chattes br�lantes, les anus dilat�s, cherchant � en chasser le foutre qui les engluait, elles se gargarisaient pour se d�barrasser du go�t tenace des diff�rentes semences leur poissant le palais, leur impr�gnant les papilles, la luette et les amygdales.
Puis toujours nues, sous la direction de leurs tourmenteurs, elles rentr�rent au vestiaire pour se rhabiller.
Ali confisquant les culottes leur enjoignit de se trouver le lendemain apr�s-midi chez Clothilde, elles y assisteraient � la projection de la bande vid�o et y recevraient leurs consignes, bien entendu, elles se pr�senteraient sans culottes, totalement disponibles, comme elles devraient toujours l'�tre dor�navant.
Ali �tait tr�s heureux de son apr�s-midi, non seulement il avait assur� son emprise sur ce troupeau de salopes, mais cela lui avait rapport� 1.6 00 euros, les premi�res pierres de son projet.
De plus il avait enti�rement satisfaits ses copains, qui se d�claraient tous partants pour un nouvel apr�s-midi, ils seraient � m�me de lui faire la publicit� n�cessaire pour son petit commerce, de lui recruter les futurs clients n�cessaires au bon fonctionnement de tout bordel.
Enfin, il n'en �tait pas encore l�, elles devraient encore travailler de la bouche, de la moule et du cul avant qu'ils puissent s'installer dans ses murs .
Comme certaines manquaient de pratiques, ils chargeraient quelques copains de les former, ce serait l'affaire de quelques apr�s-midis, il avait d�not� chez d'autres des aptitudes insoup�onn�es qui en feraient rapidement de bonnes gagneuses, aptes � combler les clients les plus exigeants, il lui restait une fois rentr� � mettre � jour ses fiches pour g�rer au mieux son stock.
R�sign�es, une � une, elles quitt�rent la grange, conscientes que pour elles l'�preuve ne faisait que commencer, elles savaient d�j� que bien des kilom�tres de bites avides d�fileraient dans leurs trois orifices, elles l'avaient admis, il ne leur restait plus qu'� appliquer leurs nouvelles fonctions.
Aussi lasses que leurs amies, Clothilde et Solange regagn�rent leur voiture, accompagn�es d'Ali et son fr�re.
Solange au volant, Clothilde pour calmer l'excitation des deux fr�res leur prodigua � chacun une fellation rapide, ils se succ�d�rent � l'arri�re de la voiture comme dans sa gorge, sa technique avait tant �volu� en ces quelques jours, que les six kilom�tres du trajet lui suffirent � mener � terme ses deux fellations, c'est la bouche englu�e de foutre ti�de qu'elle leur servit des rafra�chissements.
Solange, press�e de d�tendre son corps sous une douche chaude voulut partir, Ali voulant r�gler quelques points de d�tail , Mohamed lui proposa de l'accompagner, il lui restait quelques gouttes de sperme � �vacuer, tandis qu'Ali et Clothilde compl�teraient les fiches.
Avec l'accord d'Ali il entra�na sa partenaire dolente vers la salle de bains, il n'eut que le temps gravissant l'escalier, d'�ter sa main fouinarde de sous la jupe de la belle, Sylvie venant � sa rencontre se serait forc�ment �tonn�e d'un telle familiarit� ; ils avaient oubli� le retour des enfants, aussi les salua-t-il la voix haute.�
- �Bonjour Sylvie, toute seule, ou se trouve Marc? il t'a abandonn� ? Si tu cherches ta m�re, elle est au salon�..
Ainsi pr�venue, Clothilde se releva en h�te des genoux d'Ali.
Profitant de cet instant de d�tente, il l'empalait sur sa queue, le chemin largement ouvert de son trou du cul lui permettant un enculage totale, il rangea, en h�te, son sexe band�, remontant la fermeture �clair de la braguette lorsque Sylvie surgit dans le salon.
Ne remarquant pas l'air �gar� de sa m�re, sa rougeur suspecte, son souffle irr�gulier elle questionna :�
- Marc est chez les voisins, il fait ses devoirs, il rentrera vers huit heures, .... Me permets-tu de rejoindre Lysiane, elle pr�pare une boum et voudrais que je l'aide,....� Je rentrerai apr�s manger��.
D�sorient�e, le cul encore dilat�, la cyprine lui coulant le long des fesses, sans rien avoir compris elle accepta. Heureuse de s'en tirer � si bon compte, sans explications suppl�mentaires � fournir, Sylvie repartit en toute h�te se rappelant soudain :�
- Papa a t�l�phon� ..... Iil rentrera tard ..... Un repas en ville�..
Conscient d'avoir par imprudence fr�l� la catastrophe, Ali sa bandaison coup�e entra�na Clothilde vers le grenier, appelant son fr�re et Solange au passage.
Il s�lectionna les fiches puis inscrivit ses annotations sur chacune d'elle ; il avait r�parti les jeunes femmes en deux groupes : celles qui �taient utilisables imm�diatement : Solange, Clothilde, Pascale, Arlette et les six autres qui avaient besoin d'une petite formation compl�mentaire .
Ne renon�ant pas � son id�e, Mohamed s'�tait install� bien au chaud dans les fesses de Solange assises sur ses genoux, elle se laissait faire mollement, incapable de prendre � nouveau du plaisir, ballott�e sur les genoux de son amant, son membre lui servant de pivot, elle se laissait relever puis abaisser sur le braquemart qui la per�ait, �coutant Ali qui lui donnait ses consignes :�
- Tu vas fouiller dans les papiers de ton mari, l'id�ale serait une maison � louer, avec fa�ade sur deux rues, dans le vieux quartier, tu devrais trouver �a assez facilement? �..
Comme elle approuvait de la t�te, elle sentit Mohamed lui graisser l'oignon, il d�cula rapidement peu satisfait de sa partenaire et lui enjoignit de nettoyer sa queue sortie brun�tre du boyau, des hauts de c�ur la secouant, au bord du vomissement elle l�cha la queue, la d�barrassant du sperme et des excr�ments m�l�s qui la maculaient.
De retour au salon, sur un dernier verre ils se quitt�rent rapidement.����������
Le lendemain, vers quatorze heures elles �taient touts l�, fid�les au rendez-vous, au vu de leurs visages lisses, de leurs traits repos�s, personne n'aurait pu se douter de leurs activit�s de la veille.
Passant devant les deux fr�res, elles furent v�rifi�es une � une, chacune sentit � son tour les mains� des enqu�teurs, elles s'�taient toutes pli�es aux ordres de leurs ma�tres, aucune n'avait enfil� de slip.
Elles prirent places au salon, Clothilde mit en route le magn�toscope, elles purent ainsi s'admirer en pleine action, c'est � peine si elles se reconnaissaient dans ces goules fourr�es par tous les trous, les visages ruisselants de foutre, accordant leurs faveurs � plusieurs males en m�me temps.
Cependant c'�tait bien elles, impossible de s'y tromper, le cam�raman avait su choisir des plans permettant toujours une identification parfaite et totale, prenant toujours leurs visages de face ou de profil .
Les joues creus�es par la honte, bl�mes elles durent ensuite se d�shabiller, Ali qui voulait constituer un catalogue qui permettrait aux clients de choisir en connaissance de cause, leur fit prendre les poses les plus avilissantes, jambes largement �cart�es, ventres tendus vers l'avant, de leurs dix doigts elles durent ouvrir leur sexe en grand, d�voilant jusqu'� la pulpe de leurs vulves tout en souriant de fa�on engageante � l'objectif, puis elles pr�sent�rent de m�me leurs anus, en soulignant le confort d'un index fouisseur enfonc� jusqu'� la garde.
Puis le doigt luisant de salive, elles s'efforc�rent de d�montrer leurs qualit�s de suceuses.
Aurore� Lepan qui par sa qualit� de femme de maire, avait acc�s aux documents officiels fut charg�e d'�tudier les conditions de fondation d'une association strictement f�minine, d'en �crire les statuts et de pourvoir aux formalit�s de son �tablissement.
Aucune d'entre elles ne comprenant le pourquoi de ces ordres, Ali ne jugea pas utile de leur en expliquer les raisons.
Enfin ils dress�rent un formulaire type, qu'elles devraient d�s lundi prochain rendre rempli, indiquant l'emploi du temps de leur mari, ce qui permettrait � Ali et son fr�re d'�tablir leur propre emploi du temps en fonction de leur disponibilit�.
Lib�rant Pascale et Arlette avec consigne de se pr�senter d�s lundi quatorze heures au briefing chez Clothilde, ils entra�n�rent Sylvette, Aurore, Juliette, Sylvie, Corinne et Christine vers les bas quartiers de la ville.
Les badauds surpris regardaient passer ce cort�ge inhabituel dans ces rues, plus ou moins mal fam�es.
Enfin ils p�n�tr�rent dans un h�tel borgne, gravirent quelques marches et frapp�rent � la porte d'une des chambres.
Dans la vaste pi�ce, trois jeunes loubards les attendait, assis sur leurs lits.��
- Toujours d'accord ? �. demanda Ali aux trois brutes qu'il semblait bien conna�tre.
Les six femmes, intrigu�es, vaguement apeur�es, ne pouvaient savoir, qu'en cours de semaine, Ali les avait contact�, leur proposant un contrat de nervis � sa solde. Conscient de l'impossibilit� de manager seul son cheptel, il avait choisi ces trois marginaux pour l'y aider, moyennant une substantielle solde, ils avaient accept� de jouer les gardes du corps de ces dames, assur�s qu'ils �taient de pouvoir en jouir � sati�t�.
Ils avaient vraiment le physique de l'emploi, Moktar qui paraissait le chef, un grand noir, balaise, la l�vre lippue dominait d'une t�te ses deux acolytes, marocains d'origine, la peau sombre, un sourire niais de satisfaction �clairant leurs faci�s patibulaires.�
- Je vous ai amen� la marchandise, vous devrez me les dresser aux petits oignons .... En sortant de vos mains elles devront �ponger la bite d'un p�kin en moins de trois minutes, ..... Et vider les couilles d'un client dans leurs ventres et leurs culs en moins de temps qu'il ne faut pour le dire ! �. �
- On est toujours d'accord, si on en profitait pour tester la marchandise? �. � Allez les filles, d�sapez-vous, qu'on voit ce qu'on peut faire de vous ! �.
Ali et Mohamed s'assirent � leurs cot�s, pour mieux jouir du spectacle.
Lentement, avec crainte, d�go�t�es de leur soumission elles entreprirent, se regardant l'une l'autre, leur effeuillage, cinq minutes plus tard, bras le long du corps elles offraient leurs charmes � l'examen des trois testeurs.
Servilement, elles �cartaient les cuisses � la demande, proposant aux doigts inquisiteurs leurs anus et leurs moules, les doigts s'ins�raient profond�ment dans leurs failles, vrillant leurs conduits, testant l'�lasticit� de leurs muqueuses.
Enfin, l'examen prit fin, ils d�sign�rent Aurore du doigt, sa toison fauve leur ayant particuli�rement plu, se proposant de leur r�v�ler � toutes la teneur d'une le�on de dressage.
Prenant Corinne et Sylvie sur leurs genoux, Ali et son fr�re invit�rent les autres � s'asseoir � leurs pieds pour mieux jouir du spectacle.
Les trois loubards se relev�rent, sur leur ordre Aurore vint les d�barrasser de leurs v�tements superflus , mettant � jour trois flamberges respectables.
Mokram, le petit marocain corpulent, arborait sous son ventre replet un gros gourdin, plus remarquable par sa grosseur que par sa longueur, � l'inverse de Sa�d qui pr�sentait une bite ordinaire quant � l'�paisseur mais d'une longueur que les belles effarouch�es �valuaient � une trentaine de centim�tres.
Et encore n'avaient-elles rien vu, Moktar �tait dot� d'un chibre d'�b�ne comportant les caract�ristiques r�unies de ses deux cong�n�res.
Aurore fr�mit d'appr�hension, s'imaginer ces colonnes dans son ventre ou dans son cul d�passait son imagination, elle tremblait nerveusement. Ils commenc�rent par la soumettre � un bilan �valuatif, Moktar consignait ses caract�ristiques sur un bristol � son nom.��
- Bouche accueillante, chaude, langue fr�tillante, gorge profonde, 16/20 annon�a Sa�d, Mokram confirma son jugement.
- Moule �troite, serrante, onctueuse, on peut aller bien au fond, elle devra apprendre � bouger son cul, enfin 13� nota Sa�d, Mokram ne fut pas d'accord et n'accorda que onze, ce n'est qu'avec de grosses difficult�s qu'il avait pu enfoncer son b�lier dans le ventre de la rousse, la gaine lui �tranglait le gland, le for�ant � d�coner rapidement pour ne pas jeter son foutre aux oiseaux.�
- Pour son cul, passe le premier, tu me l'�largiras ! �. conseilla t il � Sa�d .
En for�ant un peu, la bite enduite de cyprine, glissa de vingt bons centim�tres dans les intestins de l'imp�trante, puis se bloqua . Mokram voulut essayer � son tour, il ne parvint m�me pas � forcer du gland le trou du cul crisp�. Les notes fus�rent :�
- 7 pour moi ! �.. � Pour moi 5 , elle est vraiment trop serr�e, va falloir forcer pour l'�largir ! �.
M�dus�e, les cinq spectatrices �coutaient les trois testeurs juger des qualit�s d'Aurore comme ils l'auraient fait d'un morceau de viande qu'ils auraient achet� chez le boucher du coin, consciente qu'ils agiraient de m�me avec elles, elles se recroquevill�rent le long des jambes de leurs ma�tres �piant le spectacle de ce qu'elles subiraient prochainement.
Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca Texte personnel
Chapitre 5�: Le dressage commence� Soir�e au cin�ma.
Cette premi�re �valuation termin�e, le v�ritable dressage commen�a.
S'allongeant sur le dos, Sa�d l'attira � lui, �cartant les cuisses, elle s'installa � l'aplomb de son monstrueux sexe �rig�.
Lui appuyant sur les hanches, il l'engagea � s'enclouer sur la monstruosit� qui lui tenait lieu de bite, �largie par les tests pr�c�dents, Aurore parvint sans trop de mal � engloutir le gros cylindre mafflu au fond de ses muqueuses, distendues par l'ampleur de la matraque, elle grima�a, for�a et parvint enfin � poser ses fesses sur le bassin poilu du moricaud.
Une main impatiente la courba vers l'avant, avec soulagement, elle sentit Mokram s'installer entre ses deux h�misph�res, elle avait craint que ce ne fut Moktar le pr�pos� � l'�largissement, son intestin admit sans trop rechigner les vingt premiers centim�tres, elle se sentait emplie � ras bord, pleine � craquer, et cependant il poussait encore, petit � petit son boyau se d�plia faisant place � l'envahisseur, des gouttes de sueur aigre perl�rent � son front, la hampe continuait de progresser, les obstacles c�daient un � un, �a n'arr�tait pas, il lui semblait que la longue flamberge allait lui ressortir par la gorge.
La douleur lourde, lancinante, lui vrillait les reins, enfin, elle sentit le picotement significatif des poils fris�s contre sa croupe dodue, il �tait en place et bien en place, elle geignait maintenant, des larmes d'effort embuaient ses yeux agrandis par la souffrance.
Immobile jusqu'ici, Sa�d se mit en branle, l'un sortait de son ventre tandis que l'autre s'enfon�ait dans son cul, et vice versa, il lui semblait �tre une boule de bilboquet que se disputerait deux joueurs, abrutie de douleur, un cri plaintif jaillit de sa gorge, elle n'eut pas l'occasion de se plaindre bien longtemps.
Moktar s'engouffra dans la bouche grande ouverte, la b�illonnant mieux qu'avec une poire d'angoisse, il lui l�sa d'entr�e la luette, la repoussant, la repliant dans l'arri�re gorge.
D'un violent coup de rein, il engagea son gland dans son �sophage, lui bousculant les amygdales, secou�e de hauts le c�ur, ses sursauts permettaient � la queue de progresser par saccades dans son larynx, d'un dernier coup de boutoir sauvage, il lui enfon�a le nez dans les poils de son pubis et se d�livra longuement dans sa gorge fr�missante . Suffoquant sous le flot cr�meux, hoquetant, elle d�glutit, les spectateurs contemplaient avec surprise les ondes qui coururent sur sa gorge tout le temps qu'elle avala le foutre �pais.
