Omar - Viols lors de la croisi�re
inaugurale
Cruise Ship
Captives
Couylybaca / Black Demon
Le paquebot de
luxe 'Islands of Pleasure"
allait partir pour sa premi�re croisi�re, un long p�riple de Charleston aux
Bahamas.
Cette sortie
initiale servait � tester le navire au plan commercial.
Naturellement
comme il s'agissait d'une premi�re sortie au d�part de Charleston les passagers
�taient pour la plupart des autochtones.
Les dates des
croisi�res futures d�pendraient du succ�s de ce voyage inaugural, d'autres
villes �taient envisag�es comme ports de d�part. Le navire avait embarqu�
environ 2.000 invit�s et� 800 membres
d'�quipage.
Beaucoup
d'invit�s voyageaient en couples, jeunes et vieux en vacances et m�me des
jeunes mari�s en lune de miel.
Tous ces invit�s
recherchaient les plaisirs de la vie, ils �taient approvisionn�s pour la
prochaine semaine.
L'�quipage savait
qu'il allait avoir une rude semaine pour satisfaire les demandes �manant des
touristes � bord.
Un membre de
l'�quipage regardait anxieusement les passagers qui embarquaient, ils
s'impatientaient de voir toutes les somptueuses beaut�s qui faisaient la
croisi�re, et plus particuli�rement les femmes blanches ravissantes.
Cela faisait 15
ans qu'il travaillait sur des bateaux, Omar Shoron
avait obtenu la position qu'il d�sirait, il �tait charg� de manager l'�quipage.
Dans cette
nouvelle fonction, il d�tenait toutes les informations qui lui �taient indispensables
pour atteindre ses buts, c'est � dire satisfaire ses luxurieux app�tits de
viande blanche. Il aimait sentir vibrer de peur les femmes blanches qu'il
violait.
�Depuis des ann�es, il violait des passag�res
blanches alors m�me qu'il n'�tait que simple membre d'�quipage. La plupart des
femmes �taient bien trop honteuses pour r�v�ler � leurs compagnons qu'elles
venaient de se faire violer, elles ne pouvaient pas l'identifier, il n'apparaissait
que bri�vement dans l'obscurit� des cabines o� il les entra�nait prestement.
Il n'y avait
qu'un viol qui avait fait l'objet d'une plainte, mais les lois de la mer pr�valaient,
et il n'y avait pas eu d'enqu�te, plus particuli�rement parce que la beaut�
viol�e avait quitt� le bateau en arrivant au port.
Comme les
passagers embarquaient, Omar cherchait la ravissante jeune femme qui sortirait
de l'ordinaire. Il saluerait alors la jeune femme et son escorte s'enqu�rant de
son num�ro de cabine pour lui indiquer le chemin ou l'y faire conduire par un
membre d'�quipage. Bien sur il notait par ailleurs le N� de cabine de ces
beaut�s qui retenaient son attention.
Pendant que les
passagers s'installaient � bord, il relut son calepin et sourit, il avait pris
des notes sur une vingtaine de femmes.
Il savait qu'il
avait manqu� quelques somptueuses�
cr�atures alors qu'il s'occupait des autres, il voulait pouvoir les
ajouter � la liste de ses victimes potentielles.
Il se l�cha les
l�vres, se demandant avec combien de ces beaut�s il pourrait assouvir ses
app�tits luxurieux.
Comme son travail
de base �tait de surveiller les agissements de l'�quipage, il disposait de
beaucoup de temps pour faire ce qu'il voulait.
Un des aspects de
ces nouvelles fonctions lui permettait de conna�tre les num�ros des cabines
vides, son passe lui donnait acc�s � toutes les cabines du navire.
Les cabines
inoccup�es se trouvaient � l'int�rieur du navire, toutes les cabines ext�rieures
�taient retenues, elles �taient bien plus confortables avec leurs hublots leur
m�nageant un peu de lumi�re naturelle, ainsi qu'une vue sur l'ext�rieur.
Il adorait les
cabines int�rieures, comme il n'y avait pas de hublots, elles �taient totalement
obscures la porte ferm�e. Ce qui voulait dire que ses victimes ne pouvaient
l'identifier � moins de voir son visage lorsqu'il les transportait dans une des
cabines disponible.
Il ne voulait pas
�tre pris, il ne voulait pas que le mari d'une de ses victimes arrive en
hurlant au plus mauvais moment, ce qui entra�nait qu'il ne voulait pas faire
leurs affaires � ses victimes dans leurs cabines m�me si elles avaient une
cabine interne.
Ce premier jour
de mer �tait toujours tr�s fi�vreux, les couples restaient coll�s ensemble,
aucune opportunit� de trouver une jeune beaut� isol�e.
le soir, assis dans sa couchette, Omar avait �limin� la
moiti� de la liste, il avait �tudi� l'emplacement de leurs cabines, ne gardant
que celle qui se trouvaient proches d'une cabine vide, ce qui validait ses
projets.
Mais encore
fallait-il que un coup de pot pour s'une de ces beaut�s soit vuln�rable pendant
un certain temps, il fallait que leur mari, ou leur petit ami soit pris par
ailleurs.
�� Le deuxi�me jour de la croisi�re s'�tait
av�r� extr�mement frustrant pour Omar, � trois reprises il n'avait pu s'emparer
de proies qu'il convoitait.
A chaque fois,
des passagers �taient apparus dans le couloir ouvrant sur leurs cabines, lui
rendant la t�che impossible.
Lors de l'une de
ces opportunit�s, il allait empoigner la jeune femme lorsqu'un autre couple
apparut dans le couloir, il dut admettre que cette fois encore sa proie lui
glissait entre les griffes.
Il avait �t�
tent� de forcer sa porte, le couple importun ayant disparu, mais elle pourrait
l'identifier avant qu'il ne coupe la lumi�re, le risque �tait trop grand.
Le soir suivant,
il observait une des beaut�s port�es sur sa liste se prendre le chemin du
casino. Contr�ler le personnel du casino lui fournissait un pr�texte pour
continuer � �pier l'adorable beaut�.
A l'�vidence
c'�tait une femme mari�e, elle arborait une alliance en diamant � l'annulaire.
C'�tait une
ravissante blonde, la trentaine, de longues jambes blanches ..... La bite
d'Omar palpitait dans son pantalon, � l'id�e de ses perdre entre ces
d�licieuses jambes.
Melissa et Brad
Moore s'�taient offert cette croisi�re pour c�l�brer leur dixi�me anniversaire
de mariage, ils �taient toujours aussi amoureux l'un de l'autre, et cela durait
depuis leurs ann�es coll�ge.
Ils avaient deux
enfants, une fille et un gar�on, respectivement �g�s de 7 et 5 ans. Ils �taient
en vacances chez les parents de Melissa pour la dur�e de la croisi�re.
A 32 ans, Melissa
faisait tourner bien des t�tes masculines sur son passage, elle �tait en pleine
forme. Melissa adorait son boulot de dessinatrice d'int�rieur alors que Brad
travaillait dans une banque d'affaires.
Comme ils avaient
d�n� dans la salle � manger d'honneur,�
les hommes portaient le smoking et les femmes de somptueuses robes du
soir.
Ce soir, pour se
rendre au casino, Melissa portait une robe du soir noire, des bas noirs et ses
hauts talons.
Elle �tait si
�l�gante que le commandant lui m�me lui en fit le compliment. Ses longs cheveux
blonds encadrant ses yeux bleus de b�b� faisaient bander bien des hommes dans
l'assistance.
Mais un
admirateur plus d�cid� la couvait des yeux ce soir, �piant chacun de ses
mouvements, esp�rant bien lui tendre un traquenard cette nuit m�me.
Omar observait le
couple qui se pr�parait � jouer, l'�poux s'�tait dirig� vers la table de Black-jack pendant que sa belle femme pr�f�rait les machines
� sous Il voyait � ses attitudes et ses enjeux que ce n'�tait pas une v�ritable
joueuse, elle baillait tout en tirant le manche des "bandits
manchots".
- "Peut-�tre bien que la chance va tourner ce soir ... Je l'esp�re bien
..." se dit-il alors se voyant d�j� enfourner sa grosse bite noire dans sa
soyeuse chatte blonde.
Rejetant un oeil sur le plan de leur quartier, il nota qu'une des
cabines face � celle du couple Moore �tait libre.
Se pourl�chant
les babines, Omar vit la ravissante jeune femme quitter les machines � sous
pour rejoindre la table de Black-jack, se postant derri�re
son mari.
Apr�s deux mains,
alors que le banquier m�langeait les cartes, ils s'embrass�rent langoureusement
puis il lui fit un petit signe.
- "Ohhhhh .. T'es vraiment stupide mec .....On ne doit jamais laisser
une telle beaut� seule ....... Hey, hey, hey ...... c'est tr�s bien .....Un
crime va �tre commis � cause de ta stupidit� et ta soif du jeu ....."
marmottait-il se ruant dans le vestibule.
Omar savait
qu'elle devait rejoindre l'ascenseur 4 �tages plus bas pour retourner � sa
cabine.
Empruntant le
monte charge de service, il gagna rapidement le 5�me niveau et reprit son
souffle dans l'ombre entre deux cabines.
Il jeta un coup
d'oeil circulaire et�
calmement se dirigea vers la cabine 515, juste face � celle de madame
Moore, il laissa la porte ouverte, il pouvait ainsi s'assurer que nul importun
ne survenait lorsque la ravissante beaut� inconsciente du danger arriverait �
sa cabine.
Le personnel
�tait si aimable, si serviable que les Moore �taient inconscients des dangers
que pouvaient pr�senter une croisi�re.
Comme l'�quipage
�tait compos� en grandes parties d'�trangers et sue les lois de la mer
variaient d'un pays � l'autre, c'�tait un v�ritable sanctuaire pour les pervers
comme Omar.
Ils n'avaient pas
vu le dernier documentaire sur les croisi�res qui d�crivait les dangers des
croisi�res et plus sp�cialement ceux encourus par les jeunes femmes qui
d�ambulaient sans escorte dans les couloirs.
Ereint�e par une
premi�re journ�e de croisi�re si excitante, Melissa attendait l'ascenseur avec
un groupe de passagers sortant du casino. L'ascenseur se vidait en descendant
les �tages, elle �tait seule en arrivant au 5�me.
Elle parcourut le
long couloir qui menait � sa cabine, incapable de saisir sa carte magn�tique en
marchant, elle s'arr�ta face � la porte de sa cabine, et chercha sa cl� dans
son sac.
Soudain une large
main se plaqua sur sa bouche, une autre la ceintura et saisit son sac et on la
tira brutalement dans la cabine dans son dos.
La cabine �tait
plong�e dans l'obscurit� la plus profonde, Melissa fr�mit de peur, la main la
b�illonnant l'emp�chant de pousser un cri alors que l'autre rampait sur son
corps.
Elle entendit
alors une voix � l'accent �tranger lui susurrer � l'oreille :
- "Ca fait longtemps que j'esp�re me faire une ravissante am�ricaine
comme toi .... Ce soir mes r�ves les plus fous vont se r�aliser ..... ".
Puis il la mena�a
pour pr�venir ses cris :
- "Crie jolie petite madame, et ce sera ton dernier cri !....." se
faisant il appuya sur sa gorge illustrant sa menace.
Lentement il
enleva sa main pos�e sur sa bouche, elle sanglota sourdement tandis qu'il
caressait son corps.
Elle sanglotait
de fa�on incontr�lable, des grosses larmes ruisselant sur ses joues La grande
main qui lui serrait la gorge l'emp�chait de bouger.
Pendant ce temps
l'autre main dans son dos la fermeture �clair de sa robe, une grosse langue mouill�e
fouilla son oreille, lui donnant des naus�es
- "T'es si belle madame Moore, je t'ai surveill�e toute la soir�e, ton
mari est stupide de te laisser seule alors qu'il joue au casino. ..."
- "S'il vous plait ...... Laissez moi partir
..... S'il vous plait ........ Non ........ Non ....... Mon mari ...... Il va
me chercher ...... Je vous en prie, j'ai de l'argent dans mon sac ..... Prenez le ....... Ne me faite pas mal ......."
sanglotait Melissa affol�e.
- "Oh s'il vous plait ...... Non Je vous en prieeeeeeeeeee
....... Ne me faite pas �a ........ S'il vous plait, s'il vous pait ....... Je
vous en supplie ...... " se lamentait-elle alors qu'une main empaumait ses
seins les serrant fermement.
- "S'il vous plait, je vous en prie ..... Je vous en prie ne me violez pas
....... S'il vous plait ..." sanglota-t-elle de plus belle.
Pantelante, elle
r�alisa qu'il devait s'agir d'un homme d'�quipage, puisqu'il connaissait son
nom et il semblait �tranger, � en croire son accent,� comme beaucoup des membres d'�quipage.
Elle g�mit
sachant que la majorit� des hommes d'�quipage qu'elle avait vu venaient
d'Afrique. Elle fr�mit � l'horrible d'id�e d'�tre viol�e par un noir.
Elle sentit � ce
moment sa robe chuter � ses pieds, la large main courut sur sa poitrine, lui pin�ant et roulant les t�tons au travers de la fine
�toffe de son soutien-gorge en dentelle.
Elle sentit les
mains de son agresseur d�grafer son soutien-gorge, le repoussant sur ses
�paules. Elle g�mit seins nus livr�s � sa convoitise, il les tritura rudement.
T�tanis�e elle
sentit alors sa main libre saisir la ceinture �lastiqu�e de ses collants et de
sa petite culotte les roulant d'un m�me geste � mi cuisses. Elle frissonna
alors qu'il lui caressait la face interne des cuisses, s'approchant lentement
de son intimit�.
- "Oohhhhhhh ...... Oohhhhhhhhhhh
....... Ohhh, mon Dieu ..... S'il vous plait
......"
Un doigt
cherchait son clito si sensible.
- "Mon Dieu ...... Mon Dieu ...... Je vous en priiiiiiiiiiiiieeee
....... Nonnnnnnnnnn ....." larmoyait-elle alors
que des frissons couraient dans tout son corps stimulait par les caresses
ensorcelantes de son clito.
- "Oahhhhhh ...... Ahhhhh
....... Ohhhhhh !......." g�mit-elle humili�e
alors qu'un doigt long et �pais allait et venait lascivement dans sa f�minit�.
Omar s'�tait prestement
d�v�tu il ne portait plus que son cache sexe.
- "Tends tes mains derri�re toi ... Tu vas avoir la chance d'�tre la
premi�re beaut� am�ricaine � tester cette cons�quente virilit� africaine
....... Allez tend les mains dans ton dos pour voir ce que j'ai rien que pour
toi ...... " gronda-t-il soudain lui serrant brutalement la gorge pour lui
enjoindre de s'ex�cuter.
Tremblant comme
une feuille Melissa ob�it tendant ses mains dans son dos ses doigts entr�rent
en contact avec le fin tissu de son cale�on.