Tandis qu'il se relevait, elle sentit vibrer, puis trembler les chibres de ses deux autres chevaucheurs, la saisissant aux hanches, Sa�d l'embrocha jusqu'� la racine sur ses couilles tandis que Mokram se propulsait encore plus profond�ment au c�ur de ses entrailles, ils se raidirent et �jacul�rent simultan�ment, les jets ti�des lui �clabouss�rent en m�me temps ut�rus et intestin, avec un plop de bouteille que l'on d�bouche, Mokram d�cula, lentement, elle put se relever.
Les yeux exorbit�s, elle dut prendre les chibres poisseux entre ses l�vres luisantes et ranima leur �rection, cette fois les choses devenaient s�rieuses, ils allaient varier les positions.
Effectivement ce fut Moktar �tal� sur le dos qu'elle dut enjamber, apr�s la visite de Sa�d, le calibre de Moktar lui sembla ridicule, tout au moins dans les premiers instants, puis arriva l'instant fatidique ou il heurta le fond de sa matrice, elle pensait, comme les spectateurs qu'il se contenterait de vingt cinq centim�tres dans sa chatte, malheureusement, consid�rant qu'elle n'allait pas se plaindre pour cinq malheureux centim�tres, il entreprit de pousser, avec un hurlement de douleur, elle sentit le gland s'immiscer dans le col de l'ut�rus, tremblante de tout son corps elle sentit Moktar accro�tre encore sa pression, cela craquait dans son ventre comme dans sa t�te, des �clairs de feu couraient sous ses paupi�res, elle g�missait maintenant sans discontinuer, elle se voyait �ventr�e, d�truite � jamais.
Dans un dernier grognement de plaisir il parvint � ses fins, son canal s'allongea d�mesur�ment, tandis que le col de son ut�rus s'arrondissait pour �trangler l'immonde envahisseur engag� de tout son gland, elle d�faillit, jamais elle ne s'�tait sentie aussi pleine, elle se trouvait enceinte de l'invraisemblable flamberge, tout son int�rieur la br�lait, jamais elle n'avait eue � supporter cela.
Et cela ne faisait que commencer sentant quelqu'un approcher dans son dos, elle tourna la t�te et vit, avec effroi, Sa�d son �norme braquemart tendu s'installer entre ses fesses, sa croupe se couvrit instantan�ment de chair de poule, elle voulut se d�gager, mais Mokram la bloquait sur son ventre, lui interdisant tout retrait.
Affol�e elle sentit l'�norme champignon violac� buter sur sa rosace, bien que dilat�e celle ci ne pouvait accueillir sans mal un tel h�te, il poussa des reins, son anus se replia vers l'int�rieur, interdisant le passage.
Se remettant en position, � deux doigts il dilata la bague crisp�e, les fronces ridel�es s'ouvrirent assez pour permettre l'introduction de la pointe du gland, assur� de ne plus se retrouver bloqu� par l’�illet se retournant sur lui m�me il entreprit de forer son trou, la douleur sourde, violente irradia son anus, on lui aurait d�coup� la rondelle au rasoir cela lui aurait fait le m�me effet , d'un brutal coup de boutoir, il introduisit la totalit� du gland, elle poussa un beuglement de d�sespoir, Moktar la b�illonna alors avec un mouchoir qui tra�nait au sol, lui introduisant en boule dans la bouche, elle mordit la toile, la d�chirant des dents.
Immobilis� dans ses entrailles, il reprenait son souffle, le sphincter tendu � craquer lui enserrait la base du gland comme un lacet le cou d'un li�vre.
Avec un cri sourd il poussa violemment, il lui sembla que la bite insatiable lui arrachait le muscle annel�, l'entra�nant comme une bague dans ses entrailles, il n'en �tait rien, plus prosa�quement, la pine �tait rentr�e � mi longueur dans son rectum, le sperme qui en couvrait les parois ne facilitait pas le glissement, et pourtant elle l'aurait cru au vu de la dose que Mokram lui avait mise auparavant.
D'un dernier �lan d�vastateur il se planta jusqu'� la garde dans son intestin, elle pleurait maintenant comme un chien battu, le baillon ne laissant passer que de sourds vagissements, la douleur �tait si forte, que cette fois au craquement de son cul correspondit son �vanouissement . Ses deux tortionnaires en profit�rent pour m�nager leurs forces.
Elle revint lentement � elle, un mouvement rude de son enculeur la rappela � son cauchemar, le pivot dans son ventre se mit en action, d�culant presque en entier, seul le gland restant enfil� d'un coup d'une violence extr�me il la pourfendit, l'embrochant jusqu'� la garde, le corps baignant de sueur, les larmes lui inondant le visage elle sentit ses deux tourmenteurs accorder leur rythme, ils la limaient maintenant en alternance, ses reins surtout la faisaient souffrir, � chaque retrait elle avait l'impression qu'on lui arrachait le boyau, � chaque p�n�tration elle croyait que son cul se d�chirait, que son ventre s'ouvrait en deux, le coulissement des deux queues perdit de sa r�gularit�, les coups de boutoir se firent encore plus amples, � la limite du supportable et cependant elle se r�jouit, son calvaire tirait � sa fin, lorsqu'ils �clat�rent en flots br�lants dans son fondement et son ventre, elle crut que de la lave en fusion �claboussait ses int�rieurs, elle tourna de l’�il � nouveau.
Lorsqu'elle revint � elle, elle gisait telle un pantin sur le lit, elle glissa une main apeur�e sur son ventre, appr�hendant de constater des d�g�ts irr�versibles, pourtant bien que sa cramouille fut terriblement douloureuse, elle ne remarqua pas de blessures particuli�res, aucune t�che de sang ne souillait ses doigts comme elle l'avait imagin�.
Aventurant sa main plus loin, elle ne reconnut pas son mignon petit trou, il b�ait tel un crat�re d'au moins huit centim�tres de diam�tre, il ne parvenait pas � se refermer.
Tout son corps lui faisait mal, elle �tait rompue et ne craignait qu'une chose, qu'ils recommencent.
Elles ne se le firent pas r�p�ter deux fois, se pr�cipitant sur leurs frusques, m�me Aurore retrouva un regain d'�nergie suffisant pour se rev�tir en un clin d’�il.
Titubant sur ses jambes elle suivit ses compagnes qui prenaient le chemin du retour.
Tranquillement ils rentr�rent � pieds, assur� de l'ob�issance de leurs femelles, pass�rent au sex-shop du gros Lulu, ouvrir un compte sur lequel Moktar et ses copains pourraient se servir, puis partirent retrouver Solange et Clothilde chez cette derni�re .
Ils arriv�rent trop tard, mari et enfants �taient rentr�s, n'insistant pas, ils se content�rent de leur caresser subrepticement les fesses, leur donnant rendez-vous le soir m�me, leur enjoignant de contacter Pascale et Arlette.
Ils devaient se retrouver vers onze heures devant le cin� porno .
Elles furent exactes au rendez-vous, devant le lieu mal fam�, des dizaines de clients faisaient la queue, les d�shabillant du regard, se demandant visiblement ce que pouvaient bien faire quatre jolies femmes de la haute en cet endroit.
Ils ne tard�rent pas � le savoir, alors que Mohamed entra�nait, comme convenu, Clothilde vers la cabine de projection, Ali s'installait au fond du cin�ma, indiquant � chacune de ses femelles une rang�e diff�rente, leur enjoignant de se montrer pr�venantes, et dociles avec leurs clients.
Un coup de tonnerre dans leurs petites t�te, incapables de se r�volter, baissant les yeux, elles prirent place toutes les trois aux endroits indiqu�s .
Quelques arabes approch�rent d'Ali, un bref conciliabule et Arlette vit un grand d�gingand� payer Ali puis se diriger vers elle
Son client resta debout entre ses cuisses, elle le d�braguetta d'une main tremblante, une bite sale, malodorante jaillit du slip douteux, plissant le nez elle absorba le gland moite qui glissa en force jusqu'au fond de sa gorge.
Secou�e d'envies de vomir, la mentule d�gageait une odeur surette, correspondant d'ailleurs � son go�t, m�lant urine et sueur dans un m�me parfum, envahie jusqu'� la glotte, elle s'appliqua de son mieux pour se lib�rer le plus rapidement possible de son labeur.
Arrondissant la bouche sur la queue malpropre, su�otant, coulissant sur la hampe rigide, elle ne tarda pas � voir ses efforts r�compens�s, il se soulagea longuement au fond de sa gorge, projettant dans son gosier des flots de sperme cr�meux qu'elle ingurgita docilement.
Relevant la t�te, elle attendit son prochain client, profitant de l'accalmie pour juger du sort de ses amies.
A quatre pattes au milieu de l'all�e, la jupe trouss�e sur les reins Solange arrondissait les l�vres sur un �norme chibre d'�b�ne qui lui d�formait les joues, un autre noir donnait de violents coups de reins, s'engouffrant dans son cul, Arlette distinguait parfaitement le sphincter dilat� qui baguait d'un bande velue la tige du gaillard, il la secouait d'importance, son corps tremblait au rythme des coups de boutoir que lui imposaient ses deux clients, roulant des yeux blancs, ils d�charg�rent simultan�ment dans la bouche accueillante et les reins soumis, secou�e de tremblement convulsifs, Solange se releva et comme Arlette attendit le prochain.
Provenant de l'autre rang�e Ils entendirent des r�les, un nord africain se soulageait abondamment dans le ventre de Pascale, provoquant l'�jaculation du grand n�gre qui lui for�ait les entrailles.
Ainsi de clients en clients, elles rapport�rent en une heure et demi de film, chacune 750 � 9 00 euros, �pongeant chacune une quinzaine de clients qui, satisfaits de leur prestation promirent � Ali de vanter les m�rites de ses gagneuses, de leur faire de la publicit� en quelque sorte.
Toutes trois avachies sur les fauteuils, recherchant leurs souffles comprenaient qu'elles avaient maintenant franchies la derni�re �tape, elles �taient maintenant de la viande pour bordel, elles �taient toute trois conscientes d'avoir franchies l'ultime �tape, les ramenant � leur situation ant�rieure, vingt ans plus t�t.
Pire encore puisque maintenant elles serviraient dor�navant au gagne pain de souteneurs .
Hagarde, �puis�e, Clothilde les rejoignit, et leur raconta son calvaire, toute la dur�e de la projection elle avait �t� livr�e au d�sir insatiable de trois brutes mont�s comme des �nes qui lui avaient d�fonc�s le ventre, inond�s la bouche et �clat�s le cul.
Elle avait pass� une heure et demi toujours embroch� entre les trois salauds qui la maltraitaient, la rudoyaient sans cesse, la courbant sous eux, comblant leur lubricit� insatiable, le r�cit de ses amies l'informa quant � leur sort commun � venir, cependant si cruelle �tait l'aventure, qu'elle supplia Ali de la faire travailler dans la salle la prochaine fois, elle pr�f�rait encore �ponger quinze clients d'affil�e que de se plier de nouveau � la lubricit� des trois projectionnistes.
Accabl�e de honte, conscientes de leur d�ch�ance, elles rentr�rent lentement dans leur logis, rejoindre le lit chaud de leurs petits maris, inconscients de leur d�shonneur.
Ali et Mohamed raccompagn�rent Pascale, se soulageant abondamment dans sa bouche offerte, alors qu'agenouill�e dans l'entr�e de son appartement, elle frissonnait de terreur � chaque bruit, craignant par dessus tout de se faire surprendre administrant une fellation somptueuse � deux arabes, � deux pas de son mari, dans le quartier le plus chic de la ville.
Ali et Mohamed se r�galaient de la voir fi�vreusement arrondir la bouche sur leurs virilit�s, cherchant par sa technique qui se d�veloppait de leur soutirer dans les plus brefs d�lais le contenu des couilles.
La t�te pench�e, elle coulissa longuement sur les hampes rigides, enrobant les queues de salive, les entourant de la langue, su�ant les m�ats poisseux avant d'enfin pouvoir aller se coucher, les papilles englu�es de foutre conservant la saveur ti�de de ses deux tourmenteurs sur son palais.
Ils rentr�rent satisfaits de leur journ�e, leurs projets prenaient corps, ils se trouvaient maintenant � la t�te d'une cheptel de qualit�, toutes bonnes baiseuses de surcro�t, 10 bonnes salopes, aptes � faire de bonnes putes, si l'argent rentrait, rapidement ils pourraient installer leur lupanar, leurs gagneuses leur d�gotteraient bien deux ou trois autres salopes qu'ils contraindraient � se prostituer en leur compagnie.
Quant � la client�le, pas de souci � se faire, ces premiers contacts prouvaient largement qu'il ne manquerait pas de clients avides de s'amuser avec ces belles dames de la haute.
Tous les marginaux, les mal-aim�s se r�galeraient avec ces belles femelles, habituellement hautaines et d�daigneuses, plus qu'ils ne pourraient le faire avec des professionnelles.
Janvier 2008
Coulybaca
dominique.dubuissez@orange.fr
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca (Texte personnel)
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Chapitre 6 : ledressage, le pain du cul, le contrat de location������������������������������������������������������������������������
Le lundi, en d�but d'apr�s-midi, v�tues avec recherche, tailleur de soie sauvage et petit� Channel, la t�te basse, en compagnie de leurs trois tourmenteurs Corinne et Christine se rendirent au sex-shop du gros Lulu.
C'�tait un gros type, la cinquantaine, suant la pr�tention par tous ses pores.
Elles se rappelaient l'avoir crois� dans diff�rentes manifestations, l'une comme l'autre avaient alors d�daign� ses compliments, elle voyait dans ses yeux, que lui aussi se rem�morait ces instants � l'�clair de joie qui p�tillait au fond de ses prunelles elles comprirent qu'il allait se venger de leur d�dain.�
- C'est l� les donzelles que vous devez former ? s'informa t-il, Il's'mouche pas du doigt votre copain, ....� Rien que du beau linge ....� La bijouterie Lautrac et la femme du v�t�rinaire ..... Faudra m'raconter comment il a fait ..... Elles seraient plut�t b�gueules d'habitude.... �
- Et encore t'as pas vu les autres, ..... Il tape dans la haute le copain Ali .... Tu pourras peut-�tre appr�cier ..... Enfin, c'est pas le tout, tu nous as r�serv� une pi�ce? �� �
- La porte du fond, chambre tout confort, plusieurs divans et fauteuils .... vous y serez tranquille�� ���
- Ah, autre chose, tu verras pas mal de monde cet apr�s-midi .... Les potes savent qu'il y a des nouvelles ..... Ca m'�tonnerait pas qu'on ait quelques dizaines de clients! �.. �
- J'vous les enverrai directement, ou faut faire payer? �.. � Tu fais payer.... aujourd'hui juste des pipes ...... 30 euros la pipe ..... t'en gardes 8 pour toi � chaque client�� ��
- Tu nous passes du mat�riel? ��. �
- Et comment, j'vous l'file gratos si j'fais mon beurre et que j'peux y go�ter! �.. �� T'inqui�tes pas, pour les clients c'est uniquement des pipes .... Mais nous on s'amusera avec elles apr�s, et pour nous, .... Ce sera tous les trous! �..
Sur ces mots, poussant les deux futures putains, ils se rendirent dans la pi�ce indiqu�e.
Lulu ne tarda pas � les rejoindre, les bras encombr�s de paquets.��
- J'vous ai amen� un petit n�cessaire, vous n'avez qu'� choisir, j'retourne au turf, si vous avez besoin de moi, vous m'appelez, j'donne les instructions au vendeur et j'rapplique�...
Mokram entama le d�ballage des paquets, sortant en vrac lingeries fines, godes de diff�rentes tailles, cravaches et autres ustensiles.�
- Il a pens� � tout le gros, on va pouvoir travailler dans de bonnes conditions .... alors heureuses mes salopes? �..
Baissant la t�te, bl�mes, elles se taisaient, appr�hendant la suite.�
- Allez � poil, vous ne croyez tout de m�me pas que c'est dans cette tenue que vous app�terez le client? �..
Comme engourdies, avec lenteur elles ob�irent, pliant soigneusement les habits qu'elles quittaient, pour les poser sur le dossier d'une chaise. Int�gralement nues, humili�es elles se tinrent les bras le long du corps, ne cherchant m�me pas � cacher leurs charmes qui de toutes mani�res seraient bient�t saccag�s.
Mokram leur choisit � chacune une tenue plus en rapport avec leurs activit�s � venir.
Elles en jetaient toutes les deux.
Christine portait des bas � r�sille tenus par un porte jarretelles rouges, un soutien gorge seins nus offrait la fraise de ses seins aux regards, une courte nuisette rouge, ouverte sur le devant compl�tait sa tenue, Sa�d lui souligna les grandes l�vres de mauve faisant ressortir de fa�on obsc�ne la cicatrice au c�ur de sa toison de feu.