Enerv�e, elle se
for�a � glisser ses doigts sous l'�lastique de la taille, puis elle descendit
la main dans son cache sexe.
Elle haleta
lourdement lorsque ses doigts rencontr�rent une barre de chair d'une taille
monstrueuse, bien plus grosse qu'elle se serait jamais
imagin�e qu'une bite puisse l'�tre.
- "Ohhhhhhhhh ... Mon Dieu ........ Qu'elle
est grossssssssssse ..... Ca va me tuer ...... Peut
�tre qu'il se contentera d'une branlette � la main ....... " priait-elle
serrant ses doigts sur l'�paisse hampe de chair, la branlant le poing ferm�.
Elle se mit � le
branler de plus en plus rudement, de plus en plus rapidement, elle esp�rait
satisfaire ses app�tits de cette fa�on, puis qu'il la laisserait s'enfuir.
Omar sourit
ironiquement en sentant ses mains s'agiter sur sa colonne, il savait
pertinemment ce qu'elle esp�rait.
Sans d�nier le
plaisir de ses mains le branlant vigoureusement, il savait que son contr�le de
soi �tait suffisant pour �viter toute �jaculation pr�coce.
- "On va voir qui jouira le premier ma petite madame !....." se
marrait-il tout en triturant son clito de plus en plus fort, de plus en plus
vite, la fourrant de plus en plus profond�ment de trois doigts joints.
Melissa suppliait
son agresseur :
- "S'il vous plait .... Je vous en prie ..... Laissez
moi partir ...... Je vous en prie .... Je ne le dirai� � personne ..... Ne me violez pas ..... S'il
vous plait ne me violez pas ...... Je vous en prie ne faite� pas �a, je pourrai tomber enceinte
!......"
Mais sous les
continuelles caresses sur son clito, alors que ses doigts entraient et
sortaient divinement de sa chatte, elle ne pouvait s'emp�cher de serrer les
cuisses sur l'ensorcelante main, ses muscles vaginaux �treignant fermement ses
doigts.
- "Ooh, oooohhhhh
...... Nonnnnnnn ...... Nonnnnnnn........"
g�mit elle � haute voix, elle frissonnait terrass�e par un orgasme non d�sir�.
Elle n'avait
jamais atteint l'orgasme de cette fa�on, pas plus avec d'autres hommes qu'avec
son mari.
Alors que son
corps �tait parcouru de frissons de plaisir, il lui l�cha la gorge, sa main
descendit et captura un de ses mamelons, le triturant langoureusement, la
stimulant encore plus.
- "C'est bon petite chienne ....enl�ve tes chaussures et ne r�fl�chis
pas � comment me blesser en le faisant !....."
Sur ce, comme il
connaissait l'exacte disposition de la cabine, l'obscurit� ne le g�na pas pour
l'entra�ner, toute pleurnicheuse, vers le lit.
La retenant d'une
main, il la d�pouilla rudement de ses collants et de sa petite culotte de
l'autre, il disposait d'elle, maintenant, enti�rement nue.
Ses pleurs
redoubl�rent alors qu'elle plaidait :
- "S'il vous plait ... S'il vous plait laissez moi
partir .... Je vous en prie ne me violez pas ..... S'il vous plait ...... J'aime
mon mari ...... Je vous en prie ...... Ne me faite pas de mal ...... Ne me
violez pas ...... Je ne veux pas �tre enceinte !......."
Ses pleurs
redoubl�rent tandis que son agresseur lui caressait tendrement les seins,
roulant ses mamelons dard�s, stimulant ses sens contre son gr�.
C'est alors
qu'une horrible id�e la traversa :
- "Je voulais que Brand me mette enceinte au cours de cette croisi�re
...... Je ne peux pas laisser ce noir m'engrosser ..... Je ne veux pas qu'il me
mette enceinte !....."
- "Ooh, nonnnnn
....... Nonnnnnnnnn !......." geignait-elle
alors qu'il s'appesantissait sur elle, s'installant de force entre ses cuisses.
- "S'il vous plait ... Je vous en prie ...... S'il vous plait laissez moi partir ..... Ne me violez pas ..... Je vous en
supplie .... S'il vous plait ne me faite pas de mal ..... " soupirait-elle
effray�e.
Elle sentait le
gland �pais s'immiscer entre ses babines et savait qu'elle ne pourrait rien
faire pour emp�cher ce vicieux viol, maintenant qu'elle connaissait de tactu la taille �norme de son p�nis, elle craignait qu'il
la d�chire.
La douleur de
l'intrusion initiale �tait si vive, qu'elle s'obligea � �carter les cuisses au
maximum pour minorer la douleur.
- " Nonnnnnnn ..... Ohhhhhhh
..... Ohhhhhh ....... Ohhh,
s'il vous plait ..... Je vous en prie ......Ne faite pas cela ...... Argghhhhhhhhhhhh !...."cria Melissa alors que l'�pais
gourdin s'enfouissait dans son �troite petite chatte.
Puis son
agresseur la poignarda de plus en plus profond�ment, forant impitoyablement son
chemin jusqu'au col de son ut�rus.
- "Oh mon Dieu .....Oh......Oh .......Oh ...... Oh......Oh ..... Oh
.....Oh, nonnnnnnn�
...... Oh, mon Dieu ..... Nonnnnnnnn
!....." hurlait-elle trahie par son corps.
Ses jambes se
levaient d'elles m�mes pour se nouer dans le dos de son assaillant, alors que
son bassin s'arquait pour accueillir plus profond�ment son monstrueux visiteur.
Une heure apr�s
avoir soumis la jeune am�ricaine, Omar se rhabilla. Sortant son appareil photo,
il prit quelques clich�s au flash, la capturant nue, souill�e de sperme.
Il se pencha sur
la jeune femme qui pleurnichait, lui l�cha tendrement les lobes des oreilles,
susurrant :
- "Rien de mieux qu'un bonne bite d'Africain, n'est ce pas mignonne
petite Am�ricaine ...... J'ai ton adresse et ton num�ro de t�l�phone �
Charleston madame Moore �.. Peut-�tre qu'une prochaine croisi�re me ram�nera
dans ce port ..... Je t'appellerai alors de fa�on � ce que tu puisses � nouveau
go�ter � ma grosse queue d'Africain ..."
S�r qu'elle lui
tournait le dos, il ouvrit la porte et disparut aussit�t, laissant la jeune
femme sangloter dans l'obscurit� de la cabine.
Rem�chant son
�preuve, Melissa explora � t�tons la cabine obscure et trouva finalement le
commutateur.
Elle jeta un oeil sur l'horloge du bureau et r�alisa qu'il y avait plus
d'une heure qu'il l'avait enlev�e. Elle r�alisa soudain, que son mari venait certainement
de rejoindre� leur cabine ; il lui avait
dit qu'il jouait encore une petite heure � la table de Black-jack,
puis qu'il rentrerait.
Elle frissonna,
sachant qu'elle �tait incapable de lui avouer qu'elle venait de se faire violer
par un noir dans la cabine face � la leur.
Assise sur le lit
elle r�fl�chissait � ce qu'elle pouvait bien faire, puis elle d�cida de prendre
une bonne douche.
Se regardant dans
le miroir, elle chassa ses larmes, et se fit pr�sentable avant de retourner �
sa cabine.
Elle se brossa
les cheveux et se remaquilla, puis elle chercha sa petite culotte, mais en
vain. Son soutien-gorge �tait d�chir�, sa fermeture �tait cass�e, il �tait
inutilisable, elle le rangea donc dans son sac.
Ses collants
noirs aussi �taient d�chir�s, ils rejoignirent son soutien-gorge dans son sac.
Elle ne pouvait qu'esp�rer que Brad ne remarquerait pas ces changements dans sa
tenue.
Elle remit sa
robe noire, et se chaussa avant d'ouvrir la porte de la cabine � quelque pas de
la sienne.
Prenant un bon
bol d'air, elle se pr�para, se for�a � sourire, Melissa ouvrit la porte de leur
cabine et entra.
Ne voulant pas
ravoir � r�pondre � ses questions, elle mit tout de suite les choses au point,
elle pensait que dans ce cas la meilleure d�fense �tait l'attaque.
- "Oh ch�ri, je suis d�sol�e .... J'aurai du te laisser un mot te disant
que je sortais un petit moment ..... Je suis all�e boire un coca au bar, mais
le pianiste �tait si bon que je me suis assise pour l'�couter et que j'ai perdu
la notion du temps qui passait !....." mentit-elle sans vergogne.
Elle fut tr�s
heureuse de voir que Brad lui souriait et se relevait pour venir l'embrasser,
mais elle fr�mit lorsqu'il la prit dans ses bras, elle se sentait indigne de
son amour. Elle chassa ses larmes, r�alisant que fort probablement son
agresseur l'avait viol�e alors que son mari �tait dans une cabine � quelques
m�tres d'eux.
Le jour suivant
fut encore un jour de totale frustration pour Omar, deux beaut�s insouciantes
lui �chapp�rent de justesse. Sauv�es par d'autres passagers qui �taient apparus
dans le couloir � l'instant o� il allait les agresser.
Cette nuit, il ne
pourrait que r�ver � ces ravissantes jeunes femmes et se rem�morer le plaisir
qu'il avait pris � violer la jeune blonde la veille.
Le lendemain
apr�s-midi, Omar se pourl�cha les l�vres en lorgnant une de ses proies
potentielles se faire bronzer �tendue sur une chaise longue sur le pont
sup�rieur.
C'�tait une� voluptueuse rousse, avec un joli ton de peau,
avec un corps sans d�faut. Il d�visageait tous les hommes pr�sents avec
insistance cherchant � rep�rer son compagnon.
Omar avait les
yeux braqu�s sur la jeune beaut� lorsqu'elle se retourna sur le dos pour se
faire dorer l'autre face. Elle portait un minuscule bikini blanc.
- "Ohhhhhh Je n'ai jamais vu d'aussi jolie
rousse auparavant !.... Ca doit �tre un excellent coup .... Mmmmmmmmm
je sens qu'elle va se d�fendre pour m'emp�cher de lui fourrer ma grosse bite
noire d'Africain dans son ravissant petit corps !.... " r�fl�chissait-il
envieusement.
-
Jetant un oeil sur ses notes, il constata que la jeune beaut� avait
une cabine au 6�me niveau, au milieu du couloir, la cabine �tait enregistr�e au
nom de monsieur et madame John Atkins.
Il remarqua une
pastille verte dans les notifications particuli�res concernant le couple, il
consulta alors son lexique pour d�terminer la signification de cette marque. Il
sourit en lisant que ce point vert signifiait qu'il s'agissait d'un couple de
jeunes mari�s en lune de miel.
La seule cabine
libre dans ce couloir, �tait situ�e entre l'ascenseur et la leur au N� 638. Ce
ne serait pas aussi facile que la nuit derni�re.
Quitterait-elle
un moment donn� son mari pour regagner seule sa cabine� se demandait-il assez anxieux.
Sa bite palpitait
follement dans son cale�on, il avait une envie folle de se faire cette beaut�
rousse.
Sous son poste de
guet, John et Carol Atkins allong�s cote � cote se tenaient� main dans la main. Leur lune de miel se
d�roulait au mieux. La noce s'�tait d�roul�e sans accros, et ils �perdument �pris l'un de l'autre, et ce depuis leur derni�re ann�e
coll�ge.
Ils avaient
quitt� le coll�ge ensemble, avaient obtenus leurs dipl�mes ensemble, ils
avaient tous deux un bon boulot et semblait former un couple mod�le.
Les quatre
premiers jours de croisi�re, ils se seraient crus au paradis gaspillant leur
temps au restaurant d'honneur, mais le plus souvent, ils restaient dans leur
cabine � faire l'amour.
�La chaleur du soleil augmentant, Carol se dit
qu'elle ne pouvait pas s'exposer plus longtemps, elle risquait un coup de
soleil.
Soucieuse de ne
pas �courter les d�lices de son mari, elle lui dit de rester sur le pont �
profiter du soleil, qu'elle allait se changer puis qu'elle irait visiter la
galerie d'art.
Elle savait
pertinemment que John n'aimait pas ce genre de distraction, ils convinrent de
se retrouver � la cabine une paire d'heures plus tard pour se rendre au
restaurant fran�ais.
�
Omar commen�a �
saliver en voyant la jeune beaut� prendre son sac et sa serviette. Il se
dirigea vers le chemin menant aux ponts inf�rieurs dans l'espoir de voir ses
espoirs se concr�tiser. Il l'observa se pencher pour embrasser son mari, puis
posant la serviette sur ses �paules puis elle traversa la haie de choses
longues garnissant le pont.
Si elle se
rendait � sa cabine, il avait tout le temps de lui dresser un traquenard, il
emprunta rapidement le monte charge de l'�quipage.
Il saisit une
pile de serviettes dispos�e � chaque niveau passager,� les �tendit sur son bras et se posta pr�s des
portes des ascenseurs.
Lorsque le signal
indiqua qu'il allait s'arr�ter au 6�me niveau, suivit du bruit sourd de
l'ouverture de la porte, il partit vers la cabine vide.
Il tenait le bras
tendu, serviettes pendantes, faisant comme s'il amenait des serviettes dans une
cabine.
Comme l'ascenseur
descendait au 6�me niveau, Carol ne pouvait r�primer un large sourire en voyant
les deux hommes dans l'ascenseur lorgnaient discr�tement ses charmes alors
qu'ils �taient en compagnie de leurs �pouses.
En quittant
l'ascenseur, elle sentait leurs yeux coll�s � sa croupe
- "D�sol� les gars, mais mon petit cul n'est plus libre !.... "
rigolait-elle int�rieurement en prenant le chemin de sa cabine.
Elle savait que
ses formes captivaient les hommes et ces deux l� ne d�rogeaient pas � la r�gle,
en la voyant parader dans son minuscule bikini.
Gardant une
distance constante entre l'insouciante jeune femme et lui, Omar se tourna de
profil pour ouvrir la porte de la cabine sans fournir d'image claire de
lui-m�me.
Il laissa
d�passer une serviette qui bloquait la fermeture de la porte, la jeune femme
�tait sur le point de le d�passer, une seconde plus tard il lui covrait la bouche de sa large main et l'entra�nait dans la
cabine obscure.
Sentant la jeune
femme serr�e contre lui fr�mir d'angoisse, il relacha
son �treinte la laissant respirer tout en lui susurrant � l'oreille :
- "Appr�cies tu ta lune de miel madame Atkins ?
..... Un �poux attentionn� ne devrait pas laisser sa d�licieuse jeune femme
d�ambuler seule, pas m�me une seconde ......Il devrait se soucier de la
prot�ger � chaque instant ... On ne sait jamais ce qui peut arriver sur un paquebot
aussi grand que celui-ci ....... Quelqu'un pourrait entra�ner sa jeune �pouse
dans une cabine d�serte pour lui faire go�ter une grosse bite africaine
....." accablait-il la jeune femme qui se d�battait.