Corinne se contentait d'un bustier violet, laissant son opulent gorge � l'air, les jambes gain�es de bas � r�sille fix�s par des jarreti�res, sa fourrure blonde encadrant son sexe soulign� de rouge carmin, elles �taient parfaites pour jouer leurs r�les.
- A quatre pattes sur le pieu les donzelles! ?��.
- Qu'est ce que vous voulez faire? �.. � On va vous �largir le trou du cul ..... vous �tes bien trop �troites! �. � Non, on veut pas, ... Ca fait trop mal .... Non .... Non ! �.
D'un coup de cravache sur leurs croupes dodues, Moktar les rappela � l'ordre.
Mat�es, pleurnichant, elles s'ex�cut�rent, cambrant les reins pour mieux offrir leurs masses fessues, les trois salauds ne s'attard�rent pas � les contempler, tandis que fr�missantes elles �piaient leurs pr�paratifs, Mokram et Moktar se saisirent de deux godes de tailles identiques, tous deux forts �pais et forts longs, les enduisirent de vaseline, avant d'oindre les deux culs d'une noisette de cr�me, graissant aussi bien les entre fesses que les oignons eux m�mes.
La pression des bouts oblongs des olibos succ�da � l'intromission de deux doigts dans chaque cul, d'un sauvage coup de poignet, en m�me temps, ils viss�rent les intrus dans les culs r�tifs.
Un grand cri jaillit de la gorge des deux belles qui se virent empal�es jusqu'� la garde, fixant une mince ceinture de cuir sous leurs frous-frous, ils y boucl�rent une sangle maintenant les gros gourdins enfonc�s jusqu'� la racine dans leurs entrailles.
Grima�antes de douleur, elles durent se relever et faire quelques pas, ils se marraient en les voyant �voluer jambes �cart�es, vo�t�es sous la douleur.��
- Asseyez vous, vous avez cinq minutes pour vous habituer, apr�s on commence la le�on�. dirent ils, partant rejoindre Lulu.
S'asseoir fut atroce, il leur sembla que les gourdins parvenaient encore � p�n�trer plus profond dans leurs estomacs, leurs gaines distendues les br�laient, elles �taient engourdies de douleur, peu � peu, la douleur s'apaisa, remplac�e par une impression de pl�nitude, jamais elles n'auraient cru pouvoir supporter de tels engins dans le fondement, et pourtant.....
Les quatre salauds vinrent les rejoindre rapidement, Moktar tenait deux bananes � la main, il les �plucha et leur tendant leur ordonna de montrer leurs techniques.
Honteuses, elles s'introduire le fruit entre les l�vres, le firent coulisser lentement, de la main Mokram les obligea � se les enfoncer plus profond�ment dans la gorge, leur d�taillant les techniques � appliquer.��
- Voil� Christine, regarde comment fait ton amie, plus profond, ressort la lentement, serre les l�vres, aspire maintenant, voil� tu dois t�ter, et toi Corinne ne te contentes pas de la sucer, sors ta langue, fr�tille de la pointe sur le bout, enfonces bien � fond ... C'est bien ..... Vous allez encore faire des progr�s ! �.. � Tu veux commencer Lulu? �. demanda Mokram.
Le gros Lulu, les yeux inject�s de sang, baissa rapidement son pantalon, extirpant une verge drue de son slip, il le tendit � la bouche de Christine. D'un souple mouvement du col, elle absorba le gland, puis suivant les conseils de Mokram elle entama de lascifs va et viens sur la hampe, l�chant le pr�puce lorsqu'il pointait � l'or�e de ses l�vres t�tant le m�at, mordillant la chair turgide.
Soudain Lulu la saisit aux oreilles et s'enfon�a avec brutalit� au fond de son gosier, le gland coinc� entre ses amygdales, il s'exon�ra longuement.
Suffoquant, pour �viter l'�touffement elle but la semence qui jaillissait � longs traits dans sa gorge irrit�e, �claboussant sa luette et ses amygdales.
Montre en main, Mokram la f�licita :�
- Quatre minutes trente pour ton premier pompier, c'est tr�s bien ma grande .... A ce rythme l�, tu en �ponger quelques uns dans l'apr�s-midi ! ��
On frappa � la porte, le vendeur venait signaler un afflux important de clients, Lulu partit pour encaisser le prix des passes, tandis que Moktar devant une telle abondance t�l�phonait � Ali pour demander une bouche en renfort.
Les huit autres femmes, � ce moment m�me livraient comme, elles en avaient re�ues l'ordre leurs emplois du temps aux deux julots.
Chacune d'entre elles �tait libre cinq jours sur sept, ils pourraient disposer chaque jour d'au moins cinq femelles, exception faite de Christine et Corinne qui �taient retenues par d'autres t�ches, deux soir�es dans la semaine, le mardi et le jeudi six des huit salopes �taient libres, mais le samedi soir ils ne pourraient disposer que de cinq d'entre elles.
Solange avait d�couvert une maison � louer qui devrait faire l'affaire, situ�e dans le vieux Moulins, elle donnait d'un cot� sur la rue chic de la petite ville, alors qu'une porte d�rob�e ouvrait dans une cour ferm�e communiquant avec les quartiers populeux.
Il y avait tout de m�me un hic, il faudrait convaincre le propri�taire de la cour, un vieux c�libataire grincheux de laisser libre passage aux clients, pour plus de pr�cision, Ali d�cida d'aller visiter les lieux en compagnie de Solange et Clothilde, esp�rant s'entendre avec le propri�taire des lieux.
Aurore et Arlette avaient bien avanc� dans la confection des statuts du futur club exclusivement f�minin, il restait � lui donner un nom, � en noter les membres, et � le d�clarer en pr�fecture, ce dont se chargeait Clothilde.
Ils partaient tous, lorsque le t�l�phone sonna, Mokram r�clamait du renfort, consultant les emplois du temps, il ordonna � Juliette de rejoindre ses deux amies, elle ob�irait la semaine durant aux formateurs qui les prendraient toutes trois en charge.
Mohamed emmena Arlette, Pascale, Sylvette, Aurore et Sylvie sans leur donner plus de renseignements, � quoi leur servirait-il de savoir qu'elles avaient rendez vous avec une soixantaine d'immigr�s sevr�s de femmes depuis plusieurs mois, en banlieue de Moulins, elles le sauraient bien assez t�t.
Juliette ne tarda pas � arriver au sex-shop, salu�e d'un ironique :��
- La belle madame Novak, si je m'attendais .... Mais entrez donc ..... Vos amis vous attendent avec impatience! �..
Cramoisie, elle ne put �viter, la main baladeuse du vieux salaud, qu'elle avait gifl� la semaine derni�re, r�pondant ainsi � des propositions honteuses qu'il s'�tait permis de lui faire.
Morte de honte, elle le suivit dans un recoin attenant, enfila une tenue de putain, comme il disait : sa toison brune, jurant avec le porte jarretelles bleu pale et ses cheveux blonds, il la garnit elle aussi d'un gros �largisseur, cela ne se fit pas sans mal, mais l'anus bien pr�par� admit, finalement relativement ais�ment le gros mandrin, un bandeau couvrant ses mamelles elle p�n�tra dans la pi�ce ou ses amies travaillaient.
Sous l��il attentif de leurs bourreaux, Christine � genoux su�ait � pleine bouche un grand noir qui la bourrait � grands coups de queue, tandis que Corinne la bite d'un moricaud cr�pu en main, l�chait celle d'un autre enfoui jusqu'aux couilles dans sa gorge, puis, le d�sembouchant elle su�ait le premier, masturbant le second et ainsi de suite chacun � leur tour.
Elle n'eut pas le loisir de contempler longtemps le spectacle, une grosse bite � l'odeur surette for�a ses l�vres serr�es, elle adopta le m�me rythme que ses partenaires.
Le premier flot de clients �coul�s, elles purent se rincer la bouche, se d�tendre les m�choires, se nettoyer le visage marbr� de longues tra�n�es de sperme s�chant.
Les l�vres en feu, les m�choires douloureuses, elles reprirent leur labeur, les clients arrivant par vagues successives.
Pendant ce temps, Ali, accompagn� de ses cinq pr�pos�es au repos du guerrier arrivait � destination.
Un noir �g�, cr�pu, les guida vers les chambres o� elles officieraient, un panneau accroch� aux portes indiquait d�j� les tarifs :
30 euros la pipe .
60 euros la passe;
80 euros la bite au cul.
L'ing�niosit� de ses salauds allait m�me jusqu'� proposer des prix de groupe, ce qui permettrait de hausser le rythme :
En duo la bouche et la chatte 80 euros, la bouche et le cul 100 euros, la chatte et le cul 120 euros .
150 euros pour un trio.
Frissonnantes de d�go�t, elles lurent les panneaux, puis instruites de leur t�che, elles p�n�tr�rent chacune dans une chambre meubl�e sommairement.
Une paillasse sur le lit, une table de nuit supportant une cuvette d'eau avec une �ponge,� permettait � chaque client de nettoyer les trous des putes s'ils les trouvaient trop d�bordants de foutre.
Toutes trois commenc�rent forts, �conomes, trois clients se pr�cipit�rent sur chacune leur embourbant tr�s rapidement leurs trous dilat�s de leur pur�e �paisse, comme leurs cong�n�res qui su�aient au sex-shop, elles prirent un rythme de croisi�re, satisfaisant tant�t un, mais plus souvent deux ou trois braquemarts fi�vreux.
Sevr�s de femmes depuis un bon moment, ils se succ�d�rent � un rythme effr�n� dans leurs bouches, leurs ventres et leurs culs, aspergeant rapidement leurs muqueuses br�lantes de longs jets de foutre. Puis plus calmement une file d'amateurs d'un second tour se forma et elles eurent plus de mal pour combler leur lubricit�, devant maintenant participer, se prostituant v�ritablement pour leur arracher leurs derni�res gouttes de jus.
Ali, Solange et Clothilde visitaient le grand appartement, constitu� de deux grandes pi�ces sur l'avant s�par�es des trois salles sur l'arri�re par un large hall.
Il serait facile � transformer en lupanar tout en conservant � l'avant sc�ne l'aspect d'un club bourgeois et hautain.
Le propri�taire �tait m�me pr�t � louer avec un long bail, l'occasion d'abriter un club select le comblait, restait � convaincre le vieux con qui partageait la cour de laisser libre passage.
Ce fut plus facile que pr�vu, le vieux salaud n'avait plus, depuis bien longtemps l'occasion de s'envoyer en l'air, la promesse d'Ali de le laisser disposer � volont� de femelles consentantes lui suffit, la qualit� des pouliches propos�es l'enthousiasmant m�me.
La queue enfourn�e dans la ti�deur de la bouche de Clothilde il signa son accord.
Ayant go�t� de la chaleur, de la disponibilit� de Clothilde, il voulut ensuite se vider dans la gorge de Solange.
Ob�issante elle ploya les jambes, s'agenouilla entre ses genoux, et emboucha sa grosse verge, � peine eut-il franchit la fronti�re des dents de la belle rousse que, peu habitu� � ce chaud traitement, il �clata en grandes gicl�es entre les l�vres closes, embourbant de son foutre gluant, �pais, ti�de la bouche de sa� z�l�e fellatrice.
Quatre heures s'�taient �coul�e, dans chaque endroit, chacun faisait les comptes :
Ali signait un protocole avec le propri�taire, il s'engageait � payer en cinq traites de 10.500 euros � un mois d'intervalle entre chacune.
Mohamed comptait le rapport de la journ�e, tandis que ses cinq gagneuses, �puis�es chacune ayant �pong� une douzaine de client, dont certain deux et m�me trois fois, le corps rompu, la bouche lasse, gluante de sperme et de sueur se reposaient.
L'apr�s-midi ramenait 4.100 euros.
Dans l'arri�re salle du sex-shop, Mokram ayant volontairement limit� chaque pute � vingt pipes, Lulu encaissait 450 euros et eux 2.250.
Les trois pipeuses avaient mal aux m�choires, la bouche p�teuse elles avaient cajol� des queues de tout acabit, des blanches, de brunes, des noires, des grosses, des petites, des difformes, elles avaient go�t�s � toute la panoplie.
Loin de se sentir enrichie par cette nouvelle culture, sombres, elles prenaient consciences de ce que serait dor�navant leur vie, elles seraient vou�es aux plaisirs des hommes qui disposeraient d'elles par tous les trous, ils leur suffiraient d'y mettre le prix.
Rappelant � Mokram sa promesse, Lulu enla�a Juliette, la d�livra du gros embout viss� dans son cul, et le visage ravi, il la disposa � genoux sur le divan, la for�ant de la main � se plier en avant, offrant toute sa croupe � sa salacit�, il lui marmonnait � l'oreille :��
- Alors ma bonne madame Novak .... on est plus si fi�re .... Qui aurais cru que je pourrais si rapidement t'�clater le cul ..... Tu ne dis rien .... � Je vous en prie�.. Soyez doux.... Je ferai ce que vous voudrez, mais ne me faites pas mal�.. � Sois encore plus gentille ma jolie ..... Et je ferai �a gentiment .... Demandes moi de t'enculer! �. ��
- S'il vous plait, monsieur Lulu ..... Sodomisez moi ..... �� Non r�p�tes ce que j'ai dit! �.
- En .... enculez moi monsieur Lulu ..... Allez y doucement ....
Verte d'humiliation, toute honte bue, Juliette se voyait oblig�e de solliciter de la part de ce salaud une �treinte que toute son �me reprouvait.
S'�largissant, poussant pour mieux arrondir sa rosette, elle sentit le gros gland mafflu peser sur son �illet.
Bien �largie par le port du mandrin fich� la dur�e de l'apr�s-midi dans ses entrailles, sa gaine re�ut facilement son gros visiteur.
Il la secoua longuement, s'enfon�ant tant�t avec douceur tant�t avec violence au c�ur de ses intestins accueillants, des plaintes, des g�missements plus engendr�s par la honte que par la douleur sortaient de sa gorge.
Encourag�s par ce spectacle, d�livrant � leur tour les deux autres femelles les trois autres comp�res, auxquels vint rapidement se joindre le vendeur s'occup�rent de leurs trous du bas.
Enfourchant Moktar Christine dut se visser sur ses trente centim�tres br�lants, elle eut bien du mal � le faire, souffrant le martyr, elle ne parvint � absorber toute la bite du voyou qu'au prix d'ignobles efforts, la figure grima�ante, des larmes de douleur, de souffrance perlant � ses yeux elle le sentait imbriqu� dans son ventre jusqu'au col, qu'il entrouvrait � chaque coup de boutoir.
C'est � peine si elle sentit le vendeur forer son trou dans son cul tant son ventre accaparait son attention.
Avec un intense soulagement, elle le sentit se r�pandre � gros bouillons dans ses flancs meurtris, le vendeur ne tarda pas � le suivre.
D�livr�e de ses deux tortionnaires, d'une main h�sitante elle v�rifia l'�tat de sa cramouille, s'�tonnant de la trouver comme � l'ordinaire, si ce n'�tait son �vasement, sa b�ance on n'aurait pu dire qu'elle venait de supporter un tel envahisseur.
Lulu se vidait dans le cul de Juliette lorsque Corinne debout entre les deux hommes s'empala le sexe sur la bite de Mokram, il s'enfouit profond�ment dans son ventre tandis que d'un doigt ferme Sa�d lui �vasait la rondelle, elle se sentait presque reconnaissante d'avoir du supporter l'olibos tout l'apr�s-midi, son cul b�ant admettait avec peine le large cylindre de chair, qu'aurait-ce �t� sans sa p�riode d'accoutumance pensait elle.
Les deux hommes se mirent en branle, accordant leurs mouvements, fouaill�e par devant et par derri�re, elle g�mit bient�t, dieu ce n'�tait pas possible, elle n'allait pas jouir ? pas avec eux .�.. Non .... Et bien si, alors qu'ils acc�l�raient encore la cadence, la poignardant de d�licieux coups de boutoir, elle soupira, puis un feulement de plaisir jaillit de sa bouche, � la grande surprise de ses cons�urs, le corps secou� de soubresauts convulsifs, elle jouit � pleine gorge, provoquant la jouissance de ses deux chevaucheurs, qui, empoignant ses fesses et ses seins � pleines mains, s'ancr�rent au fond de ses tunnels projettant avec force leurs longs jets saccad�s au fond de ses entrailles palpitantes.
Juliette nettoyait maintenant de la langue et des l�vres le gros chibre de Lulu, elle s'acquittait avec soin de sa t�che, soucieuse de le contenter totalement, ce qui apaiserait peut-�tre son courroux.��
- C'est pas mieux comme �a�. disait-il lui flattant la croupe.�
- Vous revenez demain ? .... Je voudrai bien ma la refaire ..... C'est fou ..... Elle est bien plus aimable ici que dans une r�ception .... n'est ce pas ma belle ! �.
Heureuse de s'en tirer � si bon compte, elle ne moufta pas, se contentant de l�cher du bout de la langue les derni�res gouttes visqueuses suintant du m�at.��
- C'est d'accord pour demain ..... On les fera baiser uniquement par le cul ..... Sauf pour nous ..... T'y vois pas d'inconv�nients ? �.. �����������������������
-� Oh que non, faut bien qu'elles apprennent .... beaucoup de clients pr�f�rent les fusils � trois coups !�
Sur ces derniers mots ils se quitt�rent, Mokram chargea Juliette de remettre l'argent � Ali, leur donnant rendez-vous au m�me endroit, m�me heure le lendemain, ils les regard�rent partir, l��il brillant de satisfaction, le dressage s'annon�ait bien, pas une ne s'�tait r�volt�e, elles avaient suivi avec la plus grande docilit�, la plus grande servilit� leurs conseils, faisant en un seul apr�s-midi des progr�s surprenants.
Ali serait content, elles �taient capables d'�ponger le p�kin ordinaire en moins de trois minutes, ce qui n'�tait pas banal pour des quasi-d�butantes.
Le soir m�me, en compagnie de Clothilde, le cul toujours nu sous sa courte jupe, dans le grenier, Ali et son Fr�re faisait le point :
L'apr�s-midi laissait 7.350 euros de gain, que l'on pouvait arrondir facilement � 7.500 euros, en ne faisant travailler les filles qu'un jour sur deux il pouvait escompter un minimum de 90.000 euros mensuel, diff�rentes mesures � �tudier pourraient encore �lever ce gain, il faudrait faire preuve d'imagination, les moyens de diversifier leurs activit�s existaient, carte de club permettant de jouir des belles salopes � l'ann�e, apr�s midis r�cr�atifs pour assembl�es en mal de femelles,� locations � l'apr�s-midi, la soir�e .....
En enlevant 15.000 euros sous forme de gratification et de frais divers, l'entreprise s'av�rerait rapidement fort juteuse, le haut niveau de respectabilit� de ces dames assurant une discr�tion sans faille, c'�tait p�nard, pas de risques de contr�le policier inopin�, d'ailleurs Clothilde croyait avoir reconnu en la femme du commissaire principale, une de ses anciennes compagnes d'infortune, il faudrait, pour plus de s�ret�, l'ajouter au cheptel, ainsi que quelques autres belles salopes.
La question de l'association avan�ait, les statuts seraient bient�t pr�ts, restait � trouver un nom � ce club, tr�s select.
Restait aussi � concocter un signe distinctif qui permettrait de reconna�tre clairement les membres du club, qui pourraient les utiliser, moyennant finances.
La tourn�e des cin�s pornos s'av�rait fructueuse, au m�me titre que la journ�e foyer, elle serait � normaliser, la client�le existant.
Mokram leur avait indiqu� le bon vouloir et la servilit� des belles salopes qui en une semaine serait � m�me d'exercer dignement leur nouveau m�tier.
Coulybaca
dominique.dubuisez@orange.fr
Janvier 2008
L'OMBRE DU PASSE
Coulybaca (Texte personnel)
Chapitre 7 : L�association des Louves , l�auberge de la grange aux louves, la poursuite du dressage, premi�re prestation ext�rieure.��������������������������������������������������������������������������
Le lendemain apr�s-midi, tandis que Christine, Corinne et Juliette, poursuivaient leur formation chez le gros Lulu, Solange, Clothilde, Aurore, Arlette se trouvaient en compagnie d'Ali dans la pi�ce principale de ce qui deviendrait leur club, Pascale, Sylvette et Sylvie, indisponibles pour diff�rentes raisons �taient laiss�es au repos.
Ali venait de faire affaire avec le vendeur, par l'entremise d'un courtier peu regardant, se souciant peu de l'origine des deniers per�us, de toute fa�on, la pr�sence du gratin de la ville l'avait dissuad� d'en demander plus.
Pour une soulte de 3.000 euros, il avait acquis le mobilier de la maison. Assis sur le divan, le courtier parti, il regardait ses femelles se d�v�tir.
Posant soigneusement corsages, jupes, frous-frous sur les accoudoirs des fauteuils, bient�t nues, elles attendaient son bon vouloir.
Il se contenta de se r�galer l��il, puis la main, t�tant un sein, une fesse, les invitant � s'asseoir� � ses cot�s.
Il lui restait diff�rents d�tails en suspens � r�gler, avant m�me de pouvoir songer au plaisir.
Aurore, sur ses ordres compl�tait les statuts de l'association.
Intitul�e Les louves, elle excluait formellement tout m�les des activit�s, et oeuvrerait dans le domaine sociale, son but serait de distraire, d'�duquer les masses laborieuses, par tous les moyens l�gaux en vigueur ; elles devaient d'ailleurs reconna�tre qu'effectivement, depuis une huitaine de jours, elles s'y employaient de tout leurs corps, sinon de tout leurs �mes.
Le local lui m�me porterait le nom �vocateur de la grange, ainsi, ironiquement il les r�unissait dans un lieu, que bient�t, bien des amateurs� d�signeraient sous le vocable de la grange aux louves, reprenant ,sans le savoir, le nom du lieu o� plus jeunes, elles s'�taient vu contraintes de se prostituer, accordant leurs corps et leurs charmes comme elles continueraient de le faire d�sormais .
D'autre part, et sur la suggestion de Mohamed, elles se feraient tatouer une t�te de louve sortant d'un porche de grange, sur le dos de la main, permettant ainsi aux membres d'un club � venir d'identifier au premier coup d��il les salopes dont ils pourraient disposer librement au hasard des rencontres, actuellement, en termes voil�s Mohamed recrutait des membres actifs.
L'id�e �tait simple, contre une cotisation de 1.500 euros pour l'ann�e, les adh�rents pourraient plier sous eux n'importe laquelle des tatou�es, la seule r�gle intransigible serait de ne pas provoquer ces rencontres, elles devaient �tre totalement fortuites, les clients acquitteraient leur du, sur rapport de l'utilis�e, au plus proche retour au club.
Contre une cotisation plus faible, de 300 euros, les clients �ventuels, pourraient venir, deux fois par semaine, et moyennant finance s'offrir les trois orifices des donzelles, le mardi et le vendredi soir.
Ces soirs l�, ils trouveraient toujours au moins sept des dix putains de la maison, de disponibles, puisque ces soir�es seraient uniquement consacr�es aux activit�s du club.
Les autres jours le bordel fonctionnerait avec au moins quatre filles chaque jour, ce syst�me permettrait de mieux r�partir le travail des pensionnaires, tout en leur accordant des journ�es de r�cup�ration.
Ali pensait, que le meilleur moyen de conserver un cheptel frais et op�rationnel, �tait de le m�nager, aux journ�es d'abattage ( foyers, cin� ....) succ�deraient des jours de repos et des soir�es moins fatigantes au bordel.
Tout ceci expos�, il s'int�ressa de plus pr�t aux charmes de ses h�ta�res, soupesant les mamelles d'Arlette, il entreprit d'en �tirer les mamelons, les malmenant, les pin�ant, les griffant, docile, elle tendait sa poitrine aux mains de son tourmenteur.
Se levant, il prit place sur un fauteuil, enjoignant aux trois autres femmes de se caresser, de se gouiner sur le divan.
Serviles, elles obtemp�r�rent, et tandis que Solange s'allongeait sur le dos, Aurore accroupie au dessus de son visage, proposait son sexe � sa concupiscence, Clothilde s'agenouillant au bord du divan fouillait du doigt la d�chirure entre ses cuisses.
Attirant Arlette sur ses genoux, il contemplait le charmant tableau vivant, les exhortant � faire jouir leurs partenaires.
Au sex-shop, pendant ce temps, Juliette empal�e sur la pine du gros Lulu, qui d�cid�ment se vengeait d�licieusement de ses rebuffades regardait ses amies �tal�es sur les genoux de leurs formateurs recevoir une formidable fess�e.
Assur�ment elles regrettaient maintenant leur stupidit�, elles avaient regimb� quand Mokram leur avait indiqu� le programme de l'apr�s-midi : elles devaient chacune, accueillir une vingtaine de clients dans leurs reins, s'effor�ant de leur donner le plus de plaisir possible tout en les amenant rapidement � se d�verser au fond de leurs entrailles.
Plus craintive, plus intuitive, Juliette avait ob�i lorsqu'� moiti� nue, Lulu l'avait attir�e sur ses genoux.
Introduisant ses doigts tendus dans ses fesses il avait fermement dilat� sa rondelle, l'�largissant lentement, �vasant le goulot, avant de l'enculer � sec.
Bien sur la p�n�tration avait �t� douloureuse, mais son sphincter bien graiss�, avait aval� sans trop se plaindre l'�norme mandrin �rig�.
La bite bien cal�e au fond des intestins se tenait maintenant immobile, juste de petits tressaillements r�v�laient la tension de son enculeur, qui comme elle lorgnait les fesseurs.
Les premi�res gifles ass�n�es avec force sur la croupe, leur avaient arrach� des cris per�ants, puis des hurlements de douleur, et maintenant la voix cass�e, elles geignaient plaintivement, des chaudes larmes coulant de leurs yeux gonfl�s.
Les derri�res rubiconds luisaient sous la lumi�re, les fesses agit�es de tremblements, elles suppliaient leurs ma�tres d'arr�ter, les assurant de leur bon vouloir.
Enfin ils cess�rent, percluses de douleurs elles se relev�rent et durent se remaquiller avant de s'�tendre servilement sur le ventre, tendant leurs croupes cramoisies aux futurs clients, pitoyable, Mokram leur enduisit les fesses d'une pommade apaisante, qui effa�a comme par miracle la douleur, ne laissant subsister que la chaleur de leurs culs meurtris, puis pr�voyant, il glissa ses doigts dans leurs raies, graissant copieusement leurs goulots.
Lulu, avait saisis Juliette aux hanches, il la levait puis l'abaissait avec violence, la perforant jusqu'aux poumons, elle ne disait mot, elle ne voulait surtout pas, en plus lui donner le plaisir de ses plaintes, aussi sto�que supportait-elle son supplice avec r�signation sinon avec bonheur.
Enfin au creux de ses entrailles elle sentit sursauter l'ignoble verge, qui se mit � trembler, transmettant ses fr�missements aux entrailles palpitantes, soulag�e, elle le sentit enfin �jaculer avec force au fond de ses reins soumis, il �tait temps, son corps �tait au bord de la trahison, lui aussi voulait jouir.
Elle se leva, et s'essuyant d'une main distraite, elle s'�tendit sur le ventre aux cot�s de ses compagnes, il ne restait qu'� ouvrir aux clients.
Au si�ge de l'Association, Mohamed p�n�trait dans la pi�ce qui r�sonnait maintenant des r�les de plaisir des trois bacchantes.
Solange fouillait maintenant � pleine bouche la cramouille d'Aurore affal�e sur son torse et triturait � pleines mains les tendres mamelles de Clothilde qui gamahuchait Solange.
Deux doigts fich�s dans son cul, elle vrillait ses phalanges le plus loin possible dans la gaine souple, �cartant et refermant les doigts dans l'�troit conduit, arrachant � sa victime des sursauts violents du bassin . La langue de Solange suivait les babines d�tremp�es d'Aurore, les l�chait, les s�chait, puis elle pointait dans le con gluant, le titillant lascivement, avant de se poser sur le pertuis odorant le forcent de la pointe.
Soudain Solange dans un sursaut de tout son corps malmen� par Clothilde mordit � pleine dents la chair fragile des babines, Aurore, le corps agit� de tremblements f�briles lui jouit dans la bouche, inondant son palais de sa liqueur sucr�e, se relevant, elle se pr�cipita derri�re Clothilde, lui �carta rudement les jambes, et allong�e sur le dos entreprit une d�lectable feuille de rose.
Emmanch� dans le cul d'Arlette, qui trayait de toute la force de ses sphincters la grosse pine le comblant au del� de toute expression, Ali observait son fr�re qui arrachait les boutons de son jean et se ruait entre les cuisses d'Aurore, s'enclouant jusqu'� la garde dans le con juteux.
Une odeur de foutre se r�pandait dans la chambre, en sueur, d'un m�me grognement, les deux m�les se vid�rent au fond des femelles alors que simultan�ment, Solange et Clothilde, poissaient de leurs secr�tions les bouches goulues.
Pendant ce temps les trois �l�ves en �taient chacune � leur deuxi�me enculage, leurs rondelles douloureuses devraient encore avaler quelques bites avant que leurs formateurs ne se d�clarent satisfaits de la s�ance.
Elles avaient beaucoup progress�s au cours de ce petit stage, surtout en ce qui concerne les positions ; de face, assise sur les genoux des clients, debouts, � quatre pattes, elles �taient maintenant capables de provoquer une rapide �rection � leurs clients avant de les avaler avec �nergie par la rondelle.
Cela ne s'�tait pas fait sans mal, les rosettes comme d�coup�es au rasoir, leurs crat�res clignotaient de douleur � chaque nouvelle intromission ; et pourtant ils �taient inflexibles, ils avaient d�cid�s que chacune devrait �puiser une quinzaine de clients, ce qui, compte fait des salauds qui prenaient un deuxi�me� et m�me, pour quelques rares, un troisi�me tour, les m�nerait chacune � une trentaine d'enculage.
Juliette, comme les autres, avait perdu le d�compte des bites qui s'�taient succ�d�es dans son anus, pour l'instant, allong�e, le dos sur une table, jambes pendantes, elle tendait son crat�re enflamm�, une �paisse pine noire la perforait de profonds coups de reins.
Son rectum br�lant ne lui laissait aucun r�pit, des �lancements douloureux grimpaient le long de sa colonne vert�brale pour �clater en boules de feu dans son cerveau, et pourtant, pour abr�ger son martyre, ses reins se faisaient lascifs, son sphincter �tranglait l'�norme bite qui la remplissait toutes, trayant avec �nergie l'�norme colonne bistre.
Elle n'avait qu'une h�te, sentir encore une fois les vagues br�lantes d�ferler dans ses entrailles, pour encore tirer les trois ou quatre coups qui la s�paraient du repos.
Comme ses compagnes, elle n'�tait plus capable de r�fl�chir, � un train d'enfer les braquemarts fi�vreux se succ�daient dans ses fesses, elle s'adaptait rapidement au calibre propos�, dilatant ou resserrant sa bague annel� sur le membre qui l'envahissait afin de conclure le plus rapidement la passe, enfin elle sentit la flamberge trembler au fond de ses entrailles, d'un dernier �lan fructueux, le client se planta plus profond qu'il n'avait jamais �t� dans son pertuis fr�missant, et � longues gicl�es d�versa son trop plein dans ses reins soumis.
Avant� d'accueillir le suivant, elle prit soin d'essuyer ses fesses et sa fourche d�bordant de foutre gluant, d�j� le suivant se pr�sentait, lui faisait signe de s'allonger sur le ventre, avant de s'enfoncer dans son cul, ses mouvements spasmodiques entra�naient un clapotis baveux.
Corinne et Christine, � quatre pattes cote � cote, une grosse mentule distendant leurs entrailles douloureuses participaient aussi au viol de leur anus pour h�ter la conclusion.
Leurs clients �changeaient leurs impression tout en leur �clatant le cul, ils avaient �chang�s leurs partenaires ce qui leur permettaient de comparer la qualit� des deux anus propos�s.
Serrant les gros cylindres comme dans un poing, elles t�taient voracement les chibres coriaces, leur premi�re �jaculation autorisait les deux clients � adopter un rythme moins �chevel�, ils contr�laient mieux leurs mont�es spermatiques, faisaient durer leur plaisir.
Les deux femmes avaient beau tourner langoureusement du cul, les absorber en variant les cadences, lancer la main en arri�re pour leur presser les bourses, elles n'arrivaient pas � conclure.
Elles guettaient avec impatience les soubresauts annonciateurs de la salve ti�de elles se prostituaient avec une rare lubricit�, devant se servir de tout leur nouveau savoir, de toute leur nouvelle technique pour conduire leurs chevaucheurs vers une conclusion plus rapide.