Carol �tait en
pleine panique, se d�battant de toutes ses forces, cherchant � lui donner des
coups de pieds et � desserrer son �treinte. Elle avait perdu ses sandales dans
la lutte, ses coups de pieds n'avaient aucun effet sur lui.
Elle sentit m�me
qu'il l'entra�nait plus loin, elle tomba sur le lit, le corps de son agresseur
la recouvrant imm�diatement.
La main la
b�illonnant lui interdisait de crier.
- "Oh, non ...... Nonn .....� Mon Dieu ...." se disait-elle alors
qu'elle le sentait lui arracher son cache sexe, puis son soutien-gorge.
Epingl�e sur le
lit, , incapable de r�sister plus longtemps, elle
frissonnait de peur.
Ses larmes
jaillirent et ruissel�rent sur ses joues, elle��
�mettait des cris voil�s, soudain une main entreprit de lui caresser
l'int�rieur des cuisses.
Elle entendit son
assaillant lui enjoindre de ne pas crier si elle voulait revoir son mari. Elle
frissonna alors que la main fureteuse la touchait l� o� jusqu'ici seul son mari
l'avait touch�e.
Il la mena�a �
nouveau et soudain enleva sa main qui la b�illonnait, elle �tait si effray�e
qu'elle �clata en sanglots.
Omar caressait sa
tendre jeune chair � deux mains,� excit�
� la pens�e de� poss�der cette beaut� aux
cheveux� roux flamboyants.
Il aimait sa
fa�on de se tortiller alors qu'il lui pin�ait les t�tons, alors que son autre
main empaumait son pubis, un doigt se posant sur son clito si sensible.
Puis pour
assommer la tendre jeune �pouse, il lui murmura � l'oreille :
- "Bien qu'avec du retard, je vais offrir mon cadeau de noce � la jeune
�pous�e ... Une chose qu'one lui a jamais offert !.... Eh oui ma petite ch�rie,
un vrai homme va te poss�der aujourd'hui ....."
Remontant un peu,
il disposa sa bite devant sa fentine lisse, la
parcourant d'un gland suintant. Il poussa sa bite entre ses babines, il adora
le cri angoiss� qu'elle poussa alors que sa grosse bite s'immis�ait dans son
�troite petite chatte.
Centim�tre par
centim�tre il s'enfon�ait lentement dans le fourreau �troit de la jeune femme
qui sanglotait. Il l'agrippa aux hanches se pr�parant � la d�foncer d'un brutal
coup de boutoir.
- "Oh s'il vous plait ......Non, je vous en prie ..... J'ai mal ... J'ai
trop mal .... S'il vous plait nonnnnnnnn .... Vous
�tes beaucoup trop gros ........!..." le suppliai-t-elle mis�rablement.
Elle ne pouvait
que sangloter alors que son �preuve se poursuivait, la douleur au creux de son
entrecuisse grandissait encore, la paralysant.
- "Oh mon Dieu ... Que vais-je dire � John .... Il ne voudra plus jamais
me toucher s'il vient � savoir que j'ai �t� viol�e par un n�gre ..... Oh mon
Dieu dire qu'il me r�p�tait que mon petit bikini �tait bien trop provocant
!..... Il me bl�mera � coup sur d'avoir allum� cet homme ..." se
tracassait-elle.
L'empoignant
fermement aux hanches, il prit son �lan et s'engouffra en elle brutalement.
- "Oaieeeeeeeeeee ...... Arrrrrggggggh
....... Nonnnnnnnnn ....... Nonnnnnnn
........ Ohhhhhhhhh ...... Nonnnnnnnn
!.... " geignait la pitoyable jeune femme effondr�e.
Ses plaintes
enchantaient Omar comme� le faisait une
douce musique, il n'aimait rien de mieux que d'entendre g�mir les jeunes femme qu'il d�fon�ait comme des truies. Engag� de
moiti� en elle, il se retira et s'enfouit d'un dernier �lan d�finitif que
brutal.
- "Oarrrrghhhhhhh ...... S'il vous plait .....
Oh, Je vous en prie ... Arr�tez .... Arr�tez .....!..." sanglotait-elle de
plus belle.
Omar rit, sa bite
�tait maintenant enti�rement enfouie dans son ventre, il savait qu'elle n'avait
jamais �t� bais�e par une bite aussi longue et �paisse.
Il lui massa le
clito du pouce alors qu'il entamait des vas et viens langoureux dans sa chatoune d�vast�e.
Carol n'avait
jamais �t� prise dans cette position, elle ne parvenait pas � repousser ses
sensations enivrantes.
- �"Ooh
..... Oh ....... Ohhhhhhh ...... Ohhhhhhhhhhhhh
!..." geignait-elle alors que le doigt expert affolait ses sens.
- "Oohhhhhhhh ..... Oh, mon Dieu .... Ohhhhh ....... Nonnnnnnn .... Que
m'arrive-til ? ..... Mon Dieu,� je vais jouyiiiiiiiiir
!...." haletait-elle serrant les cuisses sur la bite fureteuse.
Terrass�e par
l'orgasme elle s'est �croul�e hors de service pour un bon moment.
Paniqu�e elle
revint � elle quelques instants plus tard, toujours �pingl�e sur le lit par la
grosse mentule de son agresseur. Alors qu'il
reprenait ses all�es� et venues en elle,
elle sanglotait constatant que son corps r�agissait m�caniquement s'offrant
lubriquement � ses assauts.
- "Ohhh mon Dieu ..... Mon Dieu .... Oh ... Oh
... oh .... Nonnnnn ....' se lamentait-elle, alors
que la grosse bite palpitait et battait follement dans son ventre, les ce
qu'annon�ait ces pr�misses �taient facile � concevoir:
- "Ohh Mon Dieu .... Non !..... Non ... S'il
vous plait .... Nonnnn .....Ne faite pas �a ..... Ne
jouissez pas en moi ...... Je vous en prie ...... S'il vous plait ... Je suis
en pleine p�riode de f�condit� ..... " le suppliait-elle.
- "Ohhhhhh ... Ma ch�re madame Atkins, tu
devrais �tre honteuse de jouir sous les assaut d'un autre homme alors que t'es
en voyage de noce ...... Je sens que je vais te faire couler � nouveau ch�rie
....... " gronda-t-il la baisant encore et encore.
Lui titillant le
clito alors qu'il la labourait furieusement, il savait qu'il amenait cette
petite salope juste au point qu'il le voulait, il sentait son corps trembler
lorsqu'un orgasme majeur la terrassa � nouveau.
En entendant ses
lourds g�missements,� il sut qu'elle
jouissait � nouveau, lui agrippant les hanches, il bourra son �norme bitte au
fin fond de son ut�rus lui demandant ironiquement :
- "Ton petit couple avait-il programm� de d�marrer sa famille pendant
cette croisi�re ? ..... Alors laisse moi t'aider
......"
Sur ces mots,
Omar s'enfouit au plus profond de son fourreau embras� et projeta des salves de
sperme actif dans son ventre fertile.
Une heure plus
tard, la belle Madame Carol Atkins sanglotait assise sur le lit.
Ayant trouv� le
commutateur, et la salle de bain, elle avait li� ses v�tements d�chir�s sur son
corps, ils dissimuleraient ses charmes le temps de regagner sa cabine.
Ses cuisses lui
faisaient mal d'avoir �t� si brutalement �cart�es, il lui semblait que sa
chatte avait �t� d�chir�e lors de ce viol brutal. Lorsqu'il eut fini de la
baiser de dos, il l'avait retourn�e et �tait reparti pour une seconde
chevauch�e.