Elles se lassaient, quand enfin, et sans signes pr�alables, ils projet�rent de puissants jets de semence chaude au fond de leurs intestins, d�culant pour terminer de se vider entre leurs fesses disjointes, �talant de la pointe de la queue leur sperme gluant sur les croupes malmen�es.
Encore un pens�rent-elles s'essuyant la raie avant de se disposer comme l'entendrait le suivant.
A ce moment, Mohamed annon�ait � Ali :�
- J'ai pris rendez- vous chez le chinois � 18 heures, pour les tatouages, Pascale et Sylvie y seront, je les ai jointes tout � l'heure, elles ont pu se lib�rer ..... Ensuite, pour 20 heures, j'ai promis deux salopes � un groupe .... Ce sont des noirs qui sont venus traiter en France .... Ils ont de bonnes notes de frais .... ils proposent 750 euros par femelle..... Mais ils veulent de bonnes bourgeoises ...... ils sont huit, ils les garderont jusque deux heures pour f�ter la r�ussite de leurs contrats ! �..
- �� Faudra voir qui on envoie!� � C'est facile, seules Aurore et Clothilde sont libres ce soir, tu les emm�neras apr�s leur tatouage ! .... Compris les belles, et soyez � la hauteur! �.
Ils rejoignirent Pascale et Sylvie chez le tatoueur, ce dernier en compagnie de son aide, le travail termin�, profitait de la pause pour go�ter aux talents buccaux de ces dames.
Agenouill�es entre leurs grasses cuisses, Pascale et Sylvie su�aient avec conviction les bites jaun�tres ; �tonn�es de la conformation des deux chinois, elles avaient englouties au fond de la gorge les deux bites minces et longues qu'ils proposaient � leur gourmandise.
Sans se d�monter, les deux suc�s firent signe aux arrivants de s'asseoir le temps que les deux fellatrices en terminent, ce qui ne tarda gu�re, � gros bouillons le jus sal� leur emplit la bouche, avant de s'�couler lentement dans leur oesophage.
Les remerciant fort civilement, le chinois leur fit exhiber leurs tatouages, ils �taient bien r�guliers, bien form�s au dos de la main, le mod�le fourni �tait respect� dans les plus petits d�tails.
Chacune � leur tour, les arrivantes subirent le petit supplice des centaines d'aiguilles leur perforant la peau, pour y imprimer le logo du club, l'op�ration dura quand m�me deux bonnes heures.
Aurore et Clothilde avait quitt� leurs amies sur le coup de 7 heures, pour se rendre � leur rendez-vous, en compagnie de Mohamed et Sylvie qui conduisait.
Mohamed frappa � la porte d'une villa isol�e de banlieue, un grand noir leur ouvrit avec empressement ; les palabres termin�s, le prix convenu per�u, Mohamed se retira, annon�ant son retour vers 2 heures du matin pour r�cup�rer ses prot�g�es.
Intimid�e, les deux femmes restaient gauchement assises sur un pouf, attendant les ordres.
Elles jetaient des regards �tonn�s autour d'elles . La salon �tait couvert de peaux de b�tes, seuls quelques poufs permettaient de s'asseoir autour de deux tables basses.�
- Ibo se pr�senta le grand noir, Mes amis ne vont plus tarder, en les attendant, faisons plus intimement connaissance� sugg�ra-t-il, lorgnant entre les cuisses d'Aurore, qui assise sur le pouf livrait des d�tails prometteurs � ses yeux.�
- j'ai demand� � votre ami des bonnes bourgeoises, voyons ce qu'il en est, pr�sentez vous .... Que faites vous dans la vie? ..... Pourquoi vous prostituez-vous ? ..... Que font vos maris?.... Avez vous des enfants, je veux tout savoir ! �...
Aurore, � qui s'adressait ce discours, entama les pr�sentations :�
- Je m'appelle Aurore Lepan, .... J'ai trente six ans ..... Mon mari est maire et conseiller g�n�ral de Moulins ....... ��
- La femme du maire! .... Tu couches par vice , ou pour l'argent? �.. s'�tonna Ibo .
Bl�missante, Aurore constatait l'erreur de son vis � vis , il la croyait salope au point de se prostituer par vice.��
- Non ... Non .... Ce n'est pas �a ..... Une bande de salauds poss�dent des vieilles photos compromettantes, ....�� Ils m'obligent � .....
- C'est encore mieux que je l'esp�rais ...... Vous agissez toutes deux sous la contrainte? �.
A son tour, Clothilde r�pondit :�
- Pour moi aussi c'est la m�me chose, .... Mon mari est directeur de cabinet � la pr�fecture ..... En fouillant dans mon grenier, le fils du jardinier a trouv� des tas de photos ignobles ..... Depuis ce jour, je dois, comme Aurore me plier � toutes ses volont�s ! �...
- �C'est les copains qui vont �tre surpris, ils quittent vos maris ..... Une concertation ... Je pense d�j� � leurs t�tes quand ils sauront que ce soir ils disposent des femmes de leurs interlocuteurs de la journ�e! �.. Mais pr�parons leur la surprise, venez vous d�shabiller dans la chambre�.
Elles le suivirent dans une grande chambre meubl�e d'un vaste lit et entreprirent de se d�v�tir, saisissant avec soin leurs atours, Ibo les disposait sur un cintre qu'il rangea dans un placard.
Il ne leur avait laiss� que des bas attach�s par une jarreti�re rouge pour Aurore, et pour Clothilde des bas attach�s � une gu�pi�re laissant la gorge nue.
En attendant l'arriv�e de ses amis, les disposant cote � cote, face � lui il s'amusa � comparer leurs anatomies : plus gracile qu'Aurore, Clothilde tranchait fortement avec l'exub�rance des formes de sa compagne.
D'un doigt flatteur, il suivit le pli des deux croupes, avant d'immiscer ses doigts entre les cuisses �cart�es, comparant la large blessure, le corail des lourdes babines d'Aurore �mergeant d'un fouillis de poils roux, � la d�licatesse de la fente ros�e de Clothilde, bien lisible au c�ur du mince tapis blond qui lui encadrait la moule.
Elles subissaient depuis quelques moments ces caresses qui peu � peu les �moustillaient, lorsqu'une voiture s'arr�ta bruyamment dans la cour. Aussit�t, Ibo les mena dans la salle � manger, et leur enjoignit de se glisser sous la large nappe, elles devraient ne pas se signaler pendant quelques minutes, puis au moment de l'ap�ritif, elles devraient pomper les huit protagonistes.
Elles firent comme indiqu�s, �coutant les convives deviser gaiement, commentant leur journ�e, se r�jouissant de leurs contrats, enfin le signal leur parvint : un bruit de gla�ons agit�s dans des verres.
Se tra�nant sur les genoux, elles se mirent en action, portant la main sur deux braguettes bond�es, au premier sursaut de leurs victimes succ�da le rel�chement des cuisses, des grosses mains noires se pos�rent sur leurs t�tes, pour mieux s'enqu�rir de l'identit� de leurs agresseurs, satisfaits de sentir de longs cheveux f�minins glisser entre leurs doigts, ils �cart�rent les jambes, tendant d�j� le ventre.
Sans perdre de temps, les deux pr�pos�es descendirent les fermetures �clairs, extrayant deux �paisses colonnes d'�b�ne des slips tendus, tendant le cou elles aval�rent avec souplesse les gros champignons, aga�ant de quelques mignardises le frein de ces messieurs qui hilares, �panouis poursuivaient comme si rien ne se passait leurs conversations.
Ils ne purent cependant cacher longtemps leur satisfaction, les deux bouches s'appliquaient avec tant de science sur leurs queues raidies, que bient�t leurs rythmes cardiaques s'acc�l�r�rent, leurs d�bits se fit hach�, et sous l��il �tonn� de leurs compagnons de table, ils s'exon�r�rent dans les bouches avides avec des grognements de b�tes.
Relevant la surprise des autres convives, Ibo s'exclama :�
- A premi�re vue, Joseph et Moussa ont eu leur surprise, mais ne vous inqui�tez pas, votre tour..... Viendra..... A tous ! �..
Les derniers mots s'�trangl�rent dans sa bouche, car � son tour des mains, pour lui connues l'avaient d�calott�, puis avaient enfourn� sa bite dans un nid bouillant, onctueux.
�Un autre des convives sursauta alors, les deux d�j� suc�s �clat�rent de rire, comprenant que le tour des amis venait, les quatre derniers, intrigu�s, continuaient de converser, attendant leurs tours.
Lorsque les huit convives eurent vid�s leurs couilles au fond de leur gorge, en rampant la l�vre luisante, les joues rouges, elles sortirent de sous la tables, exposant aux yeux ravis leur int�grale nudit�.
Le temps du repas, elles pass�rent les plats, stationnant aux cot�s des convives avides de faire connaissance.
Bient�t, leurs deux corps n'eurent plus aucun secret, tous connaissaient l'onctuosit� de leurs sexes tremp�s, la cambrure de leurs reins, la fermet� de leurs croupes, des doigts avaient test� la souplesse de leurs vagins, l'�lasticit� de leurs anus.
Enfin ils pass�rent au salon, l� Ibo pr�senta ces dames :
- Messieurs, r�jouissez-vous, apr�s avoir go�t� les discours du maire et du pr�fet cet apr�s-midi, ..... Je vous convie � go�ter aux charmes de leurs femmes ce soir! �.. �non�a-t-il ironiquement. Mais comment as tu pu? �. �
- C'est vraiment les femmes du maire et du pr�fet ? �. �
- C'est la femme du maire, Aurore Lepan, quant � madame Clothilde Marsac, c'est presque l'�pouse du pr�fet, son mari est directeur de cabinet � la pr�fecture .... Quant � savoir comment, c'est mon secret ..... Mais chaque fois que nous reviendrons, mon fournisseur pourra nous fournir des bourgeoises ....� Il en fait son affaire ..... Mais pour l'instant go�tons ! ....
Arrachant leurs v�tements, ils se ru�rent sur les femelles, chacun voulant s'emparer d'un morceau de choix, finalement cinq gaillards s'occup�rent de Clothilde, tandis que les trois autres prenaient possession de Solange.
Menue, fr�le, Clothilde semblait perdue entre ces grands corps d'�b�ne. Sa tendre carnation de blonde tranchait sur les corps bruns des cinq noirs qui l'accaparaient.
Ibo s'�tait �tendu sur les peaux, Clothilde pouss�e par des mains fi�vreuses s'�tait empal�e sur son chibre �rig�, une pression au creux des �paules l'avait ploy�e en avant, offrant � une pine turgescente son anus frip�, de la bouche elle contentait un troisi�me membre tandis que chaque main referm�e sur deux gros cylindres, elle masturbait ses deux derniers suborneurs.
Solange, m�me s'ils n'�taient que trois n'�taient pas mieux lotie, une bite �norme lui distendait la rosette, elle endurait la torture du pal, le gigantesque gland lui �cartelait atrocement le fondement, b�illonn�e par un autre membre �pais, elle ne pouvait clamer sa douleur tandis que l'�norme mandrin, lui refoulant les intestins faisait sa place dans son boyau, le d�pliant, s'y installant de toute son ampleur, ce fut encore pire lorsqu'il se mit en mouvement, � chaque retrait, il lui semblait qu'il entra�nait son intestin hors de son ventre, que ses entrailles s'arrachaient, � chaque coup de boutoir, toujours plus profond, elle se sentait perc�e jusqu'aux poumons, et cela dura, dura ..... jusqu'� son �vanouissement.
Elle ne reprit conscience que pour sentir l'�norme membre enfin cal� bien au chaud au fond de ses intestins, l'impression de pl�nitude �tait intense, toute sa gaine lui semblait dilat�e, au bord de la rupture, et pourtant elle ne souffrait plus, comme anesth�si�e par la fulgurance de la douleur.
La bite de son envahisseur �tait si serr�e qu'il ne pouvait bouger beaucoup dans son rectum, aussi se contentait-il de la relever lentement pour l'embrocher avec la m�me douceur.
De la bouche, les yeux fous, elle contentait deux autres noires, n'abandonnant des l�vres une pine que pour la confier � ses fins doigts, d�roulant le pr�puce sur le gland, griffant d'un ongle l�ger les bourses velues tout en absorbant jusqu'� la luette l'autre pine � l� forte sauveur.
Enfin des flots de sperme lui inond�rent l'anus, la bite du masturb� lui cracha � ce moment sa chaude liqueur, alors que son chevaucheur de t�te se vidait � son tour dans sa gorge accueillante.
Avec pr�caution, elle s'arc-bouta sur les mollets pour se relever, jamais un tel �talon ne l'avait remplie, malgr� la lenteur du d�culage, il lui sembla � nouveau qu'on lui arrachait les intestins, grima�ante, elle fit deux pauses, avant de se d�sembrocher totalement dans un bruit de succion incongru.
Ddes flots de sperme jaillirent de son cul, lui coulant sur les fesses, entre les jambes, la graissant copieusement pour ses futurs partenaires.
Clothilde aussi, les yeux fous recevait l'hommage de ses cinq partenaires qui se vid�rent successivement dans ses orifices et sur ses seins . Apr�s avoir repris des forces, ils entam�rent quelques fantaisies, enfin, ceux qui le pouvaient encore, ayant pari� qu'apr�s le passage de leur coll�gue, Solange pourrait recevoir deux pines � la fois, deux gaillards, normalement constitu�s, l'avait dispos� fesses grandes ouvertes sur un pouf.
An�antie, presque inconsciente, elle se laissait manipuler passivement, adoptant les positions qu'ils lui indiquaient.
Sous l��il attentif des sept spectateurs, ils commenc�rent par ouvrir � fond le cul d�j� b�ant, le goulot grand ouvert, Solange exposait son int�rieur, blanch�tre macul� de s�ve, la maintenant bien ouverte, jambes repli�es vers l'avant les deux bites jointes forc�rent la rondelle.
Les deux bites jointes n'�galaient pas l'ampleur du fut qui l'avait pr�c�demment forc�e, le probl�me pour les deux noirs �taient surtout de coordonner leurs efforts, ils y parvinrent, et lui r�pant le boyau, les deux verges p�n�tr�rent d'un m�me pas dans le fondement soumis.
Les deux membres compress�s, ils boug�rent lentement d'abord de concert, puis, et l� la douleur fulgura, en sens inverse, il lui sembla alors que deux mains invisibles, agripp�es � chaque extr�mit� de son intestin l'allongeait d�mesur�ment, lui d�chirant les muqueuse, � nouveau cela craqua dans sa t�te, et elle perdit conscience, c'est dans un cul inerte, que de concert, ils se vid�rent.
L'homme � l'�norme braquemart, la queue raidie par le spectacle enconna durement Clothilde, mais l'�lasticit� plus grande du vagin, les visites pr�c�dentes qui l'avaient pr�par�es, lui permirent de supporter la douleur.
Contrairement � Solange, elle eut la pr�sence d'esprit de provoquer le plus rapidement possible la jouissance de son amant, lan�ant les mains en arri�re, elle se saisit de ses couilles et les p�trit, les griffa tandis qu'elle sautait sur le pivot lui emboutissant la chatte.
A ce rythme, son enconneur ne tarda � projeter ses longs jets onctueux au fond de sa matrice, l'emplissant � son tour de semence chaude.
Lorsque Ali vint les reprendre, h�b�t�es, saoul�es d'alcool et de fatigue, des longues traces de sperme maculant tout leurs corps, il dut passer au� club, pour les baigner longuement, tendrement, avant de les ramener chez elles titubantes de fatigue.
Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
L'OMBRE DU PASSE .
Coulybaca (Texte personnel)
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Chapitre 8�: le recrutement de nouvelles gagneuses.
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Attabl� devant un verre de whisky, Ali faisait le point en compagnie de son fr�re et de ses sbires .
Cela faisait maintenant un mois qu'il avait lanc� l'op�ration, aux dix premi�res femelles, �taient venues s'ajouter six autres gagneuses, tout autant disponibles :
_ Une seconde Arlette, Arlette Dumas, son mari commissaire principale de police, � qui elle n'avait jamais avou� sa faute, ne devait jamais la conna�tre, aussi se pliait-elle aux injonctions d'Ali avec autant de bonne volont� que ses cons�urs. Belle blonde sophistiqu�e, on lui aurait donn� le bon dieu sans confession ; en fait elle se r�v�lait ardente, chaude au lit, elle n'avait eu aucun besoin de formation compl�mentaire, que ce soit en bouche, en con ou en cul, ses dispositions naturelles lui permettaient d'�puiser le m�le le plus exigeant dans un minimum de temps.