- "Mon Dieu, pourquoi ai-je r�pondu � ses assauts ?..."
sanglotait-elle, se rappelant avoir verrouill� ses chevilles dans son dos le
suppliant de la faire jouir � nouveau.
Elle frissonna en
se rappelant les deux flashs lumineux alors qu'elle gisait cuisses grandes
�cart�es sur le lit puis son violeur lui avait dit qu'il l'appellerait
lorsqu'il reviendrait � Charleston.
La croisi�re se
terminait dans une journ�e et ses plans pour se faire une derni�re touriste
avaient tous �chou� pour diff�rentes raisons. Il avait eu plusieurs
opportunit�s, mais � chaque fois d'autres passagers avaient surgis au mauvais
moment, le laissant totalement frustr� dans la cabine vide.
Ainsi plusieurs
innocentes beaut�s ignoraient � quel point elles avaient proches de se faire
violer.
Les chances de se
faire une ultime victime le dernier jour �taient quasiment nulles, le navire
venait de s'amarrer et l'on d�chargeait les bagages. Omar soupira de
d�sappointement, les choses avaient �t� de mal en pis depuis le cinqui�me jour
de croisi�re.
Maintenant les
invit�s avaient quasiment tous quitt�s leurs cabines et fl�ner sur les ponts
attendant le moment du d�part.
Omar braqua les
yeux sur une jeune beaut� aux cheveux bruns, couleur de miel, une jeune beaut�
sur laquelle il avait flash� d�s les premiers jours.
Une jeune beaut�
qu'il avait ray�e de sa liste des proies potentielles �tant donn�
le manque de cabine libre proche de la sienne.
Il l'avait vue
plusieurs fois, toujours aussi �l�gante dans ses v�tements de jour et toujours
si sensuelle dans ses petits bikinis.
Aujourd'hui elle
portait une robe vert �meraude, visiblement elle se pr�parait � quitter le
navire.
Sa bite fr�mit en
observant ses longues jambes, regrettant am�rement de ne pas avoir pu go�ter �
ses charmes.
Mari�s depuis
trois ans, Wendy et Peter Anderson avaient pos�s leurs vacances avec leurs
employeurs lorsqu'ils avaient entendu parler de la�� croisi�re inaugurale programm�e au d�part de
Charleston.
Ag�s de 26 ans
ils poss�daient une jolie maison en banlieue et les choses allaient bien pour
eux.
C'�tait un r�ve
qu'ils caressaient depuis longtemps, ils voulaient aller aux Bahamas mais la
plupart des d�parts se faisaient de Miami et cela demandait un long voyage pour
s'y rendre. Cette croisi�re au d�part de Charleston leur offrait la possibilit�
de concr�tiser leur r�ve.
Ils n'avaient pas
d'enfants et se disaient qu'il �tait temps maintenant de fonder leur famille
puisque tous deux jouissaient d'un travail s�curis� et bien pay�.
La chance tourna
brusquement lorsqu'Omar vit la jeune femme paniqu�e elle venait de d�couvrir
qu'elle avait oubli� un de ses bracelets dans sa cabine.
Le couple �couta
le speaker annoncer la couleur de leur code de d�part, les avisant de proc�der
� l'enregistrement de leurs bagages.
Se tenant �
proximit� du� couple, il entendit la
jeune femme dire � son mari de s'occuper de leurs bagages tandis qu'elle retournait
� leur cabine pour y chercher le bracelet oubli�.
Omar quitta
rapidement le pont et empruntant le monte charge de l'�quipage il se pressa de
rejoindre le lieu vers lequel elle se dirigeait.
Ouvrant la porte,
il vit un homme de service nanti d'un chariot de nettoyage sur le point de
nettoyer les cabines.
L'interpellant il
l'informa qu'il y avait un changement et que ce travail �tait report�.
Le bruit de
l'ascenseur s'arr�tant � ce niveau retentit alors que l'homme de service
disparaissait au coin du couloir.
Se ruant dans le
couloir, il passa le coin, �piant l'insouciante jeune femme qui s'approchait.
Il entendit les
pas s'approcher puis le bruit de la clenche de porte que l'on secoue, Omar
surgit dans son dos au moment ou elle ouvrait la porte de la cabine.
Avant qu'elle
n'ait pu appuyer sur le commutateur, il l'avait pouss�e dans la cabine obscure
et l'avait b�illonn�e de la main. Comme son mari attendait son retour sur le
pont, il devait la baiser vite fait bien fait.
Mais il avait �t�
si frustr� ces deux derniers jours, cela ne prendrait pas longtemps lorsqu'il
aurait ins�r� sa grosse bite entre les l�vres de son petit chaton.
S'entendant
menac�e par une grosse voix rude, Wendy s'�tranglait de peur, alors qu'une
large main rampait sur sa robe.
- "Oh s'il vous plait ;... Je vous en prie .... Ne faite pas �a
..." se lamentait-elle alors qu'il roulait sa petite culotte sur ses
cuisses, le repoussant sous ses genoux d'o� il chut au sol.
Le sentant
t�tonner dans son dos, puis entendant le "zip" d'une fermeture �clair
que l'on descendait, elle se d�battit tout en reprenant ses supplications :
- "Ohhh ... S'il vous plait ..... Arr�tez ...
Arr�tez ... je vous en prie ....� je suis
mari�e ..... S'il vous plait .... Je veux rester fid�le � mon mari ..... S'il
vous plait .... Nonnnnnn ..... Arr�tez ...... Arr�tez
....."
Il la repoussa
contre le mur l'�levant, elle sentit alors un gros bourgeon fr�ler sa chatte,
soudain il la projeta contre le mur, l'�pais gland s'encastrant d'un seul coup
de boutoir dans sa chatte affol�e.
- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee �� Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh �..... Aargggggggggggggg
!......� grogna-t-elle alors que son violeur bourrait sa bite dans son
fourreau.
- "Oh s'il vous plait ...... Je vous en prie ..... Mon Dieu .... J'ai
mal ..... Si mal ...... Si maaaaaaal ..."
criait-elle au bord de l'agonie, elle, pleurnicha de plus belle lorsqu'il
s'enfouit au coeur de son intimit�.
- "Ooh .... Oh ....... Oh ...... Nonnnnnnnnnn ! ....." se lamentait-elle alors que son
impitoyable envahisseur commen�ait d'aller et venir� lascivement dans sa moule.
Puis un doigt
�pais vint frotter rudement son clito, elle en grogna alors que ses muscles
vaginaux se crispaient sur l'imposante hampe, inconsciemment ses glandes
secr�taient un flot de cyprine qui facilitait le coulissement de la grosse bite
en elle.
Ses larges mains
pos�es sur ses hanches, son violeur la martelait, visiblement press� de
conclure son viol.
- "Oh mon Dieu ..... Nonnnnnnn ... Ahhhhhhhhhh ...... Nonnnnnnnn
!...." g�missait-elle alors que son corps �tait saisi de convulsions lubriques.
Sentant
l'adorable jeune femme jouir, Omar s'enfon�a jusqu'� la racine dans sa
cramouille affol�e et projeta ses chaudes salves de foutre au fin fond de son
intimit�.
Se penchant sur
elle il lui murmura � l'oreille :
- "Tu repr�sentes exactement ce que j'ai lu dans les magazines
am�ricains ... Une belle plante du sud ..... Maintenant tu pourras dire � ton
mari que tu as go�t� � une grosse bite africaine ..... Dis lui comment une
grosse bite noire t'as d�vast�e ......"