D�j� elle s'�tait faite une client�le particuli�re qui adorait couvrir cette belle femelle, jusqu'ici irr�prochable, la couvrant de sperme, lui faisant prendre les positions les plus ignobles, contrastant fort avec son air ing�nu.
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_ Pour Isabelle Fournier, la femme du premier adjoint, commer�ant en gros et Nicole Dulac, l'�pouse d'un agent g�n�ral d'assurances, le pi�ge s'�tait referm� sur elle d'une toute autre fa�on.
Instruit par Aurore Lepan, de la tendre amiti� qui unissait les deux femmes, Ali soup�onna vite plus qu'un attachement amicale, apr�s plusieurs jours d'espionnage, il d�couvrit le petit nid qui abritait leurs amours, � une vingtaine de kilom�tres de Moulins.
S'en ouvrant � Solange et Clothilde, il apprit qu'elles ne pouvaient voir leurs amours �tal�s au grand public sans risquer le divorce, la mise au ban de la soci�t� Moulinoise, ce que dans leurs positions, elles ne pourraient supporter.
Bient�t le guet-apens fut pr�t, le propri�taire du petit h�tel, contre la promesse, de s'envoyer � sati�t� les deux salopes, permit � Ali et Mohamed de remplacer un immense miroir au mur de la chambre qu'elles retenaient � chacune de leur visite, par une glace sans tain, permettant d'observer, de photographier de la pi�ce voisine.
Il poussa la complaisance jusqu'� pr�venir Ali, d�s leur prochain rendez-vous. Confortablement install�s, Ali et Mohamed prirent deux pellicules de leurs �bats intimes.
Ali aimait particuli�rement un clich�, sur lequel on voyait la brune Nicole fesser de sa mule la plantureuse croupe de sa blonde amie, la photographie en couleur soulignait la rougeur du large fessier, d�montrant amplement la cruaut� du jeu.
Il ne d�daignait pas pour autant d'autres photos, ou elles se grouinaient avec entrain, t�te b�che, se su�ant mutuellement le clitoris, honorant leurs anus d'une langue curieuse, ou s'empalant sur des postiches doubles comblant leur deux intimit�s simultan�ment.
Celle qu'il leur avait envoy�e les repr�sentait int�grement nues, allong�es l'une sur l'autre t�te b�che, Isabelle fouillant d'une langue pointue la vulve luisante de sa tendre amie, tandis que Nicole �cartant ses fesses � deux mains lui prodiguait une savoureuse feuille de rose.
Le lendemain, elles �taient au rendez-vous fix�, et pleurnichant acceptaient toutes ses conditions, comme l'avait pr�dit Aurore, leur position sociale ne pouvait leur permettre de voir �tal�e au grand jour leurs turpitudes.
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Ren�, le propri�taire de l'auberge, re�ut leur visite d�s le lendemain, driv�es par Mohamed, elles devaient combler les d�sirs de leur d�lateur, en r�compense de ses r�v�lations.
Elles s'y employ�rent avec r�signation, les deux hommes se succ�d�rent entre leurs fesses, leurs cuisses et leurs l�vres.
Dans une folle apr�s-midi, ils se permirent toutes les fantaisies, terminant par un savoureux sandwich dont Isabelle constituait la tranche de jambon.
Mohamed enfoui profond�ment au fond de son con et Ren� la poss�dant puissamment par l'anus se firent l�cher les burnes par Nicole, qui devait de la pointe de la langue agacer les deux verges plant�es dans les orifices de sa belle amie.
Lorsque dolente, d�bordante de foutre, Isabelle resta affal�e en travers de la couche, Nicole dut encore nettoyer les queues des deux salauds, puis elle lapa le foutre suintant de l'anus et du con de sa compagne, avalant d'un m�me coup de langue semence et cyprine m�l�es.
Ravi de la conclusion de l'aventure, Ren� se promit de surveiller tous les couples ill�gitimes qui pouvaient se rencontrer chez lui, d�cid� de signaler � Ali toutes les proies susceptibles de rejoindre son cheptel.
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Pour Charlotte Vend� c'�tait encore mieux, Ren�, le propri�taire de l'h�tel, avait pr�venu Ali que depuis quelques semaines un couple venait furtivement deux fois par semaine, dans ce couple il lui semblait bien avoir reconnu Madame Vend�, jeune veuve de trente huit ans qui avait eu les honneurs de la presse quelques ann�es plus t�t.
Son mari, gravement malade �tait d�c�d�, laissant derri�re lui un testament sp�cifiant qu'elle jouirait de ses rentes tant qu'il ne serait pas remplac�, au moindre �pisode amoureux, l�galis� ou non, le testament deviendrait caduque, l'h�ritage serait alors partag� entre de vagues neveux, qui depuis ce jour �piaient les faits et gestes de la belle h�riti�re.
Il lui avait �t� facile de v�rifier ces assertions, le d�c�d� ayant d�pos� dans l'�tude du mari de Sylvette.
A la grande joie d'Ali les faits s'�taient av�r�s r�els.
A partir de ce moment, il sut qu'il ne tarderait pas � jouir d'une nouvelle pute.
Effectivement, la vue de la photo qu'il lui amena personnellement la convainquit imm�diatement de plaquer son amant pour le remplacer par un souteneur impitoyable.
Le march� fut trait� sur le canap� de Charlotte.
Une photo la repr�sentant � quatre pattes sur le lit de l'auberge, l'anus d�fonc� par un �norme gourdin, le sphincter semblant cercler l'�pais mandrin d'un bague de bronze suffit � la subjuguer.
Sur l'ordre d'Ali elle se d�shabilla en sanglotant, il s'assouvit voluptueusement dans ses reins, dans sa bouche et dans son con, avant de lui annoncer son esclavage � venir.
Pour elle le choix �tait simple, ou elle acceptait de se soumettre, troquant son silence contre quelques apr�s midis charg�es, et quelques soir�es bien remplies chaque semaine, ou elle refusait et se verrait contrainte de renoncer � la vie ais�e, confortable, � la position envi�e que lui conf�rait l'h�ritage de feu son mari.
Sanglotant, elle accepta toutes ses conditions, promettant de se prostituer pour lui s'il n'informait pas les �ventuels h�ritiers de son inconduite.
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- Avec Jeannine Duclos, l'affaire devenait croustillante, cette s�millante brune de trente cinq ans passait pour un bastion inattaquable, femme du plus gros promoteur de la r�gion, elle profitait de son oisivet� pour militer dans toutes les associations bien-pensantes du lieu, d�cernant des prix de vertu, ses jugements d�finitifs conf�raient � ses victimes une aur�ole de vertu ou le titre de fieff�e salope, ce qui les excluait automatiquement du cercle des gens bien, leur fermant les portes des r�ceptions de bon ton.
C'est avec joie que Clothide et Solange qui s'�taient fait �gratigner par ce parangon de vertu, apprirent qu'elle entretenait des relations bizarres avec son beau-fils, fruit d'un premier mariage de son mari.
Une longue vue braqu�e sur la villa de la jeune femme permit � Ali de v�rifier les faits, cependant il eut bien du mal � leur tirer le portrait en situation vraiment inavouable.
Il poss�dait d�j� quelques photos ou on la voyait embrasser passionn�ment son jeune amant, mais cela ne suffisait pas � prouver la relation incestueuse, lorsqu'un apr�s-midi, de faction devant la villa, il vit s'absenter les deux domestiques, il s'en r�jouit, pensant que les deux amants se montreraient moins m�fiants de ce fait.
La suite lui d�montra qu'il avait raison, le jeune homme, se croyant � l'abri des regards indiscrets se d�v�tit et plongea nu dans la piscine, apr�s quelques �volutions, Charlotte, en maillot une pi�ce vint le rejoindre, il projeta de l'eau sur elle, l'aga�ant jusqu'au moment ou elle plongea � son tour dans l'eau.
D�s ce moment, Ali se mit � mitrailler les acteurs qui chahut�rent tout d'abord innocemment.
Soudain, il vit la belle brune se raidir contre le muret de la piscine, la main du jeune homme agrippa les bretelles du maillot, d�nudant lascivement son buste, elle se laissait faire, tendant la poitrine, offrant ses mamelons � la bouche humide de son beau-fils qui les lui su�ait tendrement.
Apr�s quelques minutes de ce tendre jeu, le jeune �talon la repoussa sur le bord de la piscine, se tortillant, elle se conforma � son d�sir, s'extirpant de son maillot collant.
Jambes grandes ouvertes, assise sur le rebord de la piscine, elle offrait sa d�chirure aux coups de langue habiles de son amant, qui lui su�otait maintenant le clitoris, remontait le long des babines, introduisait la pointe de sa langue dans l'anneau ridel�, au c�ur des fronce brunes de son anus.
Secou�e de spasmes violents, elle ne put r�sister longtemps � ce r�gime, elle l'attira sur elle, puis roulant sur son corps, elle s'empala avec fr�n�sie sur sa bite fr�missante.
Ignorante du danger, c'est avec fougue qu'elle se livra une bonne partie de l'apr�s-midi aux tendres �bats, se vissant sur la queue raidie, l'absorbant jusqu'� la racine, la trayant de son ventre avide avant de lui rendre de la bouche de la vigueur.
Les derni�res photos prises par Ali, les repr�sentait cote � cote alanguis, les yeux dans le vague, la main du jeune homme ins�r�e entre les jambes de la belle brune, qui masturbait lentement la bite apais�e, cherchant machinalement � lui soutirer quelques gouttes de plus.
En plein cin�ma, lors de la projection d'un documentaire sur la condition des femmes en Afrique, film qui pr�c�derait un d�bat hautement instructif sur la question, Ali prit la place d'Aurore assise � ses c�t�s.
Sachant que toutes les places alentours �taient occup�es par ses cr�atures, Ali put en toute discr�tion soumettre � l'examen de la jolie femme les photos scabreuses la concernant.
Elle s'empourpra, renifla, ferma les yeux, an�antie.
Catastroph�e, elle ne repoussa pas la main du jeune arabe qui s'insinuait sous sa robe, remontait le long de ses cuisses nues, touchait le fond de sa culotte.
Ce n'est qu'� ce moment qu'elle serra violemment les jambes, emprisonnant la main aventureuse, tout en jetant de rapides coups d’�il alentours, craignant de se faire remarquer.
Lui pin�ant le gras des cuisses, Ali la mena�a, de monter dans la cabine de projection, pour projeter sur le grand �cran des diapos du m�me tonneau.
Haletante, elle ne put que murmurer :
D�sempar�e, elle ob�it, �carta en grand son compas, offrant aux doigts fouineurs la totalit� de son ventre crisp�.
Il aventura d'abord un doigt entre les l�vres charnues, puis il caressa lentement toute la figue crisp�e, enfon�ant un doigt dans le vagin puis l'anus de la jeune femme �perdue.
Elle ne pouvait s'agiter, se refusant � signaler l'agression dont elle �tait l'objet, aussi se laissait-elle passivement caresser, cherchant � dissimuler le plaisir naissant dans ses lombes.
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La prenant par la nuque, il la for�a � prendre son chibre tendu entre les l�vres, il lui appuyait sur la t�te l'obligeant � accomplir une fellation acceptable.
Enfonc� jusqu'� la garde entre ses l�vres, il ne tarda pas � lui embourber la gorge, lui d�versant des flots de sperme dans l'arri�re gorge, qu'elle avala en hoquetant.
An�antie, catastroph�e, elle se leva alors, suivant ses ordres et accompagnant son ma�tre-chanteur Aurore elle dut se rendre aux toilettes.
Aurore faisant le guet, elle entra dans les WC pour dames, et sur l'ordre d'Ali se pencha en avant, mains pos�es sur la fa�ence blanche.
Tout de suite, elle sentit une main masculine relever sa jupe, d�voilant sa croupe crisp�e, ses deux globes opulents couverts de chair de poule, une �norme pine parcourut son profond sillon avant qu'un gland �pais ne presse son anus.
R�vuls�e d'horreur, elle sentit deux mains �carter largement ses fesses, livrant son trou secret en spectacle, l'inconnu qui la mena�ait de son chibre hors norme se r�galait � la vision de son oeillet frip�, ridel�, contract� par l'angoisse et la honte, d'un coup sec le gland s'engagea dans le tunnel r�tract�, la laissant s'habituer quelques secondes avant de la pourfendre d'un grand coup d'estoc, la d�chirant avec force, empal�e jusqu'� la garde, elle se retourna pour identifier son agresseur et vit un grand noir, souriant � grandes dents en s'enfon�ant dans son boyau, tandis qu'Ali photographiait sa d�ch�ance.
Eperdue, secou�e d'importance par son enculeur, pleurant � chaudes larmes elle subit sa lubricit� jusqu'au bout, s'effor�ant de se dilater au maximum pour amoindrir la douleur irradiant de ses lombes.
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Enfin, � bout, elle sentit la grosse queue qui la remplissait toute se dilater encore, puis projeter des flots �pais et gras au fin fond de son rectum.
Comme �gar�e, folle d'humiliation, elle se retournait pour quitter ce sinistre endroit, t�moin de sa d�ch�ance, une nouvelle bite sombre se pr�senta � sa bouche, alors qu'un gros nord africain, la bousculant s'asseyait sur le si�ge des WC.
L'attirant � lui, le gros arabe enfourna sa queue dress�e dans son ventre vierge de toute lubrification.
Incendiant son vagin, il s'imposa avec vigueur dans son conduit � vif, tandis que le braquemart sombre s'engloutissait entre ses l�vres br�lantes.
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Sous les �clairs du flash, se tortillant sur le pivot �rig�, elle dut sucer goul�ment la pine fr�missante qui lui d�formait la bouche, s'enfon�ant comme un coin dans sa bouche.
La joie de ses suborneurs de profaner la belle blonde en pleurs �tait telle que quelques instants ils s'exon�r�rent l'un au fond de sa gorge, l'autre au fond de sa matrice.
Le cul et le con d�bordant de semence, le sperme coulant lentement de ses ouvertures naturelles poissant son entre fesse, les papilles impr�gn�es du go�t acre du sperme de son chevaucheur de t�te, elle r�int�gra la salle sous l’�il ironique d'Aurore et ses cons�urs, conscientes que dor�navant elles les accompagnerait dans leurs soir�es de d�bauche.
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Effectivement, la prude Charlotte eut beau temp�ter, supplier, pleurnicher, sangloter, la semaine suivante elle se rendait dans le foyer le plus proche, et sous la conduite de Mohamed proposait ses reins son ventre et sa bouche � la salacit� d'une vingtaine de clients d�cha�n�s.
Sa vie changea du tout au tout, son beau fils se vit exp�di� dans une universit� lointaine, quittant avec regrets et sans explications ce corps sensuel dont il tirait tant de plaisir, alors que sa ma�tresse, se conformant aux prescriptions de ses ma�tres, vendait son corps, un jour sur deux � leur profit.
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Pour la sixi�me recrue, ce fut encore plus facile, Ren� signala un mardi la pr�sence dans la chambre au miroir, de la femme du procureur du tribunal, �g�e de trente ans la blonde Mylene Servant trompait son ennui en jouant discr�tement les grues.
Ses fantasmes l'avaient pouss�es � racoler discr�tement des clients, les entra�nant dans une auberge d�rob�e, ou contre r�tribution elle leur faisait don de ses orifices.
Quelques photos expressives suffirent � la convaincre de mettre ses talents au service d'Ali et consort en �change de leur silence, et depuis ce jour elle se livrait avec le plus grand plaisir aux clients les plus exigeants, trouvant son plaisir dans l'accomplissement de ses fantasmes les plus pervers.
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Ren� qui avait �t� l'un des premiers � s'en servir avait signal� � Ali les aptitudes particuli�res de cette belle blonde, qui pouvait accueillir au fond de sa gorge les bites les plus cons�quentes, prenant son pied en livrant son anus et son con aux bites les plus extravagantes.
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Le club masculin, informel s'�tait aussi constitu�, chaque membre permanent portait une grosse chevali�re orn�e d'une t�te de loup, � sa vue, chaque femelle du staff se pliait au moindre volont� du porteur, quelque soit l'endroit ou l'heure de la rencontre.
Ainsi, lors de d�jeuners mondains, de bals de bienfaisance ou d'apr�s midis r�cr�atifs, elles pouvaient toutes se faire aborder et contenter des clients parfois exigeants.
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Lors du dernier gala de bienfaisance auquel participaient Clothilde Aurore et Myl�ne, elles devisaient gaiement, gris�es par l'atmosph�re chaleureuse de la soir�e, dans cet ar�opage, elles se croyaient � l'abri de toute mauvaise surprise, lorsqu'elles virent un petit groupe d'invit�s s'approcher d'elles, les quatre hommes arboraient la maudite bague, elles ne les connaissaient pas, et pourtant elles savaient qu'elles devraient se mettre enti�rement � leur disposition.