Sur ces mots, il
abandonna la jeune femme sanglotante dans la cabine
et gagna une planque o� il pourrait l'�pier.
Dix minutes plus
tard, il vit sa derni�re victime se diriger lentement vers le pont sup�rieur,
il la regarda rejoindre son mari pour se rendre au bureau des douanes.
Il �tait un peu
emb�t� de l'avoir viol�e alors qu'ils �taient au port, il se disait que si par
malheur elle portait plainte, il risquait de tomber sous la juridiction locale.
Ce serait bien
plus dangereux que si son crime avait eu lieu dans les eaux internationales
De toute mani�re,il paraissait �vident que
madame Anderson ne voulait pas que son mari sache qu'elle avait �t� viol�e dans
le court laps de temps o� elle s'�tait absent�e.��
Six mois plus
tard, l'"Island of pleasure" �tait �
l'ancre dans le port de Charleston, l'�quipage pr�parait la croisi�re suivante
au d�part de Charleston. C'est le petit matin, l'�quipage avait eu toute la
nuit pour satisfaire leurs envies. Une grande partie du personnel du navire
�tait rassembl�e dans la suite d'un h�tel des bas fonds de Charleston.
Ils �taient tous
v�tus comme s'ils se rendaient � une r�union d'affaires. Et de fait c'en �tait
une, chaque membre d'�quipage avait pay� 500 $ pour obtenir une invitation pour
assister � l'affaire propos�e par leur chef.
Omar souriait en
voyant la sc�ne qui se d�roulait sous ses yeux. Il avait trait� en ami le
patron de cet h�tel lorsqu'il l'avait rencontr� sur le navire. En �change de
ses faveurs, le patron avait lui lou� la suite pour un prix tr�s comp�titif, de
ce fait il �tait invit� � titre gracieux � cette petite f�te qu'Omar comptait
bien renouveler chaque fois qu'ils feraient escale � Charleston.
Jetant un oeil circulaire sur la pi�ce, il regarda ses homme
d'�quipage se r�jouirent ensemble, choisissant les boissons de leur go�t.
Tous les visages
de ces males noirs s'�clairaient de larges sourires lorsqu'ils braquaient leurs
regards sur une des trois h�tesses qui les servaient.
Tous ces
gaillards muscl�s se rassemblaient autour d'elles essayant d'�changer quelques
mots avec la ravissante h�tesse la plus proche, ils pensaient tous� qu'ils seraient tr�s heureux de faire l'amour
avec de si exquises cr�atures.
Omar les avait pr�venu qu'il pourrait �tre rembours� s'ils partaient lors
de la premi�re heure de la petite f�te, il savait que personne ne partirait. Il
sourit, ses 30 invit�s avaient tous acquitt�s leurs droits d'entr�e, ce qui
laissait quand m�me 10.000 $ dans la poche d'Omar une fois les frais d�duits.
Arpentant pi�ce,
Omar sourit en voyant que les belles h�tesses faisaient vraiment tourner la
t�te de ces hommes. Les h�tesses avaient pr�par�es la soir�e un
heure avant le d�but de la f�te, il leur avait dit comment exciter ces hommes
qu'elles allaient rencontrer, et de quel fa�on il avait appris qu'aucun de ces
hommes n'avaient jamais envisag� de se trouver un jour dans les bras d'une
femme blanche, il avait appr�ci� de les voir sourire en apprenant cela.
Il savourait la
vue de ces trois jeunes femmes faisant de leurs mieux pour attirer ces hommes,
chacune tenant sa coupe de champagne de la main gauche. Omar savait qu'elle
faisait cela pour les allumer.
Il les avait
pr�venues qu'ils savaient tous qu'elles �taient mari�es, et mari�es avec des
blancs.
- "Rien ne plait plus � un noir que de s'envoyer une blanche, et plus
sp�cialement si elle est mari�e � un blanc !......" les avait-il
instruites.
Le verre dans la
main gauche, ils savouraient la fa�on dont elles faisaient miroiter leurs
alliances cherchant � les exciter � mort � l'id�e de poss�der la propri�t� d'un
homme blanc.
Alors que
l'alcool coulait � flot arriva le moment o� Omar devait tirer au sort le nom du
premier gagnant, l'instant d'apr�s il partait au bras d'une des h�tesses dans
une des trois chambres.
Encore un peu pus
tard, les trois chambres �taient occup�es par les heureux gagnants. Une fois
que tous les noms furent appel�s, alors ils purent choisir leur h�tesse, bien
sur ils devaient avoir mis leurs noms sur la liste et devaient attendre leur
tour.
A minuit, afin
que les hommes restent sereins, et pour faire avancer plus rapidement les
choses c'est par groupe de 2 ou 3 qu'ils entr�rent dans les chambres, les
adorables h�tesses s'occupant d'eux�
simultan�ment.
La f�te dura
pendant une bonne partie de la nuit, jusqu'au moment o� l'�quipage devait
r�int�grer le navire.
Le lendemain,
les� trois h�tesses �taient attabl�es
dans la suite de l'h�tel, le personnel�
leur avait amen� un fabuleux d�jeuner. L'organisateur de la f�te avait
tenu � ce qu'elles soient trait�es comme des reines, elles avaient pris du
champagne pour aiguiser leur app�tit, � leur grande surprise on leur remit �
chacune une enveloppe, ouvrant les enveloppes elles y trouv�rent 10 billet s de
100 $.
Elles n'avaient
�t� pr�sent�es les unes aux autres que la nuit pr�c�dente, juste avant
l'arriv�e des invit�s, de ce fait elles ignoraient toutes ce qui les avaient
amen�s � participer � cette f�te.
En discutant, elle se trouv�rent pas mal de points communs et se li�rent
d'amiti�.
Sans m�me en discuter,
elles savaient que toutes trois elles aimaient se faire baiser par de grosses
bites noires, en discutant elles comprirent qu'elles participaient � cette
petite f�te pour les m�mes raisons.
Elles avaient
toutes trois particip� � la croisi�re inaugurale de Charleston aux Bahamas.
Une fois cette
similitude �tablie, elles se regard�rent les unes les autres, h�sitant toutes
trois � dire ce qu'elles avaient en t�te. Un silence total r�gna quelques
instants, puis, Melissa Moore demanda :
- "Carol ..... Wendy ...... Avez-vous ..... Avez-vous �t� viol�e � bord
du navire ? ..."
Comme Wendy et
Carol opinaient de la t�te, elles surent que toutes trois elles avaient v�cues
des �v�nements similaires. Elles se racont�rent alors leur histoire,
s'attardant sur le viol subi dans une cabine vide.
- "Melissa ...... Wendy .... Omar vous a-t-il appel�es trois mois plus
tard alors que le navire �tait � dock avant sa deuxi�me croisi�re ?...."
les interrogea Carol.
Voyant les deux
jeunes femmes hocher la t�te, elle poursuivit :
- "Moi aussi ... Il ma 'appel�e chez moi .... Il ne m'a ni menac�e ni
fait chanter ..... Il m'a tout simplement demand� ... Si je voulais ..... Si je
voulais go�ter � nouveau � sa grosse bite noire .....Si je voulais, qu'il me
baise � nouveau comme lors de la croisi�re !.... Si je voulais go�ter � nouveau
� sa queue, il me donnait rendez-vous dans sa chambre dans cet h�tel..... J'ai
menti � mon mari .... Lui disant que de bonnes amies venaient en ville Vendredi
...� Que j'allais les rejoindre pour
faire des courses avec elles ..... Et que nous passerions la nuit � l'h�tel
!.... Je quittais t�t mon travail ce vendredi, passais la soir�e et la nuit
avec Omar et je rentrais chez moi le lendemain matin !...."
- "Mon Dieu ...... J'ai d�jeun� avec Omar samedi midi, ici m�me dans cet
h�tel, puis j'ai pass� le reste de la journ�e et la nuit au lit � me faire
baiser comme jamais. Il m'a bais�e si ardemment que je pensais qu'il y avait
une bonne semaine qu'il n'avait pas rencontr� de femme" s'exclama Wendy.
- "Je me suis servi du m�me mensonge que Carol en disant � mon mari que
j'allais faire du shopping en ville avec des amies� et que je passerai la nuit en ville !....
J'aurai aim� rester avec lui le dimanche matin, mais il me dit de partir t�t le
matin, pr�textant un rendez-vous....."
- "Je suppose que c'�tait moi la cause de ton d�part pr�matur� Wendy,
..... Il m'attendait en bas de l'escalier pour le d�jeuner au champagne servi
le dimanche, inutile de vous dire que comme vous deux j'ai pass� le reste de la
journ�e sur le dos � me faire baiser par Omar, j'ai utilis� la m�me excuse que
vous ; le rendez-vous avec des amies pour faire du shopping, mais je n'ai pas
pu rester la nuit avec lui, pas un dimanche soir, pas avec deux enfants allant
� l'�cole le lundi, je suis rentr�e rapidement chez moi pour pr�parer le souper
et mettre les enfants au lits " leur rapporta Melissa.
D�s qu'il fut
�tabli que toutes trois elles avaient fait la m�me chose, elles d�gust�rent
leur festin arros� de champagne. Elles �taient rapidement devenues des amies
riant de concert en se racontant leurs exploits avec Omar. Puis elles
compar�rent leurs exp�riences avec les invit�s de la petite f�te, elles avaient
toute trois perdus le compte du nombre d'hommes qui avaient visit�s leur
chambre cette nuit.
Il y en a un
cependant dont elles se rappelaient toutes trois, un colosse de 175 kg qui se
les �taient faites, toutes trois, brutalement, par les trois trous, elles se
rappelaient la monstrueuse taille de sa bite et sa mani�re brutale d'en user.
- "Mon Dieu, il m'a litt�ralement fait grimper aux rideaux quand il m'a
fourr� sa grosse bite dans le trou du cul !.....Je crois qu'il s'appelait Tiny ....." s'esclaffa Wendy sous les rires de ses
deux nouvelles amies.
- "S�r qu'il a tir� le meilleur de moi, j'ai essay� de boucler mes
chevilles dans son dos, mais c'�tait physiquement impossible, je n'en faisais
pas le tour ..." se marra Melissa. Carol ajouta alors :
- "C'�tait le premier gagnant � disposer de moi et son fantasme �tait de
voir une belle femme blanche agenouill�e lui faire une pipe �..� J'�touffais quasiment lorsqu'il �jacula dans
ma bouche, il se retira alors de ma bouche et m'envoya ses derni�res salves sur
le visage.... la seconde fois, il m'a pris en levrette tandis que je su�ais un
de ses copains ...."
Trois semaines
plus tard, dans la maison de banlieue des Anderson, les trois couples �taient
assis autour de la table du patio tandis que les steaks grillaient sur le
barbecue.
Wendy avait
pr�sent� son mari lors de l'arriv�e de ses amies, et tout se passait bien.
Lorsqu'ils
�voqu�rent la croisi�re, Wendy commenta :
- "Je suis heureuse de vous avoir rencontr�e lors du r�cital de piano
sur le bateau, sans cela, nous ne serions jamais devenus amies et nous n'aurions
pas pu nous livrer � ces deux formidables journ�es de shopping que nous avons
organis�e ensuite.....Je suis tr�s contente que Melissa ait sugg�r� qu'on se
rencontre tous, ainsi vous avez pu vous rencontrer les hommes !....."
- "Ouai nous ne voudrions surtout pas que vous
pensiez qu'on vous trompe lorsque nous sortons toutes trois ensembles et qu'on
discute entre filles toute la nuit ......." rench�rit Carol.
Melissa se lova
contre son mari, l'embrassa sur la joue et poursuivit
- "Tu sais bien que tu es mon seul amour, ch�ri !...."
- "En ce qui me concerne, vous pouvez bien passer autant de temps que
vous le voulez ensembles !... Carol �tait si heureuse la derni�re fois que vous
�tes sorties� que j'aimerai vous sortiez
ensembles deux fois par mois !...." commenta John Atkins.
- "On a vraiment pris du bon temps lors de cette croisi�re ! "
ajouta Carol posant sa t�te sur l'�paule de son mari.
- "J'esp�re bien que Charleston deviendra le port d'attache de ces
croisi�res, j'ai justement vu dans les journaux l'annonce que la prochaine
croisi�re au d�part de Charleston �tait pr�vue fin septembre....."
intervint alors Brad Moore;
- "Oh mais c'est � peu pr�t le moment o� nous avions programm� notre
prochaine sortie entre filles ... Mais bon sang que �a para�t loin ..... Je
pense qu'on devrait faire un petit voyage entre temps ..... " r�pondit sa
femme, esp�rant une r�ponse favorable de la part de ses amies.
Lorsqu'elles se
retrouv�rent toutes trois dans la cuisine pour faire la vaisselle, elles
comment�rent excit�es le prochain d�part d'une croisi�re. La derni�re petite
f�te avait attir� tant de monde, au vu de son succ�s, les jeunes femmes en
conclurent que cela ne ferait que cro�tre et que la prochaine fois il y aurait
sans doute le double "d'invit�s".
- "Mon Dieu, Ils m'ont bais�e jusqu'au petit matin, au moment de leur
d�part, que va-t-il se passer s'il vient le double de clients ?..... " dit
Carol tracass�e.
- "Oui mais rappelle toi qu'il y a eu deux nouvelles croisi�res depuis
la notre, Je suis bien s�re qu'Omar � du recruter de nouvelles "h�tesses"
pour ses petites f�tes ... " rit Melissa.
Comme par un coup
de veine, les trois amies� avaient
organis�e une sortie fin juillet, avec la b�n�diction de leurs tendres �poux. Elle voulaient visiter la ville de Savanah,
et y passer un week-end, plusieurs heures de voyage s�paraient les deux villes.
Lorsque les trois
jeunes femmes avaient �t� pr�venues que l'"Island of pleasure"
allait faire sa premi�re croisi�re au d�part de Savanah,
il n'y avait pas d'autres "h�tesses" de disponibles � cet instant.
Aussi
�taient-elles en chemin pour se rendre � Savanah.
Elles allaient y participer � un petite f�te dans un h�tel retenu pour cette
occasion, et cela les r�jouissaient toutes trois.
Sur le long
chemin elles se relay�rent au volant de la voiture de Carol, toutes trois
impatientes d'arriver sur les lieux de la f�te.
- "Lorsqu'Omar m'a appel�e, il m'a dit que c'�tait Tiny
qui nous avait r�clam�e ..... Il parait qu'il veut vous faire grimper toutes
deux aux rideaux cette fois ..... Je vous plains les filles ...... Laissez moi vous dire qu'il m'a fait hurler de douleur quand
il m'a enfonc� sa monstrueuse bite dans la chatte !..." se marrait Wendy.
- Coulybaca
- Avec l'aimable autorisation de Black Demon
- blackdemonstories@yahoo.com
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