Les prenant par le bras, ils les entra�n�rent vers l'�tage, � peine dans l'escalier, elles sentirent des mains moites enqu�ter sous leurs robes, v�rifiant leurs tenues : croupes d�nud�es encadrant des bas sombres soutenus par des porte jarretelles de couleurs vives.
Aurore qui montait au c�t� de Clothilde tr�bucha, un doigt imp�rieux venait de lui forcer l'anus, les fesses serr�es elle continua de gravir les marches, examinant la croupe d�nud�e de Myl�ne qui dansait devant elle, une main fourr�e dans l'entrejambes.
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D�s arriv� sur le palier, l'un des quatre se mit en faction, tandis qu'ils p�n�traient dans une chambre vide, Aurore agenouill�e prit entre les l�vres la grosse queue brune que lui tendait un cinquantenaire bedonnant, elle la m�chouilla longuement, tandis que Mil�ne jet�e sur le lit, gisant sur le dos, dans le d�sordre de ses jupes relev�es offrait son corps gracile aux assauts d'un grand blond tout aussi membr�, � quatre pattes � ses c�t�s, Clothilde �cartait de tous ses doigts son oeillet, le d�fripant, en �cartant les fronces pour mieux d�voiler son int�rieur blanch�tre, d'un seul �lan, brisant d'un seul coup tous les obstacles, son client l'embrocha jusqu'� la garde, lui repoussant les boyaux, les d�plient en force pour faire son logement.
D�j� celui qui chevauchait Mil�ne se vidait au fond de sa matrice, lui enjoignant de se placer � quatre pattes au c�t� de Clothilde et d'ouvrir tout grand son cul, il rempla�a le factionnaire de guet.
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Entrant dans la pi�ce, ce dernier d�couvrit Aurore, la bouche pleine du sexe de son client, l�vres bien arrondies autour du cylindre, coulissant lentement sur la hampe rigide, Clothilde, encul�e jusqu'aux couilles qui, d'avant en arri�re, s'empalait au maximum sur le gros chibre qui la comblait et Mil�ne s'�cartelant la blessure, cambrant les reins, offrant en toute obsc�nit� l'acc�s de son con ou de son cul selon son envie, il fourragea dans sa braguette, en sortit une �norme bite brune qu'il d�trempa d'abord dans le vagin de la belle blonde, puis lui planta roidement dans le fondement, Mil�ne qui voyait depuis quelques temps se concr�tiser ses fantasmes les plus pervers, se mit imm�diatement en branle, roulant des hanches, par de savants retraits et douloureuses intromissions chercha son plaisir, enfin dans un hoquet de plaisir il l�cha un torrent de foutre au c�ur de ses intestins, tandis qu'Aurore la bouche pleine de sperme visqueux regardait Clotilde en prendre � son tour plein le cul.
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Les deux fra�ches encul�e, changeant de partenaire durent nettoyer les queues, macul�es de taches brun�tres, � la saveur douce�tre, des deux enculeurs, puis toutes trois, �chevel�es, elles durent descendre le grand escalier, Clothilde et Mil�ne, l'anus douloureux sentaient le foutre de leurs enculeurs d�border de leurs trous fumants, pour poisser les plis de leurs fessiers, alors qu'Aurore la bouche p�teuse, le go�t de son client en bouche, sentait son suiveur s'arroger une derni�re g�terie, lui fourrant deux doigts r�unis dans l'anus.
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Coulybaca
Janvier 2008
dominique.dubuissez@orange.fr
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L'ombre du pass�
Coulybaca
Texte personnel
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Chapitre 9�: La vie s’organise.
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Bient�t, la t�che de chacune se diversifia, ainsi Arlette Dumas, qui en plein apr�s-midi se promenait dans la ville haute, se livrant � une partie de l�che vitrines, se vit aborder par un arabe � la mine patibulaire, la cinquantaine, qui l'invita � prendre place dans sa M�rc�d�s rang�es quelques m�tres plus loin .
Il s'assit au milieu du si�ge arri�re et la pria de le rejoindre, profitant du moment ou Arlette enjambait le marche pied, pour glisser avec d�cision sa grosse main entre les cuisses disjointes, empaumant � pleine main le sexe d�nud�, le malaxant cruellement avant qu'elle ne s'assoit, jupes relev�es, serrant frileusement les fesses au contact du cuir du si�ge.
Il introduisit fi�vreusement ses doigts boudin�s dans son intimit�, d�fripant les grandes l�vres, les suivant, avant d'enfoncer son index jusqu'� la derni�re phalange dans son con vibrant.
Arrachant sa fermeture �clair, il fit jaillir un gros membre noueux, surmont� d'une grosse prune bistre, qu'il d�calotta lui m�me, avant de la saisir par les cheveux, la contraignant � se pencher sur ses genoux, lui forcent la barri�re des dents d'une queue imp�rieuse, s'enfon�ant jusqu'au fond du gosier pour lui projeter des salves de jus acres au fond de la gorge.
Elle resta longuement inclin�e sur son chibre, le toilettant de sa langue habile, avant de la ranger dans son slip.
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Elle si sage, il y a encore huit jours, se retrouvait dans une voiture, la queue d'un parfait inconnu projettant en saccades sa pur�e au fin fond de sa bouche, avant que docilement elle ne la nettoie soigneusement, retroussant les replis du pr�puce, aspirant les derni�res gouttes du pr�puce, sans un mouvement de r�volte, sans m�me s'enqu�rir de la suite de l'aventure.
Bient�t la voiture stoppa devant un h�tel louche de la p�riph�rie, la main aux fesses il la poussa � l'int�rieur, lui d�grafant sa jupe, avant de la propulser ventre nu entre les rang�es de consommateurs qui d�taillaient ses charmes �tal�s.
La jupe � la main, elle p�n�tra dans un vaste bureau qui semblait �tre la tani�re du fauve qui l'entra�nait, quelques sbires, aux mines sombres, � l’�il allum� les suivirent dans leur ascension, et c'est � cinq qu'ils se retrouv�rent dans la pi�ce.
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La le gros arabe fit les pr�sentations :
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A ces mots, sur un signe de la main, Miloud la saisit par un bras et l'entra�na dans une des chambres attenantes.
Marc, l’�il luisant de convoitise, le front bas, l'air born�, Denis, un gros blond fadasse, Sma�l un grand arabe, d�gingand�, la figure barr�e de cicatrices, Rachid gros , onctueux, les l�vres �paisses, l'air vicieux, ob�issaient visiblement aux ordre de Miloud, un nain contrefait qui se r�jouissait d�j� � l'id�e de s'envoyer cette belle pute, ils bavaient tous d'envie, assis sur le vaste lit, attendant que Miloud donne le signal des r�jouissances.
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Il posa un disque sur une platine, un air lent, langoureux, un des slows � la mode retentit dans la pi�ce, lui claquant les fesses, attardant sa main sur ses formes rebondies, il ordonna :
Elle commen�a � onduler, essayant de suivre le rythme de la chanson, virevoltant sur elle m�me, elle d�boutonna son corsage, et le geste ample le lan�a � un de ses spectateurs qui riaient de la voir �voluer au bord des larmes, le contraste entre sa mine d�confite, d�sol�e et ses gestes sensuels �taient tel que bien vite les bites grossirent, formant de grosses bosses sous les braguettes.
Elle se d�barrassa successivement de sa jupe, de ses bas, de son porte jarretelles, et enfin int�gralement nue continua de danser seule, au rythme des claquements de mains des cinq salauds.
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Pr�cipitamment, ils arrach�rent leurs frusques, Miloud les freina cependant, enjoignant � Arlette de prendre des poses obsc�nes, propres � d�cha�ner leurs instincts.
Allong�e sur le lit, elle dut relever les jambes, �cartant les cuisses en grand, promener ses longs doigts vernis de rouge le long de ses babines, ouvrir de tous ses doigts son vagin, en r�v�lant la texture interne, puis � quatre pattes, reins cambr�s, elle exposa de m�me le cul.
Enfin Sma�l s'�tendit sur la couche, elle l'enfourcha et les jambes pli�es le long de son torse s'encloua sur sa virilit� dard�e, le chibre cons�quent la remplit toute, la prenant aux hanches, il l'attira sur son ventre et � deux mains lui ouvrit les fesses, r�v�lant son crat�re contract� de frousse � ses complices.
Marc cracha sur ses doigts puis lui graissa l'anus avant de pr�senter sa pine mafflue devant l’�illet annel�, elle n'avait pas bien vu son sexe, mais la qualit� de la pression, les difficult�s auxquelles il se heurtait lui prouv�rent rapidement son ampleur.
Elle aurait fr�mi, su elle avait pu appr�cier de l’�il la taille du gourdin qui la mena�ait, il paraissait inimaginable qu'une si �norme mentule puisse entrer dans son petit trou serr� par l'appr�hension, le contraste �tait tel, que les trois spectateurs approch�rent pour mieux voir l'impossible s'accomplir.
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B�lante de douleur, elle sentit d'abord le gland s'insinuer, dilatant son anneau � craquer , son sphincter le baguait si �troitement, qu'il dut faire une pause pour �viter de se d�verser imm�diatement dans le boyau fr�missant.
Elle profita de ces quelques instants pour reprendre souffle, s'habituer � l'�norme pr�sence, son oeillet prit les mesures de son agresseur, se conforma � ses dimensions, s'apaisa attendant peureusement la prochaine �tape, la bite dans son ventre s'�tait immobilis�e, elle grossissait encore � la vue de l'ignoble enculage.
D'un coup de reins il se propulsa au fond de sa gaine, elle hurla tandis que son boyau se d�pliait, faisant place au chibre triomphant qui la remplissait jusqu'� l'estomac.
Perfor�e jusqu'au c�ur, les deux membres se mirent en action, sortant ensemble de ses orifices pour y retourner de toutes leur longueur, se frottant l'un contre l'autre au travers du p�rin�e.
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Elle sanglotait convulsivement, � chaque coup de boutoir elle se sentait �ventr�e, � chaque retrait, il lui semblait que ses boyaux sortaient de son ventre accompagnant les immondes visiteurs
Lass� de ses pleurs, Miloud la b�illonna de son braquemart imposant.
Si la taille du bonhomme �tait r�duite, en compensation celle de son chibre �tait �norme, il d�passait en longueur et en grosseur tout ce qu'elle pouvait imaginer, d'embl�e, s'enfon�ant au fond de son palais, il for�a aux commissures des l�vres, les d�chirant pour mieux entrer dans un �lan inarr�table.
La bouche, le con et le cul plein des trois types, inerte, h�b�t�e, elle se laissait faire comme une poup�e de son, masturbant � pleine mains les deux chibres libres quand ses tourmenteurs le lui demand�rent, s'appliquant � bien faire de fa�on tout � fait m�canique, alors que de ses organes malmen�s, des ondes de souffrance montaient jusqu'� son cerveau, comme engourdi, anesth�si� par la douleur.
Enfin elles les sentit se raidir, et elle ressentit un r�el soulagement au torrent de sperme qui lui englua les fesses, � son tour Sma�l se vida dans sa matrice, puis les yeux exorbit�s, elle absorba en hoquetant, en suffocant le flot de semence que Miloud lui injecta en longues gicl�es dans l’�sophage, lui engluant les amygdales alors m�me que les deux qu'elle branlait jaillissaient � leurs tours sur sa poitrine plantureuse, couvrant ses seins de filaments blanch�tres.
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Ils chang�rent alors de place, un des deux branl�s en bouche, l'autre en ventre, elle dilata d�sesp�r�ment son anneau, poussant comme pour d�f�quer pour mieux admettre l'�norme gourdin de Miloud dans son anus, des �clairs �clatant derri�re les paupi�res, elle for�a encore logeant l'�paisse byroute dans son fondement, un � un les obstacles c�daient devant l'impitoyable b�lier, cela craquait dans son cul, elle craignait d'�tre mutil�e, et pourtant elle for�ait encore pour faire cesser le calvaire de cet interminable empalement.
Enfin elle le sentit bien cal� au fond de son rectum, les poils de ses bourses lui chatouillant les fesses, elle respira � fond, appr�hendant la terrible douleur qu'allait endurer lorsqu'il se mettrait en branle.
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Ce fut encore pire que tout ce qu'elle craignait, elle s'�vanouit plusieurs fois, folle de souffrance, ne revenant � elle que pour repartir dans les limbes.
C'est dans un corps inerte qu'il se soulagea avec abondance.
De retour � la conscience, elle enqu�ta du doigt dans son anus, pour appr�cier l'�tendue des d�g�ts, � son grand �tonnement son anneau s'�tait fait � l'�norme envahisseur et seuls quelques gouttes de sang avaient suint� de ses reins, la ou elle craignait une abondante h�morragie.
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Elle subit passivement ses deux derniers enculeurs, ne ressentant ni plaisir ni douleur de les sentir au fond, tant elle �tait �largie, ils ne prirent d'ailleurs pas grand plaisir, se perdant dans l'anus distendu, baignant dans le jus de leurs pr�d�cesseurs, ils pr�f�r�rent la tenir aux oreilles, pour se servant de sa bouche comme d'un vagin artificiel la secouer de grands coups de pine avant de s'exon�rer dans sa gorge tendue.
Toujours nue, d�goulinante de foutre, le palais impr�gn� de liqueur spermatique, elle rejoignit Miloud qui s'entretenait avec ses protecteurs au t�l�phone, il lui passa l'�couteur, elle put ainsi suivre les tractations :
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Les larmes aux yeux, l'anus br�lant, le ventre meurtri, h�b�t�e, Arlette comprenait que prochainement elle aurait de nouveau affaire � ces salauds qui se d�fouleraient sur elles pour se venger de son mari.
Titubante, sous l’�il goguenard des deux hommes elle se rhabilla avec des gestes frileux, puis s'agenouillant, elle su�a une derni�re fois leurs gros braquemarts, avant de monter dans le taxi qu'ils lui avaient appel�, pour rentrer chez elle.
A peine rentr�e, elle prit un long bain, relaxant son corps et son esprit, puis allong�e sur le lit se massa longuement le cul et le con avec une pommade calmante, avant de se remaquiller, pour dissimuler les cernes mauves qui cernaient ses yeux.
Puis, rompue, lasse elle attendit le retour du mari se comportant alors en parfaite �pouse, digne de la confiance de son cocu .
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L'affaire se traita le surlendemain, Karim, le distingu� truand qui avait �trenn� Arlette prit contact avec Ali, il voulait organiser une soir�e qui lui permettrait de se venger en bloc de la soci�t� Moulinoise, pour cela il avait pr�vu une soir�e sp�ciale, il l'organiserait pour son plaisir, la totalit� des gains reviendrait � Ali.
Ils convinrent d'une date : le vendredi soir paraissait le mieux indiqu�, Karim voulait disposer de quatre femmes au sexe ras�, qui feraient le spectacle et deux salopes, proches du maire pour distraire le service d'ordre qui serait form� d'employ�s municipaux.
D�s le lendemain, au briefing quotidien, Ali distribua les t�ches.
Mohamed �tait charg� de transformer les sexes velus d'Arlette, Sylvette, Mil�ne et Jeannine en figues imberbes.
Toutes quatre participeraient au spectacle, alors qu'Aurore et Isabelle serait charg�es de distraire le service d'ordre.
Passablement inqui�tes, les quatre femmes, devant les yeux ravis de Mohamed et Moktar se ras�rent mutuellement la fente, avec pr�caution, douceur, se demandant ce que l'avenir leur r�servait.
Connaissant la pr�f�rence des arabes pour les chattes �pil�es, elles se doutaient qu'elles seraient livr�es � une meute de moricauds d�cha�n�s, mais en ce qui concerne le spectacle qu'elles devraient assurer au pr�alable, elles se perdaient en conjonctures.
Aurore et Isabelle savaient elles ce que seraient leurs t�ches, elles s'en r�jouissaient � l'avance, pr�f�rant combler les d�sirs de quelques membres du service d'ordre, bien qu'elles ignorassent � ce moment la constitution de ce groupe, aux incertitudes auxquelles �taient livr�es leurs compagnes.
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Les trois jours qui pr�c�d�rent, elles furent toutes six retir�es du circuit, et subirent un entra�nement intensif sous les ordres de Mohamed et Moktar.
Pendant les trois apr�s-midis elles se firent ramoner par tous les trous, les cinq hommes se relayaient dans leurs orifices, leur �largissant le goulot, assouplissant leurs sphincters, les faisant �voluer jambes serr�es sur de menus cylindres qu'elles devaient retenir dans leurs ventres et leurs culs, musclant leurs muscles intimes, en renfor�ant l'�lasticit�, les rendant capables d'absorber les plus grosses queues tout en continuant � pouvoir comprimer les plus humbles.
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Enfin le grand soir arriva, un transit chargea les quatre artistes les emmenant sur les lieux de leur prestation ; Ali en compagnie de Clothilde am�nerait plus tard Aurore et Isabelle, alors que Mohamed, qui avait fait de Solange sa pr�f�r�e se ferait charrier par cette derni�re .
Une fois en pr�sence de Karim, apr�s avoir d�j� soulag� des l�vres Miloud et consort, les quatre artistes partirent se mettre en tenue .
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Coulybaca
Texte personnel
Dominique.dubuissez@orange.fr
L'ombre du pass�
Coulybaca
Texte personnel
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Chapitre 10�: suite et fin de l’�pop�e.
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Ali arriva une demi heure plus tard, alors que d�j� la vieille salle d�saffect�e de l'ancienne briqueterie �tait bond�e�: cent vingt �trangers, arabes, espagnols, portugais � racol� dans les cinq foyers de banlieue, ainsi que d'autres venant des milieux interlopes avaient pay�s, chacun cinq cent francs, pour assister aux spectacles.
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Avant le d�but de la soir�e, Ali avait d�j� en caisse 9. 000 euros.
Karim exposa alors le programme, les quatre femmes lutteraient dans une ar�ne au milieu de la salle, les deux gagnantes seraient tir�es ensuite � la loterie, alors que les deux perdantes seraient livr�es � la salacit� d'animaux, tous les coups seraient permis.
A ces mots, les quatre concurrentes fr�mirent, c'�tait pire que tout ce qu'elles avaient envisag�, aucune ne s'�tant jamais fait saillir par une b�te en rut, elles d�cid�rent de se d�foncer, pr�f�rant apaiser la lubricit� du gagnant, que de livrer leur ventre � la trique noueuse d'une bestiole quelle qu'elle soit.
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Pendant ce temps, Aurore et Isabelle faisaient connaissance avec le service d'ordre, horrifi�es, elles reconnurent des employ�s de mairie, qu'elles c�toyaient parfois, ces derniers, reconnaissant leurs proies se r�jouirent, ils allaient enfin pouvoir profiter de ces belles femelles qui, en temps normal leur �taient interdites.
Le tirage au sort d�signa les adversaires, Mil�ne devrait affronter Sylvette, alors qu'Arlette et Jeannine leur succ�deraient.
La blonde Mil�ne et la brune Sylvette se firent face au centre d'une ar�ne, d�limit�e par des cordes, moul�es dans des maillots rouges et bleus, les cheveux longs de Mil�ne rassembl�s en un chignon sur la nuque.
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D'embl�e elles �chang�rent quelques horions, la petite brune, cherchant � �viter le contact direct, alors que Mil�ne cherchait par tous les moyens � l'agripper, une bretelle du maillot de Sylvette craqua, elle se retrouva la belle petite poitrine pommel�e rougie par les coups � l'air.
D'un revers de bras elle saisit Mil�ne � l'entrejambe, assurant sa prise sur le sexe imberbe de la blonde qui hurlait de douleur, en se d�gageant, Mil�ne d�chira son maillot, exhibant aux yeux des spectateurs ravis sa fente glabre, enfin elle agrippa la brune par les cheveux, la fit chuter et se jeta sur elle, t�te b�che, l'immobilisant.
Karim allait la d�clarer vainqueur, lorsqu'un hurlement de souffrance jaillit de sa gorge.
Profitant de sa position, Sylvette mordait � pleine dents le sexe gorg� de sang, d�j� des gouttes sanglantes coulaient le long de ses babines.
Les yeux r�vuls�s, folle de douleur, Mil�ne s'�vanouit, son corps mollit. Comprenant sa victoire, Sylvette se releva, les yeux brillants, les sens �chauff�s par la lutte, sans m�me r�parer les d�g�ts de sa tenue, elle s'assit aux cot�s de Karim alors qu'on tra�nait Mil�ne en coulisse pour la r�conforter, et la pr�parer pour la suite.
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C'�tait maintenant au tour d'Arlette et de Jeannine de s'affronter.
La brune Jeannine prit les devants, ass�nant � son adversaire une gifle retentissante.
Ebranl�e, cette derni�re roula au sol, roul�e en boule, elle sursautait durement � chaque coup de pied re�u, enfin, dans un ultime geste de d�sespoir, elle agrippa la jambe de la brune, remonta jusqu'� l'entrejambe, et d�chirant son maillot la saisit par les babines sensibles.
Jeannine cria sa douleur � pleine gorge, la main ennemie lui arrachait la moule, la contraignant � venir au sol, la main toujours riv�e au sexe de la brune, Arlette voulut retourner son adversaire sur le ventre, mal lui en prit, car dans le mouvement, elle desserra les doigts et l�cha sa proie. Vive comme une anguille, la brune se redressa vivement, s'assit � califourchon sur le dos de son ennemie, la clouant au sol, et sous les bravos de la foule, elle d�nuda � son tour la croupe de la blonde, d�chirant l'entrejambe du maillot.
La croupe blanche, marbr�e de taches rouges fut �cart�e avec violence, voulant rendre � Arlette tout le mal qu'elle avait endur�, sans piti�, Jeannine for�a du pouce l'anneau fronc� du cul, tandis que son index se fichait dans le ventre, avec cruaut� elle pin�a le p�rin�e entre ses doigts, de toute ses forces.
Hagarde, des larmes ruisselant sur son visage, Arlette demanda merci, s'avouant vaincue par la douleur intol�rable que Jeannine lui imposait.
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Ainsi les deux brunes ayant remport� leurs combats seraient mises en loterie, alors que les deux blondes, livides assureraient le spectacle.
Sylvette et Jeannine, int�gralement nues, une corbeille sur le ventre fendirent la foule proposant deux s�ries de tickets diff�rents�: chaque ticket valait 30 euros, quatre cents tickets furent vendus, Ali souriait de plus en plus, ravi de l'aubaine : 12.000 euros de plus dans l'escarcelle.
Lasses de se promener entre les rang�es de mains, qui au passage appr�ciaient leurs charmes, caressant une fesse, introduisant un doigt dans l'anus, dans la fente, pin�ant un t�ton, les deux femelles revinrent vers l'organisateur.
Au su et au vu de tous, il fourra tous les talons de billets dans une vaste urne, Arlette et Mil�ne se charg�rent du tirage, Jeannine �chut � un gros noir, tout fris�, qui hilare s'empara de sa proie, fourrant ses mains partout, alors qu'un portugais, la trentaine, gagnait le cul de Sylvette.
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Pendant ce temps, Isabelle et Aurore faisaient plus amples connaissances avec les subordonn�s de leurs maris, ils �taient huit, quatre de service, quatre de repos.
Un quinquag�naire bedonnant, besognait d�j� Aurore en cul, alors qu'un gringalet � la bite malodorante se faisait sucer.
Isabelle, empal�e sur la grosse queue d'un noir, se faisait enculer par un petit arabe cruel, qu'elle avait d'ailleurs rembarr� en cours de semaine. Non content de lui investir la croupe, la queue comprim�e dans son fondement il lui malmenait les fesses, les pin�ant, les griffant, les �cartant durement pour mieux voir son gros gourdin violac� perforer l'anus serr� baguant sa hampe d'un bourrelet mauve.
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Leurs premiers plaisirs pris, ils chang�rent de partenaires, et purent jouir plus calmement des deux belles avilies.
Pendant ce temps, Jeannine et Sylvette les gros chibres de leurs vainqueurs au fond de la gorge ne pouvaient suivre les pr�paratifs, qu'effondr�es, folles d'anxi�t�, les deux blondes surveillaient.
Deux carcans furent amen�s sur sc�ne, Mil�ne et Arlette durent s'agenouiller, passant la t�te et les bras dans des trous pr�vus � cet effet, puis leurs jambes largement �cart�es furent li�es par les chevilles aux bases des tr�teaux supportant l'ensemble .
De profil par rapport � la grande salle, leurs croupes blanches, gr�l�es de peur se faisaient face.
Le nain qui avait si durement encul� Arlette, la semaine pr�c�dente, fit le tour de la sc�ne, tenant en laisse deux dogues agit�s, n'osant croire ce qu'elles pressentaient, les deux femmes sanglotaient, pleurnichaient, conscientes de l'inanit� de leurs pleurs.
Miloud l�cha les chiens, qui se ru�rent sur les deux victimes �cartel�es, ins�rant leurs truffes chaudes entre les fesses offertes, ils entreprirent de l�cher longuement les blessures naturelles.
Les grands coups de langues couraient dans les fentes, impr�gnant les babines de ces dames de bave, engluant les anus et les vagins entrouverts de par leurs positions.
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D�go�t�es, r�vuls�es de honte, les deux salopes ne pouvaient emp�cher leurs croupes d'onduler, les coups de langues fr�n�tiques des deux chiens qui leur astiquaient la moule finissaient par �chauffer leurs sens. Ec�ur�es de leurs veuleries, elles ne pouvaient plus s'emp�cher de pousser des g�missements de plaisir.
Enfin, sur un signe de leur ma�tre, les deux chiens arr�t�rent, Miloud, aid� de ses comparses, leur livra leur r�compense.
Elles sentirent les chiens escalader leurs croupes, griffant leurs dos, ils se mirent en position, pr�ts � copuler, la croupe secou�e de brefs soubresauts.
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Guid�s par les mains secourables de leurs aides, les deux chiens battant de la queue contre les fesses f�minines, s'immobilis�rent, apr�s avoir frott�s longuement les membres durs dans les fentes d�tremp�es.
Les aides remont�rent un peu les chiens, point�rent leurs membres fins et longs sur les oeillets frissonnants et d'une claque sur les reins invit�rent les chiens � poursuivre.
D'un seul �lan les deux bites raides s'engouffr�rent dans les rosettes crisp�es ; les deux chiens accroch�s des griffes aux flancs de leurs partenaires entam�rent leur ignoble co�t.
Il dura longtemps, les bites animalesques, s'enfon�aient et sortaient avec violence des rectums asservis sur un rythme �lev�.
Enfin mordant les deux femmes aux gras des hanches ils se vid�rent dans leurs flancs fr�missant.
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Encore secou�s de tressaillement, ils rest�rent longtemps coll� aux culs de leurs victimes, attendant la d�tumescence qui leur permettraient de s'extraire des rectums contract�s.
Les deux femmes purent reprendre leurs souffles, secou�es de sanglots, elles prenaient pleine conscience de la torture qu'elles venaient de subir, mortifi�es d'avoir pris un malsain plaisir dans cet avilissement bestial. Enfin les chiens purent se lib�rer, Miloud et ses comparses, les forc�rent � pencher la t�te au sol, relevant ainsi tout leur ventre, tendant maintenant leur sexes glabres, aux l�vres grandes ouvertes vers le public.
Le gros noir explosait pendant ce temps dans le rectum de Jeannine, alors que Sylvette emmanch�e par ses trois orifices, sentait la bite de son gagnant se vider dans son cul, avant qu’il la pr�te aux copains, r�cup�rant ainsi sa mise.
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Aurore et Isabelle, haletantes, les flancs battants accueillaient dans leurs trous largement graiss�s l'autre �quipe, toute aussi avide de leurs charmes.
Un bruit de sabots raclant sur le sol attira l'attention des spectateurs, et sous les yeux horrifi�s des deux femmes, deux boucs, la queue tra�nant entre les jambes, firent leur entr�e sous les bravos de la foule ravie.
Arlette sentit les sabots de la b�te frotter contre ses flancs, d�j�, Miloud enfon�ait l'�norme gourdin noir�tre dans son ventre, hurlante de d�go�t et de souffrance, elle sentit son ventre se d�chirer lors de l'abominable intromission, le hurlement de Mil�ne � ses cot�s souligna la synchronisation des immondes empalements.
Le ventre ouvert elles sentirent, au bord de la folie, les sinistres chibres les pourfendre, s'enfon�ant avec d�termination dans leurs muqueuses, �largissant leurs gaines, les distendant incroyablement.
Les spectateurs voyaient les monstrueux braquemarts envahissant les chattes d�form�es, le corps secou� de violents soubresauts, la bouche hurlante elles sentirent les bites animalesques s'enfoncer jusqu'au col dans leurs matrices meurtries, les estropiant peut-�tre � vie, du moins le craignaient elles.
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Le co�t beaucoup moins spectaculaire des deux b�tes cornues dura longtemps, ils s'�ternisaient dans les ventres chauds, agitant leurs reins de lents et amples mouvements.
A chaque pouss�e elles se sentaient un peu plus d�fonc�es par les immondes chibres qui les bourraient, en pleurs, elles connurent enfin l'ultime outrage, auxquels elles aspiraient cependant.
A gros bouillons les deux boucs d�charg�rent leurs flots, l'ignoble semence envahit leurs grottes, les remplissant, les gorgeant de mani�re inimaginable.
Comme les deux chiens, ils rest�rent accol�s � leurs croupes, leurs chibres se ratatinant lentement dans les flancs fr�missants.
Enfin, ils retir�rent, leurs bourreaux d�li�rent les liens des deux femmes, et folles de d�go�t, �puis�es, elles roul�rent au sol, ou elles rest�rent, inertes, le corps secou� de tressaillements nerveux alors que les chiens revenaient pour se gorger une derni�re fois du sperme d�bordant de leurs cramouilles b�antes.
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Les spectateurs quitt�rent la salle enchant�s du spectacle, Mil�ne et Arlette purent aller s'�tendre deux bonnes heures dans une petite salle annexe, alors que les deux gagnants se voyaient autoris�s � emmener leurs lots dont ils pourraient user et abuser jusqu'au lendemain matin.
Aurore et Isabelle virent alors les deux �quipes r�unies converger vers elle, leur v�ritable soir�e commen�ait.
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Epilogue
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Voyageur qui traverse Moulins, si ton h�te arbore une chevali�re orn�e d'une tete de loup, demande lui de t'emmener � son club .
L�, tu pourras en toute s�curit�, profiter des plus somptueuses putains de la r�gion.
En semaine, comme le week-end, les plus belles h�tesses t'accorderont leurs faveurs, tes d�sirs leur seront des ordres, elles t'ouvriront leurs cuisses, leurs fesses ou leurs l�vres selon ta volont�.
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Au hasard des rencontres, contre un abonnement forfaitaire tu pourras toi aussi t'envoyer ces belles dames de la haute, que tu les rencontres dans des bouges ou des les manifestations les plus selects.
Bien que toutes travaillent chacune leur tour au club, elles sont devenues les �g�ries de groupes particuliers :
- Arlette Dumas, Mil�ne servent fr�quentent dans les bars louches, tous les truands, les demi-sels de la r�gion se les envoie par vengeance, dame que c'est doux de se faire l'�pouse du commissaire qui vous a arr�t� ou la femme du procureur qui a plaid� contre vous.
- Aurore, et Isabelle se mirent � tra�ner souvent dans les sous sols de la mairie, ou les employ�s communaux prirent l'habitude de se les fader, se vengeant, eux, des rebuffades endur�es de la part de leurs maris le jour.
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- Clothilde et Solange, auxquelles se joignirent bient�t Isabelle et d'autres se sp�cialis�rent dans les soir�es ou les n�gociateurs de la mairie purent se gorger de leurs charmes .....
Chacune leur tour elles durent se plier, pour le plaisir d'africains pervers, sous les coups de boutoir de chiens, de boucs, et m�mes d'�nes qui les ramonaient jusqu'� l'�me.
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Ali manage en toute impunit� son cheptel, assur� qu'au premier p�pin, ces dames n'auront d'autres d�sirs que d'�touffer l'histoire.
Mieux m�me, lorsqu'une d'entre elle faiblit, mena�ant de tout r�v�ler, ses amies se liguent contre elle pour la ramener dans le droit chemin.
Si � dix-huit ans, elles se faisaient trousser par la jeunesse dor�e du lieu qui profitait de tous leurs orifices, elles ont maintenant �largi leur client�le, tous du truand au riche pervers, en passant par les arabes, les noirs, les jaunes peuvent profiter de leurs largesses, et comme le proclame leurs statuts, ne se doivent-elles pas � l'�ducation et au confort des masses populaires .
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FIN
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Coulybaca
Texte personnel
Dominique.dubuissez@orange.fr
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